Battu à domicile par le PAOK Salonique (2-1), malgré presque une heure de supériorité numérique, Tottenham ne verra probablement pas les 16ème de finale. Comme quoi, il n’y a pas que les Français qui ne jouent pas l’Europa League à fond.
La première victoire du Stade Rennais en match de groupe d’une compétition européenne attendra. Face à des Italiens bien en place, les hommes d’Antonetti ont encore manqué de s’illustrer (0-0). Ils sont officiellement éliminés de C3.
Mis sous pression par des Qataris pressés, Leonardo le classieux doit jouer les nettoyeurs façon hard management de chez Orange. Retour sur ce PSG new look acheté et géré « à la découpe ».
L’onde de choc n’a sans doute pas atteint la France du foot comme elle a percuté de plein fouet le Royaume-Uni. Gary Speed, un de ses hommes parfaits, à 42 ans, a remis sa vie à une simple corde dans un garage. Tragique.
Ce soir débute le rush final des phases de poule de l’Europa League. Certains l’abordent en toute décontraction, d’autres savent qu’ils vont devoir cravacher pour se qualifier, et d’autres vont se faire éliminer mais s’en foutent. C’est vrai, jouer le jeudi, au fond, ça emmerde un peu tout le monde, non ?
Bousculé au match aller par le Stade Rennais (2-1), l’Udinese affronte cette fois une équipe quasiment éliminée de l’Europa League. Mais le club italien ferait bien de ne pas anticiper une rencontre face à un bataillon breton démobilisé.
Hier Napoli et Juventus ont offert un superbe spectacle (3-3) pour le match en retard de la 11ème journée de Serie A. Au lieu de prendre l’avion et d’aller assister au match au San Paolo, on est allé matter ça au Bambolina Caffè, à Paris, repère du Club Napoli Parigi « Paris San Gennar ». Ambiance chaude et authentique garantie.
La pilule de la défaite contre Getafe est passée. Face au Rayo Vallecano, en match avancé de la 17è journée de Liga, le Barça, malgré un début de match confus, s’est baladé (4-0). Tout en se réinventant.
A Getafe, le Barça a perdu son premier match de la saison, laissant le Real à 6 points. Il n’en fallait pas plus pour voir la fin de la dictature catalane. Pourtant en cas de victoire ce soir au Rayo, les Blaugranas peuvent sortir du Bernabeu en leader. Explications.
N’Doram : «Je mets en place le Clairefontaine tchadien»
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Portable à l’oreille sur un terrain de foot de son pays natal, l’ancien sorcier nantais et abonné de l’infirmerie monégasque évoque la chute de ses deux clubs de cœur et les évolutions du foot en Afrique et au Tchad.
Cachés quelque part entre Paris, Montpellier et Marseille, les Lillois profitent de l’emballement médiatique post-classico pour continuer ce qu’ils font depuis le début de la saison : avancer sans faire de bruit.
Nantes sur le terrain, Parme sur le banc. Voilà comment on peut résumer la dream team de Reynald Pedros, qui ne garde visiblement pas un grand souvenir de ses passages à Lyon, Toulouse et Bastia.
Parce que parfois 140 caractères suffisent. Parce que le footballeur a compris que sur la toile au moins, le public ne s’en irait pas. Florilège du meilleur et du pire de la sem@ine.
Pantxi Sirieix, c’est la touche basque du Téfécé, et l’érudit du club. Pas une faute dans ses SMS, et un vocabulaire varié. Il a joué dix minutes face à Valenciennes, mais à part ça, il n’a rien loupé de la 15e journée de L1.
C’est une victoire au physique, à la tactique et au mental qu’a construit l’OM face à un PSG dépassé. Mais déjà se pose la question : pour lequel des deux ce résultat est-il le plus révélateur ?
Étincelant lors de ses premières sorties avec le PSG, Javier Pastore semble totalement déphasé depuis quelques rencontres. Triste, amorphe sur la pelouse, le joueur connaît une période de vide qui inquiète les supporters parisiens. Analyse.
Trois matches, un petit point de pris. C’est le triste bilan des joueurs d’Antoine Kombouaré lors des trois dernières journées. Pendant ce temps, Montpellier en a pris sept…
L’OM qui atomise le PSG, le Barça qui perd pour la première fois de la saison, la Juve qui prend les commandes de la Serie A, City qui peine, United qui peine, le Real qui ne peine jamais : il s’est passé de bien belles choses, ce week-end, dans toute l’Europe.
Plus concerné, plus déterminé, plus collectif, l’OM a tout simplement tout fait mieux que le PSG dans ce Classico. Toujours pas de Pastore, toujours de moins en moins de Gameiro et encore une “crise” de novembre côté Paris-Saint-Bling-Bling.
Battu pour la première fois de la saison à Getafe hier soir (1-0), le Barca est distancé au classement par le Real Madrid, qui n’a pas trop eu à forcer dans le derby madrilène, contre l’Atletico (4-1).
Au terme d’un Classico moyen, Marseille l’a logiquement emporté sur un PSG en bois (3-0). Une lueur pour Didier Deschamps, le début d’une longue semaine de galère pour Antoine Kombouaré, abandonné par ses joueurs…
Après la Juve, voilà le Milan. Les rossoneri ont écrasé le Chievo (4-0), et montent ainsi à la deuxième position, à une longueur des Turinois, vainqueurs hier soir de la Lazio (0-1). Dans le bas de tableau, l’Inter respire, grâce à un succès arraché à la dernière minute à Sienne.
Le Bayern est encore tombé à Mayence (2-3) comme il avait été défait il y a un mois à Hanovre et la semaine passée chez lui contre Dortmund. Le Werder vainqueur de Stuttgart (2-0) recolle à trois points de la tête.
Reina aurait dû être expulsé en première période, mais non. City, largement dominateur, était parti pour s’assurer une victoire dès la demi-heure de jeu, mais non. La faute à Lescott. Résultat: match nul (1-1) et fin de la série de 7 victoires d’affilée.
Bien emmenés par un Lisandro Lopez des grands aprem, l’Olympique Lyonnais s’est imposé (3-0) face à des Auxerrois pas vernis. Au Moustoir, les Lorientais ont ramé mais ont pris les trois points (1-0) contre Nice.
A l’occasion du classique OM/PSG, Juan Pablo Sorin inaugure son blog sur le dotcom de SoFoot. Au menu aujourd’hui, son départ forcé du PSG. En cause: ses relations avec coach Vahid.
Jazzy Bazz : «Pas assez de reconnaissance pour les ultras»
Jazzy Bazz : «Pas assez de reconnaissance pour les ultras»
Jazzy Bazz, c’est un type de 22 ans qui connaît mieux le rap des nineties qu’un quadra. C’est le genre de mec que certains ignoraient avant Rap Contenders. Et surtout, un homme qui supporte le PSG. Car ici c’est Paris.
Du fin fond de sa SuperLiga danoise, où il défend aujourd’hui les couleurs d’Odense, Bernard Mendy capte Canal Sat’ et sera bien assis dans son canapé pour savourer cet OM-PSG.
L’entraîneur de l’OM que l’on décrit comme indéboulonnable pourrait bien en fait ne pas résister à une rouste distribuée ce soir par le PSG au Vélodrome.
Paris, Marseille, on s’en tape ! C’est au Qatar que ça se passe. C’est de là-bas qu’arrive une pression ravageuse qui plombe plus qu’on ne le pense une équipe du PSG normalement supérieure à l’OM. Scénario catastrophe ce soir au Boulodrome ?