Avec tout le tapage médiatique autour de son arrivée sur la TNT, difficile de manquer les débuts de L’Équipe 21. Et pour sa première, la chaîne 100% sportive avait décidé d’en mettre plein à la vue. Avec pas mal de foot… et Céline Dion.
Pour la majorité des Manx, le derby se joue d’abord entre quatre murs, celui de son pub. Plus simple que d’avoir une place à l’Etihad ou à Old Trafford. En plus, on peut rester debout.
Dimanche dernier se jouait en lointaine banlieue londonienne un 2e tour de Cup entre deux équipes se partageant un passé commun : celui du Wimbledon FC. Cette première confrontation vient surtout conclure 10 ans d’une histoire troublée.
Seule capitale des championnats majeurs à ne pas compter de club parmi l’élite, le foot berlinois déprime. On a quand même fait le Mur et on est allés voir ce qui s’est passé à l’Est, du côté du 1. FC Union Berlin.
Berlin, c’est hype, qu’ils disent les hipsters du monde entier. Et le foot dans tout ça ? Bah, c’est pas folichon. Seule capitale à ne pas avoir de club parmi l’élite, le foot berlinois déprime. On a quand même fait le Mur pour voir ce qui se passe à l’Ouest, du côté du Hertha.
Décidément, l’amour du football est une équation à multiples inconnues. Sinon, comment expliquer qu’à Lille, plus qu’ailleurs, s’élève une véritable colonie de supporters marseillais ? Avant Marseille-Lille, on est donc parti à la rencontre de ces faux Lillois.
Match de haut de tableau hier soir entre Boca Juniors et Newell’s Old Boys, mais match très moyen (0-0). Bon, c’était quand même l’occasion de prendre des nouvelles de Gaby Heinze et de voir à l’œuvre l’héritier de Riquelme.
Dans sa ville natale de Boulogne-Sur-Mer, Franck Ribéry a ouvert un bar à chicha. Pas la peine d’envoyer vos CV, ici ne travaille que son entourage. La famille, quoi. D’ailleurs, c’est madame qui gère l’affaire.
Chaude ambiance allemande hier soir dans les tribunes et sur le terrain du Bernabéu. Mais pas que. Aussi dans cette fameuse zone mixte d’où sortent toutes ces attendues déclarations d’après-match. Récit d’un autre match, côté coulisses.
Le collectif « Génération Précaire » organisait mercredi, sur les Champs-Élysées, un match des stagiaires du PSG contre ceux de l’OM. Un match pour de faux, mais pour dénoncer un vrai problème, le salaire de misère versé par le club le plus riche de France à ses stagiaires.