L’absence de réelle ambition sportive du club monégasque rend le travail de Leonardo Jardim un peu plus agréable, au point de se demander si ce n’est un pas un taff de rêve.
Défait avec les Bleus en demi-finale de leur Euro face à l’Espagne, Evan Fournier profite du peu de temps libre qui le sépare de sa pré-saison à Rio avec le Magic d’Orlando. Le temps de discuter foot, basket et mentalité française autour d’un Perrier. Et de quelques macarons, évidemment.
Et si la hiérarchie était réellement bouleversée cette année ? On n’ose pas vraiment y croire, mais les deux Milan continuent d’engranger des points, alors que la Roma et la Juve en laissent encore filer. En tout cas, la question mérite d’être posée…
Au cœur de l’Allianz Arena, devant un public habitué mais jamais fatigué par les avalanches de buts, Roberto Lewandowski, le Bayern Munich et Pep Guardiola ont créé un morceau d’histoire de neuf minutes mardi soir.
Entre un Barça qui s’écroule, un Flamini tout feu tout flamme, et Benjamin Mendy en mode expulsion express, les matchs du milieu de semaine ont réservé tout autant d’émotions et d’histoires que leurs homologues du week-end.
Loin des rivalités inventées par la Major League Soccer, les trois franchises de la côte Pacifique Nord-Ouest se disputent chaque année un titre à la signification bien particulière la Cascadia Cup.
Longtemps apathique, l’OM repart avec le point du match nul au terme d’une rencontre techniquement limitée. Et peut remercier Michy Batshuayi, sorti du banc pour sauver une équipe en grande difficulté.
L’Inter enchaîne une cinquième victoire consécutive, tandis que la Roma perd pour la première fois de la saison. La Juve et le Napoli n’y arrivent toujours pas. La Fio poursuit, elle, son petit bonhomme de chemin.
Karim Benzema, auteur de ses quatrième et cinquième buts en championnat, a offert aux Merengues une courte et précieuse victoire dans le nouveau San Mamés (1-2). Et pour cause, le Real est désormais aux commandes de la Liga.
Sur la pelouse de Tottenham, Arsenal n’aura pas livré la prestation de l’année, mais parvient à assurer l’essentiel, à savoir la qualification, grâce à un doublé de Mathieu Flamini. Oui, Mathieu Flamini.
En plein milieu de la semaine, la 7e journée de Ligue 1 a quand même tenu toutes ses promesses. Des buts, oui, mais en première période pour la plupart. En gros, ce mercredi, il ne fallait pas avoir fait d’heures supp’ au bureau.
93′ : C’est fini au stadium. Très pénible pendant une heure, le match est devenu un peu fou sur la fin, avec trois expulsions et deux buts. Bonne soirée à tous !
93′ : Terminé! Grâce à Benzema et Navas, le Real s’impose à Bilbao et prend la tête de la Liga. Très beau match à San Mames. Allez, dormez bien.
Les tableaux d’affichage parlent d’eux-mêmes. Roberto Mancini n’a plus qu’une idée en tête : gagner. Et ce, quelle que soit la manière.
Historique premier buteur de l’histoire des Corses en L1 le week-end dernier, Kader Mangane a fait son retour en France cet été et compte bien encore y imposer son style : beaucoup de muscles enrobant un très gros cœur.
En inscrivant 5 buts en moins de 9 minutes, Lewandowski a fait preuve de génie en une durée record. Oui, 9 minutes, c’est court et long à la fois. D’autant que pendant ce temps-là, vous auriez pu faire tellement de choses…
Chaque année, les centres de formation des clubs de toute la France ouvrent leurs portes à des centaines de jeunes footballeurs. S’ils sont avant tout connus pour être de grandes écoles de football, ces centres de formation ont aussi le devoir d’assurer à leurs pensionnaires une scolarité exemplaire.
La mâchoire carrée, le poil long et le regard un peu fou, Julian Palmieri n’est pas le meilleur joueur du championnat. Mais il est de ceux qui ne lâchent jamais. Et en Ligue 1, c’est déjà beaucoup. Entre des échecs récurrents, une grosse sortie de route et un « voyage spirituel », retour sur une carrière déjà bien fournie.
Depuis la blessure de Nabil Fekir, il est devenu le joker offensif principal de l’Olympique lyonnais. Lui, c’est Aldo Kalulu, jeune Gone de 19 piges.
À 32 ans, après près de 600 matchs en Europe dont 350 sous les couleurs du Barça, bien assis sur une montagne de 25 trophées dont 5 coupes d’Europe, Dani Alves est encore là et continue à se nourrir de l’adversité, des doutes et des critiques.
Dans cette huitième journée de Ligue 2, aucun match ne s’est soldé par le score de 0-0. Metz et Nancy ont laissé la première place à Dijon, tandis que Sochaux, Nîmes et Ajaccio entrent dans une longue dépression.
Dans cette huitième journée de Ligue 2, aucun match ne s’est soldé par le score de 0-0. Metz et Nancy ont laissé la première place à Dijon, tandis que Sochaux, Nîmes et Ajaccio entrent dans une longue dépression.
Entre novembre 1999 et janvier 2008, Arsenal n’a pas perdu face à Tottenham. À tel point que les supporters des Spurs se croyaient sous le coup d’une malédiction.
Fiorentina et Bologne ont pour dénominateur commun Fulvio Bernardini, un entraîneur capable de remporter un Scudetto à la tête de ces équipes dans une époque dominée par les équipes du Nord.
Fiorentina et Bologne ont pour dénominateur commun Fulvio Bernardini, un entraîneur capable de remporter un Scudetto à la tête de ces équipes dans une époque dominée par les équipes du Nord.
Capitaine de bord de l’Athletic Bilbao, Carlos Gurpegui s’apprête à recevoir l’ennemi héréditaire : le Real Madrid. Une belle occasion de revenir avec lui sur son amour des Leones, sa suspension de deux ans pour dopage ou encore Marcelo Bielsa.
Last but not least. Dernière recrue du mercato stéphanois, Robert Berić a impressionné dès ses deux premières sorties avec l’AS Saint-Étienne. De quoi donner envie au peuple vert de s’enflammer pour celui qui a planté 27 buts en Autriche la saison passée.
Depuis son arrivée au Borussia Dortmund, Thomas Tuchel n’a jamais connu que la victoire. Mais comment l’ancien coach de Mayence a-t-il bien pu réussir ce magnifique tour de passe-passe ?
À Málaga, Arthur Boka arpente le couloir gauche de la défense depuis le début de saison. Passé en L1, carrière internationale, expériences à l’étranger… Bref, on voulait faire fonctionner la mémoire de l’Éléphant.
Ce duel entre Galiciens et Catalans renvoie invariablement à l’épilogue de la saison 2005/06. Un exercice qui s’était terminé par un sacre blaugrana à la mi-temps de son déplacement au Balaídos.
Personne ne parlait de lui jusqu’à ce qu’il « vole » la place de François Trinh-Duc pour la Coupe du monde en Angleterre. Rémi Talès, qui sera titulaire à l’ouverture contre la Roumanie ce mercredi (21h), s’est alors retrouvé au cœur des critiques. Injustes pour ceux qui le connaissent et l’ont vu changer de dimension en quelques années.