Pour Óscar García , les cinq changements bénéficient surtout aux grands clubs

En même temps, avec le banc qu’il se farcissait à Sainté…

Selon Óscar García, la règle des cinq changements spécialement instaurées pour la fin de saison n’est pas parfaitement équitable. Dans une interview donnée ce week-end à la radio Cadena Cope, le coach du Celta de Vigo estime que les clubs modestes sont lésés par rapport aux grosses écuries, en raison de la profondeur de leur banc. « Pour moi, la règle des cinq changements profite aux grands, tranche le coach passé en coup de vent dans le Forez en 2017. Ceux qui ne jouent pas dans les grandes équipes seraient des titulaires dans n’importe quelle autre équipe. Les changements que les entraîneurs peuvent apporter dans les grandes équipes sont très bons. La plupart des joueurs sur le banc sont internationaux. »

La dure loi du plus fort.