En 2002, une chocolaterie japonaise avait érigé une statue en chocolat haute de 3 mètres à l’effigie de David Beckham. Aujourd’hui, la 2e réserve mondiale de fans de Beckham s’est remise à parler foot et France. Enfin France et PSG. Enfin PSG. Enfin Beckham. Lost in translation avec un monsieur Dabadie.
En 2002, une chocolaterie japonaise avait érigé une statue en chocolat haute de 3 mètres à l’effigie de David Beckham. Aujourd’hui, la 2e réserve mondiale de fans de Beckham s’est remise à parler foot et France. Enfin France et PSG. Enfin PSG. Enfin Beckham. Lost in translation avec un monsieur Dabadie.
Chaque derby a ses histoires, chaque derby pourrait faire un livre. Hier soir, c’était celui du retour de Balotelli et des prouesses de Handanovic. Un derby marqué par le froid, la neige, les élections, la domination du Milan et l’ambiance électrique d’un San Siro éternel.
On était avec les ultrAslan pour Galatasaray-Schalke
On était avec les ultrAslan pour Galatasaray-Schalke
Ferveur, fureur, frissons : ce qu’on cherchait, on l’a trouvé avec les supporters turcs. Malgré le match nul 1-1 du Galatasaray Istanbul face au FC Schalke 04, les émotions furent intenses pendant 90 minutes.
Il était là. Un peu en retard mais bien sapé et plutôt convaincant. Le PSG a présenté David Beckham et Beckham a fait du Beckham. Toujours pro, parfois drôle, l’Anglais a assuré l’exercice de communication. Leonardo et Nasser ont bu du petit lait.
À Belleville, la communauté tunisienne a vécu son premier match de la CAN dans les bars. Et comme prévu, ils ont fêté leur victoire avec fumigènes et klaxons.
À moins d’avoir un bon paquet d’argent, le plus grand derby d’Angleterre se vit à l’extérieur du stade. Au milieu de mouettes, de quelques asiatiques, d’un gros rasé, des vendeurs d’écharpes, de flics et de quelques frites orphelines.
« Everton ? Goodison Park ? Connais pas. Jamais entendu parler ! », feinte le guichetier de la gare routière de National Express, fan de Liverpool aussi, avant d’indiquer la bonne direction. Humoriste.
C’est un monde exclusivement masculin qui s’est retrouvé sans trop se connaître dans un bureau de paris du centre de Manchester. Si le Boxing Day est jour de sport, il est aussi jour de jeu, autour du foot, de canassons et même de lévriers.
ASSE-OL dimanche dernier dans le Chaudron de Geoffroy-Guichard. Mais aussi derby wallon Standard-Charleroi le vendredi précédent dans le Chaudron de Sclessin. So Foot y était. Bilan comparatif, garanti sans mauvaise foi.