Ils se sont détestés pendant des années et des années. Depuis plus de 100 ans, les rendez-vous entre le Celtic et les Rangers rythmaient la saison en Écosse. Mais désormais, l’un des deux n’existe plus. Et l’autre se retrouve seul.
Ce soir, l’Inter se déplace en Croatie, pour y affronter l’Hajduk Split lors du 3e tour de qualification de l’Europa League. Les Nerazzurri doivent décrocher leur billet pour les barrages de la C3. Le risque de ne pas être européen est bien là…
Bien planqué dans l’ombre des stars Cavani et Suarez, Egidio Arevalo Rios est l’un des hommes clés du dispositif uruguayen. Capitaine de cette Céleste olympique pour le moment décevante, il s’épanouit enfin après des années de galère.
Le troisième club du Portugal est le Sporting, c’est sûr. Mais lequel ? Alors que les Leoes de Lisbonne perdent du terrain depuis trois ou quatre saisons, les guerriers de Braga gravissent les échelons jusqu’à venir disputer le statut de numéro trois lusitanien.
Non, l’Europa League n’est pas la seule spécialité de l’Atlético Madrid. Victimes de schizophrénie chronique, les Colchoneros espèrent enfin pouvoir enchaîner deux belles saisons. Voilà trois bonnes raisons d’y croire.
En attendant la reprise, les protagonistes de la L1 suent comme des taureaux pour arriver prêts. Focus sur cette période charnière qu’est la préparation physique avec cinq joueurs qui ont accumulé les litres de flotte transpirés depuis le début de leur carrière.
Actuellement, Terry et compagnie décuvent de leur victoire en Ligue des champions. Roman Abramovitch, lui, fait péter son compte en banque pendant que Roberto Di Matteo apprend l’anglais à Eden Hazard en attendant Oscar. Les grands travaux ont commencé.
Cette équipe olympique du Maroc version 2012 est vraiment étrange. Tantôt capables d’avoir les plus belles inspirations et de réussir les plus beaux gestes, tantôt capables de se trouer dans les grandes largeurs, les Lionceaux de l’Atlas donnent l’impression de vouer un culte à Double-Face.
Véritable « coupe en chocolat » pour certains, le Trophée des Champions trouverait pourtant une place de choix dans la vitrine montpelliéraine que les Mounier, Congré et Herrera, se verraient bien garnir un peu plus.