- Euro 2024
- 8es
- Espagne-Géorgie (4-1)
Les notes d’Espagne-Géorgie
Les hommes de Willy Sagnol n’ont pas à rougir : ils sont juste tombés sur le gros poisson de cet Euro et se sont même payé le luxe de le faire frémir. Pour revoir le duel Mamardashvili-Yamal, il faudra attendre la reprise de la Liga.
Espagne
Robin Le Normand
Un Français, international espagnol, qui marque un but pour la Géorgie : elle est pas belle, l’Europe sans frontières ?
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Aymeric Laporte
Plus efficace que Lebarrage.
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Marc Cucurella
En raison d’une qualification en quarts de finale de son personnel, votre stand de CBD restera fermé pour les prochains festivals et marchés estivaux. Merci de votre compréhension.
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Rodri Hernández
Tout est dans le contrôle, du ballon et des vagues adverses. Et lui avait vachement bien révisé.
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Fabián Ruiz
Parti de loin, le Parisien a profité du travail de ses camarades pour s’élever socialement et comptablement (un but, une passe dé). Le fameux Ruizellement.
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Dani Olmo
Remplaçant de Pedri (6) sorti à la 53e (sur blessure ou par précaution ?), il a bien évolué à ce poste de meneur et a permis aux supporters espagnols de se lever de leur siège. Olmo erectus.
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Lamine Yamal
Même si ce n’est pas conseillé par son orthodontiste, l’ado a fait éclater le bloc géorgien comme on ferait péter une bulle de chewing-gum. Quand y en a marre, Yamal à la barre.
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Nico Williams
Le joueur que Kylian Mbappé aurait aimé être dans un Euro.
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Géorgie
Giorgi Mamardashvili
Il a déjà une rue à son nom à Tbilissi. Ne soyez pas étonnés si c’est une des artères les plus bouchées de la capitale.
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Otar Kakabadze
Sur son centre, il a badze et le but espagnol s’est ouvert à lui. Bon, en revanche, il n’a pas su refermer derrière lui.
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Otar Kiteishvili
C’est lui qui aurait dû coller Rodri sur l’égalisation, mais le bougre était blessé et est d’ailleurs sorti dans la foulée. Rage Kite.
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Khvicha Kvaratskhelia
Après l’Italie, l’Europe sait désormais prononcer son nom. Pour l’épeler, il aurait fallu un miracle de plus (comme ce tir des 45 mètres qui vient mourir à quelques centimètres du cadre ?).
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Georges Mikautadze
Si courir comme un dératé pendant 80 minutes pour s’offrir des 1 vs 4 ne lui a pas rappelé les dimanches à Metz, le score final s’en est chargé. Roi en son royaume.
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Par Mathieu Rollinger
