- C1
- Gr. D
En direct : Inter Milan – Real Madrid
Entré en fin de match, Camavinga poursuit son intégration express avec une passe décisive savoureuse.
A bientôt pour de nouvelles aventures sur sofoot.com . A ciao bonsoir !
… pour rien.
Handanovic monte mettre sa tête…
Aïe : la faute de Camavinga au bout du temps additionnel, pour offrir une dernière cartouche aux Intéristes.
MAIS IL VA SE TAIRE LE SPEAKER ?
C’est cruel pour l’Inter sur l’ensemble du match, mais terriblement logique sur la deuxième période.
La demi-volée de Rodrygo qui fait filoche, au bout d’une action collective de grande classe, avec la superbe passe décisive de Camavinga en une touche. Le régal Madrid.
GOLAZOOOOOOO !
Non mais Skriniar, faut arrêter là. Le mec ne laisse RIEN passer. Même quand KB9 décale parfaitement Vinicius dans la surface. Egoïste, va.
Ca fait 3 ou 4 fois que la sono fait des annonces en dix minutes, on entend plus le speaker que les supporters. On se croirait au stade de l’Aube.
Pendant ce temps-là Haller claque un quadruplé à Lisbonne. L’Ajax est de retour. Mais si l’ancien Auxerrois pouvait passer nous en mettre un à Milan, on ne dit pas non.
Dumfries vient de découper Casemiro, toute l’Europe du foot a kiffé. Le Néerlandais décoiffe.
Petite enroulée de Vinicius, ça ne mange pas de pain. Mais c’est loin de nous rassasier.
KARIIIIIIIM ! La tête pleine d’abdos du Français au second poteau est trop croisée.
Daniel Bravo est formel : Camavinga va entrer au milieu.
Bonne nouvelle : Camavinga va entrer nous débloquer tout ça.
Jean-Michel Banalités est formel : il y a du K-O dans l’air.
Enfin une faille : Vinicius dépose Skriniar comme un jeu de clés dans un vide poche. Mais le Brésilien oublie tout le monde et frappe en angle fermé. Croqueur.
Mais Skriniar il a des faiblesses en fait ? Parce que même un Vinicius en fait, à pleine vitesse, ça ne le fait pas trembler.
Tactiquement ça ne ressemble plus à rien, ça tire la langue de partout et des boulevards se dessinent partout. Le baron Haussmann doit bien kiffer de là haut.
Ahhhh voilà le Dumfries qu’on a découvert à l’Euro : celui qui fout le feu dans le couloir par ses chevauchées chaloupées. Corner pour l’Inter !
Bon, on a un peu perdu en intensité depuis quelques minutes. Il faut bien le reconnaître.
Dumfries qui court tout droit en 6m. Forrest Gump.
@Bison Power : ça ne peut pas finir sans but là, ça fuse de partout. Le meilleur est à venir.
Bam, le crochet du Real pour répondre. Il est signé Carvajal, bien décalé par Benzema dans la surface. Mais Handanovic a les mains aussi fermes que Courtois. Pour l’instant.
LE MUR THIBAUT COURTOIS ! Le coup de boulet de Dzeko est claqué sur la ligne, au sol, par le Belge. Ce qui surprend même Skriniar, qui n’avait plus qu’à pousser au fond.
Valverde se prend pour Roberto Carlos en tentant un centre-tir extérieur du pied. Ca file en tribune, mais on salue l’audace.
C’est tout le Real qui a changé de visage à la pause en fait. KB9 se met en action, corner pour les siens. Vamos !
Visiblement David Alaba a mis la main sur le costume de patron à la pause.
Première alerte du second acte : un centre tendu de Carvajal. Mais les trois centraux de l’Inter se jettent sur le cuir comme des morts de faim.
Autrement dit : la deuxième partie de soirée, c’est ici que vous devez la passer.
@Baudry and Paille : c’est bien dommage pour toi, parce qu’on se régale. L’Inter fait vraiment une belle impression.
Oh qu’elle partait bien cette volée de Brozovic sur corner…
LE POINTARD DE DZEKO ! Mais même ça, ça ne trompe pas l’imperturbable Courtois aux mains très fermes, façon Titi Omeyer.
Je ne sais pas ce que ça donne à Bruges, mais je peux vous assurer que c’est mieux à Milan. Rythme de dingues entre l’Inter et le Real, ça se projette à tout va.
Et voilà l’Inter se remet à jouer. Quel régal quand ça combine. C’est le feu dans la Maison Blanche.
BROZOVIC S’Y MET ! Le patron intériste monte aux avants postes, s’appuie sur Dzeko et frappe juste à côté. Pfioooou.
La réponse immédiate de Lautaro Martinez qui décroise lui aussi de la tronche au premier poteau. Ca file à côté.
MILITAOOOO ! Sur un corner offert au Real, le Brésilien s’envole et place un coup de casque qui caresse le poteau d’Handanovic. Tout le stade a entendu l’impact.
Il est bizarre cet Inter sur courant alternatif. C’est dommage de ronronner autant entre les périodes de folie.
Est-ce qu’on parlera un jour autant de De Vrij que de Van Dijk ? Quel roc.
Quel début de match de Perisic. Joueur le plus sous-côté de la décennie, je vous le dis.
Lautaro Martinez a trouvé un nouveau copain à qui faire des déviations : et ce n’est pas Dzeko.
La petite mimine de Lucas Vazquez, ce n’est pas grand chose, mais ça en dit long sur l’agacement des Madrilènes.
@Baudry and Paille : De Gaulle ou Sylvain du bureau des légendes, je te laisse choisir.
@J_Vous_Lavezzi : c’est un choix purement volontaire et assumé. J’aime le foot, moi. (Et Karim, mais c’est la même chose).
Ce match est très bien oui.
Il est pas folichon ce Real recroquevillé sur son but.
Deux commentaires… Je ne peux pas croire que les forumeurs snobent cette affiche de gala.
Oh le retour de patron de Casemiro, sans armes, ni haine, ni violence, devant Lautaro en pleine surface.
Au tour de l’Inter de monopoliser le ballon. Gros bras de fer, ça fait zizir.
LAUTARO ENCORE ! L’Argentin bute une nouvelle fois sur Courtois, de la tête et à bout portant. Tel Soprano, le gardien belge est en feu.
On calme un peu le jeu côté Madrid, grosse phase de possession entrecoupée d’une frappe contrée de Benzema. On est sur un duel de costauds, où personne ne veut laisser l’initiative à l’autre camp.
Bon, par contre, Darmian et les centres, c’est compliqué.
CASEMIROOOO ! Le Brésilien est laissé bien trop seul à 25 m et arme une frappe à rebonds. Ca vient frôler le poteau d’Handanovic. Voilà une réponse.
Le Real est piégé dans son camp, l’Inter multiplie les banderilles. C’est le moment pour le Nueve de faire parler la poudre.
L’Inter sort clairement les muscles.
ET LA TETE DE SKRINIAR DANS LA FOULEE SUR LE CORNER ! Ca passe juste au dessus.
PARADE DU SOSIE OFFICIEL DU GENERAL DE GAULLE ! Un jeu à trois d’école de l’Inter avec Lautaro dans le rôle de l’artiste à la déviation pour Dzeko. La frappe du géant bosnien en angle fermé est repoussée par le Belge.
Calhanoglu tente le slalom entre les deux centraux madrilènes, mais on ne passe pas aussi facilement par là que d’un Milan à l’autre.
Hmmmm Handanovic qui passe pas loin d’une Hugo Lloris. Heureusement pour lui : Vinicius n’est pas Mandzukic.
Première petite alerte : elle est signée Lautaro Martinez. Sur un caviar de Barella, l’Argentin s’engouffre dans la surface et enchaine péniblement. Courtois ne panique pas.
Le ballon circule d’une Meringue à l’autre. Ce n’est pas comme ça que le mur noir et bleu va se fissurer.
Le transfuge Calhanoglu donne le ton : l’Inter laisse venir le Real, et va piquer en contre. Les Milanais sont un peu passifs pour le moment.
Sinon c’est bien David Alaba qui joue axe gauche, et Nacho à gauche. Carlo n’est pas fou, non plus.
Qu’il est beau ce maillot de l’Inter, c’est du Boticelli.
Et dire que des écervelés veulent raser ce temple.
Karim a le visage et le regard d’un homme qui va agenouiller toute la Lombardie. Charlemagne est dans la place.
Les champions d’Italie sont dans la place.
Les stades italiens, leurs drapeaux et leurs hymnes aussi kitchs qu’envoûtants : quel plaisir, bordel.
D’ailleurs, la stat : en deux confrontations en tant que coachs, Ancelotti a pris deux fois le meilleur sur Inzaghi avec Naples. A chaque fois, ça a fait 2-1.
De rien.
Sinon on est sur deux équipes invaincues en ce début de saison : 2 victoires et 1 nul pour l’Inter de Simone Inzaghi, 3 victoires et 1 nul pour le Real de Carlo Ancelotti.
Deux hommes habitués à se croiser, comme vous le raconte si bien notre cher laziale.
Giuseppe Meazza est bien plein, pendant que les colocataires des lieux ont rendez-vous à Anfield. Mais les deux Milan en C1, ça fait du bien. Quand même. Même si LE match milanais du soir, c’est bien celui-là.
N’en déplaise à Emile Gillet qui va vouloir vous attirer sur son pauvre Liverpool-Milan.
C’était quand même déjà un peu la Superligue dans ce groupe D, où l’Inter, le Real et Donetsk se sont déjà affrontés l’an passé en poules. Seul changement : Tiraspol qui remplace Mönchengladbach, donc.
On rappelle que dans ce même groupe, le Shériff Tiraspol vient de coffrer le Shakhtar Donetsk, qui avait braqué l’AS Monaco en barrages. Bien fait.
Côté Carlo Ancelotti, on reconduit les hommes forts du moment, et notamment Vinicius : 4 buts en 4 matches cette saison. Et si c’était enfin son tour ?
?ref_src=twsrc%5Etfw">September 15, 2021Voici notre de départ @Inter ! #UCL pic.twitter.com/VvUIjl3JNN
Petit coup d’œil aux compos, avec du classique des deux côtés. Honneur aux locaux, pour commencer.
?ref_src=twsrc%5Etfw">September 15, 2021| FORMAZIONI
Personaggi principali per #InterReal!#UCL #ForzaInter pic.twitter.com/UklbbZ3xMd
Retour de la C1 sur BeIN Sport. Retour du duo Darren Tulett – Thomas Thouroude. Retour de Carlo Ancelotti au Real Madrid. La vraie C1 comme on l’aime.
BONSOIR LA FAMILLE ! Bienvenuuuuue au Giuseppe Meazza de Milan avec un choc de patrons entre l’Inter Milan et le Real Madrid. Que dire à part qu’on va se régaler ? D’autant que le roi Karim est évidemment titulaire face au duo Lautaro-Dzeko. Ce qui est bien plus excitant les MNM’s à Bruges, non ?
Real Madrid
Par Adrien Hémard
