Sur sa feuille de route, le Mexique envisageait la Coupe des confédérations comme une opportunité idéale pour se jauger face à des gros calibres (Brésil, Italie) à un an de la Coupe du monde. Sauf qu’aujourd’hui, El Tri, contrairement aux pronostics, est loin d’avoir assurer sa qualification pour l’épreuve reine.
La Coupe des confédérations ouvre ce samedi avec les deux seules équipes qualifiées jusque-là pour le prochain Mondial auriverde. Joli couple et un flirt brésilo-japonais qui dure depuis plus d’un siècle.
Alors que Paris et Monaco se battent à coups de dizaines de millions d’euros sur le marché des transferts, pour (beaucoup) d’autres clubs français, les temps sont durs. Alors comment recruter intelligemment quand on n’a pas d’argent ? Petit guide du mercato façon système D.
À un an de leur Coupe du monde, les Brésiliens doivent se servir de la Coupe des confédérations – également organisée chez eux – pour mettre en place une équipe capable de remporter une sixième couronne mondiale. Le brouillon commence dès aujourd’hui, contre le Japon.
Tiré vers le haut par le bon et dévoué Keisuke Honda, le Japon est devenu ce qu’il se fait de mieux dans l’Asie du football. Mais pour franchir un palier supplémentaire, les Japonais vont devoir rompre avec leur civisme culturel. En gros, être plus roublards et audacieux.
Il faut bien le dire, la Coupe des confédérations est loin de faire rêver les foules. Coincée dans une année post-Euro et pré-Coupe du monde, difficile de déchaîner les passions autour d’un trophée dont à peu près tout le monde se fout de le voir inscrit sur son palmarès. Mais pourquoi sont-ils allés nous pondre la Coupe des confédérations ?
En cas de victoire face à la Bolivie ce soir, le Chili peut faire un grand pas pour la qualification au Mondial brésilien. Un pas que David Pizarro, le meilleur joueur chilien de la décennie, pourra faire, puisqu’il effectue ce soir son grand retour au sein de la sélection. 8 ans après la dernière fois.
Malgré les appels au boycott, Israël accueille l’Euro U21 sur son sol depuis le début de semaine, avec la particularité de compter dans ses rangs un nombre record de joueurs arabes. Une sélection multiculturelle fait la fierté d’un pays qui aimerait qu’on le voit à cette occasion sous un jour positif. Explications.
Treizième journée des éliminatoires sud-américains ce vendredi. Le sprint final est lancé, avec Argentine-Colombie en tête d’affiche, et un Bolivie-Venezuela qui dégénère avant même le coup d’envoi.
Capable d’accueillir plus de 76 000 personnes, le mythique stade du Centenario devrait sonner un peu creux ce soir lors de la réception de l’équipe de France. A peine 25 000 places vendues. Dans un pays connu pour sa ferveur, on a voulu comprendre pourquoi…