Wenger s’invite au match Nouvelle-Zélande-Îles Fidji

Si Manchester United remporte les faveurs des Asiatiques, les Gunners, eux, parviennent à canonner jusqu’au fin fond du Pacifique.

Ce match de qualifications pour le Mondial 2018 entre la Nouvelle-Zélande et les îles Fidji ne présageait absolument rien d’exceptionnel : un stade vide (cinq cents spectateurs dans une enceinte qui compte trente-cinq mille places), une forte différence de niveau entre les adversaires du jour et treize heures de décalage horaire avec l’Europe occidentale qui expliquent l’audience télévisuelle famélique de la partie au coup de sifflet final.

Et pourtant, au-delà du score final (2-0) qui correspond à la moyenne des joutes entre les deux îles, ce match a trouvé le moyen de faire parler de lui à travers cette bannière qui demande le départ d’Arsène Wenger d’Arsenal.

My mate Alex is at a New Zealand Fiji World Cup qualifier. 500 people in a 35,000 seater stadium. Obviously there’s a #Wengerout banner. pic.twitter.com/aEptUGfKlb

— William Paul (@willpooool) 28 mars 2017

L’Alsacien devra désormais être plus méfiant que jamais, pire que les avions de propagande, sa tête est mise à prix même à l’autre bout du monde.