Rubiales : « C’était un acte réciproque »

En boucle.

Deux jours après avoir annoncé sa démission de la tête de la Fédération espagnole, Luis Rubiales a accordé une longue interview au journaliste anglais Piers Morgan pour se défendre. Sans jamais avoir le moindre mot d’excuse pour Jenni Hermoso. « C’était un acte réciproque, elle est venue vers moi, très contente, lâche ainsi l’ancien défenseur. Elle m’a soulevé, elle m’a soulevé dans les airs. (…) Nous étions tous les deux émus. Lorsque nous avons touché le sol, j’ai eu un bref échange avec elle, nous nous sommes félicités. Je lui ai donné un rapide bisou. Je lui ai demandé, puis-je te donner un petit bisou ? Ce qui est normal dans notre pays. »

Le désormais ancien dirigeant du football espagnol assure qu’il n’y avait « aucune connotation sexuelle ou quelque chose de ce genre. Rien d’autre qu’un moment de bonheur, une grande joie à ce moment-là. Mes intentions étaient nobles, 100% non sexuelles. » « Je suis convaincu que la vérité éclatera et que tout ira bien. Regardez mon visage, je suis un bon gars », tente encore Rubiales.

C’est promis, hein.