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La petite lucarne du week-end
Devant quel match se poser ? Sur quelle affiche zapper ? Faut-il se lever dimanche matin pour Téléfoot ou se contenter du CFC de Canal + ?

Devant quel match se poser ? Sur quelle affiche zapper ? Faut-il se lever dimanche matin pour Téléfoot ou se contenter du CFC de Canal + ?

En pleine préparation du match contre Lyon, les Marseillais ont appris qui serait leur prochain adversaire sur la scène européenne.

Les 16èmes vont déjà nous délester de deux belles pointures avec les affiches Naples / Villarreal et surtout Séville / Porto.

L’OL retrouvera le Real comme l’an passé, et Marseille a tiré MU. En Europa League, le PSG hérite du Bate Borisov tandis que Lille affrontera Eindhoven.

Le Collège Arbitral de la Ligue italienne a tranché : Cassano gagne son procès et reste à la Samp. Enfin non. En fait le joueur va partir au Milan AC. Imbroglio total.

Entre la finale bis entre l’Inter et le Bayern, le choc du jeu entre les Gunners et le Barça et l’alléchante confrontation entre le Milan AC et Tottenham, le tirage des 8e envoie le pâté. Vite, le mois de février !

Du lourd pour les français : Lyon/Real et Marseille/Manchester. A noter le remake de la finale de la saison passée, Inter-Bayern…

4 sur 6. Dans le détail un bilan global plutôt décevant qui maintient une appréciation « moyen-bon » de notre championnat.

Alain Cayzac aime le Paris-SG. C’est un fait. Lorsque Robin Leproux lui demande de faire le médiateur envers les supporters du PSG. Il dit oui.

Trois ans que le FC Metz vit en L2 et l’espoir de remontée est aujourd’hui utopique. Pire, le club lorrain pourrait retrouver le National la saison prochaine. Chronique d’une faillite annoncée.

Ce n’était pas au nord de l’Atlantique, juste au nord de Paris. La fondation de gauche libérale Terra Nova organisait mercredi un colloque sur l’avenir du foot français à la Bellevilloise. On y était.

Sale temps pour l’Atletico Madrid. Sixièmes de Liga, Forlan & Co viennent de dire adieu à l’Europa League. Tenants du titre, les Madrilènes laissent leur place à l’Aris Salonique. Moche.

Sans un gardien de but au costume de pompier et les poteaux, Lille aurait pu exploser le voisin de La Gantoise mais a assuré l’essentiel : la qualification sur trois buts d’Obraniak, Frau et de l’inévitable Sow.

Rod Fanni a rejoint l’OM. Un transfert logique, qui a mis cependant du temps à se concrétiser. Présentation…

Demain, Lyon et Marseille connaîtront leur adversaire en Ligue des Champions. Il y a du coriace, du très lourd et de l’exotique. Qui veut quoi ?

Trois éliminés, un seul qualifié à l’arrache : les clubs italiens sont loin d’avoir brillé lors de cette phase de poules de l’Europe League. Les raisons du pourquoi du comment.

Manchester City ne se rendra pas à Turin avec Carlos Tevez. L’Apache est parait-il sur le départ. Rooney a créé une jurisprudence.

Dingue d’opéra, Victor Hugo Morales est connu pour son explosion rhétorique sur le «but du siècle» de Maradona.

Direction la Mer du Nord cette semaine, avec trois championnats houblonnés au programme : les Pays-Bas, la Belgique et le Danemark.

Il y aura au moins un club italien en seizièmes de finale de l’Europa League. Le Napoli s’est qualifié à l’arraché, ce soir, en battant le Steaua Bucarest grâce à un but de Cavani dans les arrêts de jeu.

Des matchs sans enjeu, des remplaçants qui en profitent et le jeu qui en pâtit. Tel est le lot des dernières journées. Celle de ce soir n’a pas échappé à la règle.

La bande de jeunes du Borussia Dortmund s’est jetée corps et âme dans cette “finale”, y a cru, mais au final, c’est le FC Séville qui passe.

Appliquée, l’équipe bis mise en place par Kombouaré en Ukraine a obtenu ce qu’elle était venue chercher : un nul synonyme de première place du groupe.

Face à des Coréens trop légers, l’Inter, malgré sa large victoire, s’est contentée d’assurer le service minimum, mais a perdu Sneijder. Cette demi-finale n’a valu que pour ses highlights.

Le PSG annonce le retour des abonnements dès jeudi, mais le fossé entre la direction et les ex-abonnés reste gigantesque.

Les All Stars de l’Olympiakos et une équipe d’amis de Zinédine Zidane (et Ronaldo) ont infligé une nouvelle défaite à la pauvreté, cette salope !

Après un automne catastrophique et alors que le sort de Benitez est plus que jamais en sursis, l’Inter Milan va tenter de renouer avec sa réussite du printemps.

Il est né en 1990. Il arbore une permanente ridicule mais progresse de match en match au point d’être devenu titulaire à Manchester United.

Où s’arrêtera le Tout-Puissant Mazembe ? Pas en demi-finale en tout cas. En disposant de Porto Alegre, les Congolais donnent à l’Afrique sa première finale de Mondial des Clubs.

Sans prévenir les enfants, on vient de baptiser le match OM contre OL. Le nom de baptême : l’Olympico.

Le milieu de terrain bavarois a annoncé dans une mise en scène savamment orchestrée la prolongation de son contrat pour encore cinq annuités.