Il y a de ça sept ans, le Real Madrid recevait la plus douloureuse fessée de son histoire en se faisant gifler et sortir de la Copa del Rey par le modeste Alcorcon.
Pour découvrir la Coupe du monde avant de l’organiser, le Qatar doit disputer le tournoi en Russie en 2018. S’il a passé sans encombre le piège de la première phase de qualification, la seconde a très mal débuté…
Sélectionneur de l’Angleterre, pire job du monde ?
Sélectionneur de l’Angleterre, pire job du monde ?
Depuis la mise à l’écart de Sam Allardyce, le poste de sélectionneur de l’Angleterre est vacant. Parce qu’en 2016, il n’y a pas pire qu’entraîner les Trois Lions ?
Après une lourde défaite en Équateur, le Chili se retrouve à la septième place des Éliminatoires pour le Mondial 2018. L’euphorie des deux Copa América semble retombée et Pizzi est déjà en danger.
Festival du film d’aventure à Dijon. L’occasion de voir Bixente Lizarazu faire la raie manta et de futurs footballeurs prendre une leçon par un éclopé. Embarquement pour un petit voyage, des îles Lavezzi à la cité ducale.
Un axe Goku-Broly, deux personnages de Pokémon et des noms seulement connus par les puristes : ce onze tout droit sorti des BD japonaises a fière allure.
Bonnevay : «Au Japon, tu es serein pour travailler»
Bonnevay : «Au Japon, tu es serein pour travailler»
Depuis dix-neuf mois, Jacky Bonnevay est l’adjoint de Vahid Halilhodžić au Japon. Avant le match en Australie mardi, l’ancien défenseur de Marseille et de Sochaux nous raconte sa mission en Asie, entre deux montages vidéo…
Même si la Colombie a rejeté l’accord avec les FARC, le cessez-le-feu tient toujours et la guérilla marxiste goûte au monde moderne. Entre foot, internet et concerts.
Au terme d’un match globalement maîtrisé et grâce à la meilleure 1re mi-temps de l’EdF depuis bien longtemps, les Bleus ont ramené un succès décisif dans la course à la qualification à la Coupe du monde 2018.
Remuants dans les couloirs, et solides grâce à un Van Dijk plein de maîtrise, les Pays-Bas n’ont pas démérité face aux Bleus. Sans toutefois faire preuve d’une grande habilité devant.
Costauds, les Bleus s’imposent 1-0 aux Pays-Bas grâce à un but de Paul Pogba, auteur d’un match énorme. La France s’empare de la tête du groupe, avec la manière.
93′ : Et c’est terminé ! La France s’en sort finalement bien avec cette victoire face à son adversaire le plus redoutable de la poule. Les Bleus peuvent remercier Pogba pour son but, et le trident Varane-Koscielny-Lloris. En revanche, il va falloir travailler les corners et les contres DD.
Merci d’avoir partagé ce live avec moi. Bonne soirée les amis, et à très vite.
Victime d’une rupture des ligaments croisés samedi avec la Pologne, Arkadiusz Milik laisse Naples dans l’obligation de lui trouver un successeur. Et vite.
Pour l’entame du championnat australien, Melbourne Victory avait une revanche à prendre sur Brisbane Roar, qui l’a éliminé en play-offs la saison dernière.
Annoncé comme le futur latéral gauche des Bleus, le Parisien et ancien Monégasque aurait dû prendre possession de son bien il y a deux ans. Heureusement, le train est de nouveau passé.
Bouillants après leur large victoire face à la Biélorussie, les Hollandais ont dressé la table pour recevoir les Bleus. Et comme plat principal, la France pourrait bien avoir à se farcir Quincy Promes.
Une inondation meurtrière, la nuque de Dominique Dropsy, les larmes de Seedorf et un adieu à Johan Cruyff. Un Pays-Bas–France n’est pas un match ordinaire.
Après Pál Csernai au début des années 90, Jørn Andersen est le deuxième entraîneur étranger à pénétrer Pyongyang et à diriger la sélection de Kim Jong-un. Portrait.
Si l’Espagne était dans le contrôle en Albanie ce dimanche soir, ce n’était pas le cas de l’Italie, qui a bien failli laisser la victoire lui échapper en Macédoine.
Avec des matchs particulièrement déséquilibrés, la fin d’après-midi ne devait pas laisser de place à la surprise dans la zone Europe. Pourtant, les petits ont fait de la résistance.
Dans le cœur de beaucoup de Marseillais, Pape Diouf reste le meilleur président de l’ère post Bernard Tapie (2005 à 2009). L’ancien coursier, journaliste et agent nous livre quelques clés de sa réussite à l’OM.
Transféré à City et membre indiscutable de la Roja, l’Espagnol voit sa carrière décoller à trente ans. Une ascension tardive qu’il doit à sa patience et sa réflexion.