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Prono France-Azerbaïdjan : analyse, cotes et pronos du match
Un mois après avoir battu la France et l’Islande, les Bleus de Didier Deschamps veulent sécuriser leur qualification pour la Coupe du monde en battant l’Azerbaïdjan ce vendredi, et l’Islande lundi. Malgré les blessures en attaque, les Bleus veulent ne faire qu’une bouchée des joueurs d’Aykhan Abbasov. Reste à savoir si oui, et comment ?

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Cette partie ravive la flamme et le souvenir du 9 septembre 1995. La France avait infligé à l’Azerbaïdjan la plus lourde défaite de son histoire. D’un point de vue bleu, ce succès a longtemps été le plus large de l’histoire de l’équipe de France, sans étoile à l’époque. Les joueurs d’Aimé Jacquet avaient imposé un joli 10-0 aux Azerbaïdjanais. Un écart que les Bleus n’auront dépassé qu’une fois, en novembre 2023, à Nice, pour battre 14-0 le pauvre Gibraltar.
La France n’a rien à craindre ?
Au moment de ce 9 septembre 1995 à Auxerre, les trêves internationales d’automne étaient bien plus casse-pieds. La France était en difficulté pour se qualifier à l’Euro en Angleterre, au coude-à-coude avec la Pologne dans son groupe de qualification. Depuis, elle a remporté deux Coupes du monde. Elle a disputé deux autres finales, quand l’Azerbaïdjan n’a pas fait grand-chose. Mieux : les Bleus n’ont perdu aucun de leurs 35 derniers matchs de qualification pour une Coupe du monde et un Euro. De quoi augurer un carton plein contre l’Azerbaïdjan ? L’idée n’est pas de distiller un mauvais suspense, mais les Bleus doivent rester attentifs : accueillir la Terre de Feu et son alphabet extraordinaire a tout d’un saut vers l’inconnue. Le genre de match pour lequel il faut remercier Internet (ou le duo Lizarazu – Margotton) pour apprendre le nom des joueurs. Encore plus depuis fin septembre, date à laquelle les habitants du Caucase ont dit au revoir à Fernando Santos. Car oui, l’ancien sélectionneur du Portugal entraînait l’Azerbaïdjan.
Puisque les foirades du type Bulgarie 1993 ou Biélorussie 2012 sont quasiment impossibles ce vendredi soir, comment appréhender ce France-Azerbaïdjan ? Serait-il un échec si la France gagne sans manière ? Lors de leurs deux dernières sorties, les Bleus n’ont battu l’Ukraine et l’Islande qu’en marquant deux buts à chaque fois. Deux victoires efficaces, mais sans hauteur, et preuve que le poncif statuant qu’« il n’y a pas de petite victoire » n’est pas galvaudé. Aussi, les Bleus seraient bien inspirés d’établir quelques certitudes en s’imposant largement au Parc des Princes.
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Le joueur : Olise on him
Pour ce faire, et ainsi quasiment valider leur billet pour la Coupe du monde, les gars de Didier Deschamps peuvent compter sur leur numéro 11, Michael Olise. Il ne porte pas le numéro 10 de Kylian Mbappé, mais c’est tout comme : un vrai organisateur depuis l’axe (le plus souvent à droite avec le Bayern), capable de dribbler, de provoquer, de centrer, de tirer. Bref, de tout faire. Alors que l’attaque bleue du PSG (Ousmane Dembélé, Désiré Doué et Bradley Barcola) est indisponible, l’animation offensive de l’équipe de France repose sur ses épaules.
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Sinon, Didier Deschamps pourra compter sur Kylian Mbappé. Le capitaine des Bleus a à cœur de porter son équipe, et de se porter tout seul vers le record symbolique du meilleur buteur de l’histoire de l’équipe de France. Il est encore à cinq unités des 52 pions d’Olivier Giroud, mais contre la défense regroupée de l’Azerbaïdjan, il sera bien utile. À ses côtés, Hugo Ekitike et Jean-Philippe Mateta devront montrer qu’ils ont un avenir avec les Bleus, comme Maghnes Akliouche et Christopher Nkunku. Tous ont six rencontres à disputer avant de pouvoir s’envoler pour les States. De quoi envisager un festival offensif au Parc des Princes ?
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Le jour où la France en a passé dix à l’AzerbaïdjanSF