- Un jour, un transfert
- Épisode 8
Guðjohnsen à Monaco : plus Eidur est la chute
Un jour, un transfert : Eidur Guðjohnsen à Monaco
Guðjohnsen à l’ASM ? Un but contre Fréjus, et c’est à peu près tout.
Un jour, un transfert : Eidur Guðjohnsen à Monaco
- Un jour, un transfert
- Épisode 7
Jairzinho : un air de samba sur la Canebière
Un jour, un transfert : Jairzinho à l’OM
En 1974, la paire Jairzinho-Paulo César fait danser l’Olympique de Marseille.
Un jour, un transfert : Jairzinho à l’OM
- Un jour, un transfert
- Épisode 6
Lucas Barrios : un Hérault à mi-temps
Un jour, un transfert : Lucas Barrios, un Hérault à mi-temps
En 2014, Lucas Barrios signe à Montpellier pour redevenir le goleador qu’il était à Dortmund.
Un jour, un transfert : Lucas Barrios, un Hérault à mi-temps
- Un jour, un transfert
- Épisode 5
Roberto Baggio à la Juve : Guérilla à Florence
Roberto Baggio à la Juve : Guérilla à Florence
Quand Roberto Baggio passe de la Fiorentina à la Juve, en 1990, c’est tout Florence qui s’embrase.
Roberto Baggio à la Juve : Guérilla à Florence
- Un jour, un transfert
- Épisode 4
Florian Thauvin à l'OM : Who let the Dogue out ?
Un jour, un transfert : Florian Thauvin à Marseille
Signer à Lille puis à l’OM sept mois après, c’est l’année que Thauvin avait décidé de mener.
Un jour, un transfert : Florian Thauvin à Marseille
- Un jour, un transfert
- Épisode 3
Ángelos Charistéas : Un Grec perdu en Provence
Ángelos Charistéas : Un Grec perdu en Provence
À la surprise générale, le héros grec de l’Euro 2004 a atterri chez le promu arlésien à l’été 2010. Il n’y est resté que trois mois.
Ángelos Charistéas : Un Grec perdu en Provence
- Un jour, un transfert
- Épisode 2
Michael Owen : le crash galactique
Michael Owen : le crash galactique
En 2004, le buteur anglais entamait le plus grand tournant de sa carrière en signant au Real Madrid. Pour un crash d’envergure.
Michael Owen : le crash galactique
- Un jour, un transfert
- Épisode 1
Ivan Klasnić : greffe de la fin à Nantes
Un jour, un transfert : Ivan Klasnić à Nantes
Il y a 14 ans, le miraculé croate se posait sur le front de l’attaque nantaise avant de faire un gigantesque flop.
Un jour, un transfert : Ivan Klasnić à Nantes