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Inter, opération rachat
Tous deux vainqueurs cette semaine en C1, l’Inter et le Napoli se retrouvent ce soir pour continuer sur leur bonne lancée.

Tous deux vainqueurs cette semaine en C1, l’Inter et le Napoli se retrouvent ce soir pour continuer sur leur bonne lancée.

L’ancien entraîneur de Liverpool et d’Aston Villa juge les forces en présence de la Premier League.

Exilé en première division roumaine, Steven Pelé vit de foot, d’amour et d’eau fraîche.

L’ancien Parisien Alioune Touré, a.k.a le joueur le plus rapide de la Porte d’Auteuil, distribue ses pronos pour la 9e journée de L1.

Jovetic sur le retour, Gila blessé, Montolivo sur le départ. Du coup, à la Fiorentina, l’attraction se nomme Alessio Cerci.

Un 8-0, un entraîneur viré, un 7-0, des équipes qui ne gagnent pas, un 6-2, des quadruplés, des triplés, des doublés, un Bafé.

En marge de la crise économique qui ébranle le pays, le football grec s’est embourbé dans une sale histoire de paris illégaux…

Tous les ans, fin septembre, c’est la même rengaine pour les amoureux du foot pixelisé : FIFA ou PES ? Les deux jeux sont dans les bacs. Comparatif.

Deux membres du collectif Chinese Man sont de gros fans de l’Olympique de Marseille.

Complètement dépassé pendant 90 minutes, le PSG repart de Bilbao avec une défaite logique (2-0) et quelques interrogations.

Un nul et maintenant une défaite (1-2) contre le Sporting ce soir, la Lazio peine en Ligue Europe. Dans le groupe de Rennes, l’Udinese confirme en ramenant un bon point d’Ecosse.

Supérieur physiquement à l’Atlético, le Stade Rennais a laissé échapper la victoire dans les dernières minutes, sur une faute d’inattention. Malgré le nul, la qualification est encore à portée.

En Turquie, après un été perturbé par des scandales multiples, la nouvelle saison débute dans la tourmente…

Peu de surprise finalement pour les deux matchs des Bleus face à l’Albanie puis la Bosnie (7 et 11 octobre). Bafetimbi Gomis remplace Hoarau. Normal.

Rennes accueille un adversaire prestigieux, mais pas forcément périlleux : l’Atletico Madrid.

Leader de Ligue 1, le PSG se déplace à Bilbao pour affronter l’Athletic à San Mamès. Un voyage en Espagne, une terre où le PSG a tout connu : gloire, désillusion, renversement et victoire probante.

Aucun 0-0, des buts, des clubs français toujours invaincus, des anciens, des jeunes loups, des parades et des cadors déjà là.

Faites vos jeux ! Jeudi à 14h, Laurent Blanc annonce sa liste où, alléluia, ne figurera pas Hoarau, blessé. Il y a donc une place à prendre dans l’escouade à ce poste.

Dominé, le FC Valence est revenu au score dans les dernières minute face à Chelsea (1-1). Dans le groupe H, le Milan AC et le Barca assurent.

Après le match nul, il y a deux semaines, contre Dortmund, Arsenal se devait de gagner ce soir contre l’Olympiakos. C’est chose faite (2-1) mais pour le beau jeu on repassera.

Trois buts, trois points, trois fois rien. Auteurs d’une deuxième victoire en autant de match de C1, les Marseillais ne se sont même pas vraiment rassurés.

Depuis l’arrivée de Villas Boas, Chelsea se détache peu à peu de sa recette ancestrale et opte pour un style de jeu plus continental.

Après le nul concédé à Dortmund, Arsenal est dans l’obligation de battre l’Olympiakos, adversaire le plus faible du groupe, ce soir à l’Emirates.

L’OM et Dortmund ne se sont jamais affrontés en Champions League. Avant le match, il y a donc beaucoup de respect des deux côtés.

Le Borussia se rend à Marseille avec l’étiquette de champion d’Allemagne qui a du mal à défendre son titre.

Souverains dans leur pays, les deux clubs doivent désormais confirmer leur suprématie dans la plus prestigieuse des compétitions.

L’OL a fêté comme il se doit vingt ans passés sur la scène européenne en pliant son match face au Dinamo Zagreb en une mi-temps à peine.

Dominé par le Bayern (2-0), City perd contre plus fort que lui ce soir. Ce n’est pas mieux pour son voisin, qui a frôlé la catastrophe à domicile contre Bâle (3-3).

Les Lillois enchaînent un deuxième résultat nul en coupe d’Europe, le cinquième de suite toutes compétitions confondues.

Les Madrilènes ont mis une bonne vingtaine de minutes pour prendre la mesure des Néerlandais.

Lyon n’aura joué qu’une mi-temps, la première, le temps de sécuriser la victoire. Le scénario rêvé quand on est au beau milieu d’un marathon de matchs tous les trois jours.