



Dominateurs, mais pas récompensés, les Bleus entament leur campagne russe par un nul. Ni Kanté surexcité, ni Koscielny patron, ni Griezmann en demi-teinte n’ont pu faire péter le bus biélorusse.

Frileux en première période, les Bleus se sont montrés plus entreprenants en seconde, mais sans parvenir à faire la différence, la faute à un grand Gorbunov. Et à un beau manque de réalisme.





