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Les protège-tibias de Cristiano Biraghi font polémique

Les protège-tibias de la discorde.
Éliminé de la Ligue des champions après sa défaite contre le FC Barcelone – et la victoire du Borussia Dortmund contre le Slavia Prague dans le même temps -, l’Inter a dû faire face à une polémique après la rencontre. La faute à son latéral gauche, Cristiano Biraghi, qui a baissé ses chaussettes et laissé apparaître des protège-tibias qui ont fait débat.
Sur les réseaux sociaux, les utilisateurs ont rapidement souligné la présence de symboles fascistes sur les protège-tibias de l’ancien joueur de la Fiorentina. À savoir, une flamme aux couleurs de l’Italie, ce qui ressemble au logo du MSI, parti d’extrême droite italien. Devant cette flamme, on remarque le visage d’un soldat romain portant un casque de combat, sans oublier l’inscription latine « Vae Victis » , une maxime régulièrement associée au fascisme.
Pessimi, indegni i parastinchi fascisti di #Biraghi, ben inquadrati dalla telecamera involontariamente. Ecco, forse queste persone meritano uscire da ogni competizione, perché in Europa, in altri campionati, sarebbe venduto o fuori rosa. #InterBarca#InterBarca pic.twitter.com/UkECxPtdu8
— Marta Giuliani (@thenightfly85) December 10, 2019
En réalité, d’après le Corriere della Sera, il s’agit d’une citation du film Trecento sur la bataille des Thermopyles, une adaptation cinématographique du roman graphique éponyme de Frank Miller. Donc, a priori, aucune référence à l’extrême droite, mais un simple clin d’œil aux Spartiates.
MR