Le topic des romantiques

C'était de l'ironie.

C'était de l'humour.

Donc bonsoir tout le monde :

Revenons à début 2008, l'année ou je rencontre Hélène, la première fille avec qui je reste plus de six mois huhu, une fois, en hiver, nous étions isolés quelque part et comme ce rancard commençait à durer, je décide de sortir le joint que j'avais préparé la veille. Hélène me demande ce que c'est, ce n'est pas une cigarette normale. je lui dis qu'elle doit pas s'inquiéter, que c'est juste du tabac à rouler et je l'invite à fumer avec moi huhu. La meuf s'y prend et jamais elle n'a été autant sympa huhu.

Je lui avoue que c'était un joint, elle le prend mal mais en lui expliquant qu'elle fallait bien qu'elle essaye un jour et que c'était pour détendre l'ambiance, elle était redevenue prête à me faire tout ce que je lui aurai demandé, même en public huhu. Un souvenir parmi d'autres, ah la nostalgie. Malgré toussa elle était toujours méfiante envers moi et son soit-disant meilleur ami était un puceau qui, forcément, voulait sortir avec elle, même en secret.

Au fil du temps notre relation se dégrade et elle décide de rompre. Ok pas grave, la ou le bat blesse, c'est que tout de suite elle s'est trouvée un nouveau copain qui était son meilleur ami. Ça fait mal quand même...

Été 2009, je rencontre une autre fille, mignonne sympa tous ce que vous voulez, elle était autant enchantée que moi mais on devait pas se revoir avant deux mois, soit dans la rentrée, donc j'avais pas conclu tout de suite. Ok, cette fameuse rentrée arrive et le moment fatidique de l'histoire arrive lui aussi. Je suis avec un pote, la fille vient me voir donc obligé de la lui présenter, c'est normal vous me direz. Mais non c'est pas normal parce que ce pote ne se gêne pas pour lui proposer son aide dans cet environnement qu'elle ne connait pas, il lui lance un:"si tu as besoin de tout, je suis la." La fille est toute contente, à peine arrivée, elle n'a rien à craindre. Oui, elle n'a pas tort. Moi par contre, je venais de comprendre que c'était fini, pourquoi ? Parce que j'avais des antécédents avec ce pote, il m'avait déjà fait le coup avec une autre fille.

Direct je décide alors de me retirer de cette histoire à la con et comme je tombe sur une bombe quelque jours après, c'était encore plus facile. Tandis que l'autre con, qui n'avait aucune prétention sauf m'emmerder et s'afficher avec elle, continuait son jeu. Ça ne durera pas puisqu'elle finira par comprendre. En voulant me reparler je m'étais disputer avec elle mais on finira par s'arranger sans plus. Jusqu'à dernièrement, on s'est dit qu'il fallait qu'on en reparle pour peut-être recommencer à zéro. On est quand même en 2014, beaucoup de temps est passé, est-ce que vaut le coup ?

Bah j'sais pas, tu sors pas avec une nouvelle bombe?

Il y a bien des coups à gauche et à droite mais je me demande quand même si ça vaut encore le coup avec l'autre cinq années plus tard.

C'est comme du réchauffé comme histoire.

Bah continue tes coups à droite et à gauche, mets-lui au centre, et tu verras bien c'que ça donne. Faut savoir être pragmatique parfois, même (surtout!) quand il s'agit d'histoires d'amour (de cul!). Qu'est-ce que t'as à perdre finalement?

...à moins d'être vraiment (trop!) amoureux, t'as rien à perdre, mais tu peux prendre du bon temps, prendre et donner, et parfaire ton savoir en la matière ((ça peut parfois aider l'expérience en amour (en sexe!!)).

Mais si ce n'est pas indiscret, t'as quel âge en fait?

(((Par contre, C'EST PAS BIEN (du tout) de faire prendre des psychotropes ou autres paradis artificiels aux gens sans les prévenir!...pas bien du tout Benoît!!)))

c'est vrai ça...!

Le mec qui me fait fumer un joint sans me le dire, je le bute. Surtout avec la justification "fallait bien que tu y passes un jour". J'ai l'impression que ça revient à se faire enculer sans prévenir, la meuf hurle, "Allez, chérie, fallait bien que ça arrive un jour."

Elle devait être déjà bien entamée pour ne pas avoir reconnu l'odeur.

Si elle n'a jamais fumé de sa vie et ne sort pas beaucoup, elle ne connaît peut-être tout simplement pas l'odeur.

Circonstance aggravante alors. Pas bien Benoit, pas bien du tout !

Le pauvre Benoît, il se casse le cul à mettre des virgules partout, son texte est à peu près lisible (je parle sous le contrôle de la Faculté...Pit ?) et il se fait défoncer parce qu'il a fait fumer une nana...life is a bitch.

Bon, voici une histoire de ma jeunesse, où je suis un connard.

Alors étudiant en première année, et dès lors très attiré par la gente féminine pour des ébats occasionnelles et sortant d'une relation plus ou moins longue de lycéen, je me dois de présenter mon école pour la prochaine rentrée à plusieurs jeunots.

L'un d'entre eux : Marc, m'a l'air très sympathique durant la visite, et nous allons après la journée boire plusieurs verres ensemble pour faire plus ample connaissance.

C'est alors qu'il me présente sa copine : Ophélie. Une très charmante demoiselle, blonde, élancée, des formes plus qu'avantageuses.
Cette belle créature nous rejoint dès lors à table du bar où nous étions pour boire avec nous.

Charmante, intelligente, élégante, bref, ma mâchoire avait du mal à se refermer, tellement cette demoiselle était à mon goût. Elle me pose beaucoup de question sur moi, ma vie, qui je suis etc pendant la soirée, et je sens une certaine connexion, voir attraction entre nous, sans pour autant faire quoi que ce soit.

Après le bar, Marc, déjà très saoul (très petit le pauvre, il avait du mal à tenir la cadence), propose d'aller en boite. Ce dernier commande un petit peu trop de vodka red bull (de mémoire tout du moins) dans ce lieu et finit complètement pété et s'endors sur la table où nous étions.

Ophélie me propose alors d'aller danser. Ayant dans ma peau le sens du rythme inné de la population caucasienne, je décide de la joindre. Nous dansons, nous nous frottons, et il devait arriver ce qu'il arriva : nous nous embrassons, longuement, tout en touchant sensuellement nos corps dans ce lieu impie.

Me sentant bien et mal en même temps, et oui, j'ai une conscience, nous n'irons pas plus loin ce soir-là que de simplement s'embrasser, sachant le cher Marc toujours à nos côtés, endormit comme une loque.
Au moment de partir de la boite, nous réveillons ce cher paillasson, et nous séparons.

D'une manière qui m'est encore étonnante, je reçois la semaine qui vient un coup de téléphone d'un numéro que je ne connais pas. Je décide dès lors de décrocher. La chère Ophélie avait réussi à obtenir mon numéro de téléphone (probablement fouillé dans le répertoire de Marc).

Elle me demande si je voulais que l'on se voie ce weekend.

Pris de remords, mais avant tout chaud comme une baraque à frite d'un Kebab immangeable, je décide d'accepter l'invitation. Mon logement étudiant n'étant pas des plus beaux, et mes parents en vacances en dehors du pays, je décide de l'inviter dans leurs demeure, me fois plutôt conviviale et confortable.

Nous passons un weekend d'amour et de volupté. Épuisant beaucoup de mes ressources physiques.

La semaine suivante, Marc m'appel et me demande si on peut se voir pour boire quelques verres ensemble. Je m'exécute.

Il me raconte alors pendant le biais de nos conversations, qu'il soupçonne sa copine de le tromper. Il aurait en effet, trouvé étrange son indisponibilité le weekend dernier, et il trouve qu'elle a la tête ailleurs lorsqu'ils sont ensemble.

Étant très intéressé par la demoiselle, je décide jouer le petit diable sur l'épaule de ce cher Marc, et lui dit que bien entendu, cela sautait aux yeux, et qu'il devrait la larguer.

Ce cher et gentil Marc s'exécute, Ophélie m'appel pour la consoler, et j'ai passé plusieurs moi sur et sous elle tout en ayant de temps en temps des verres avec Marc, qui lui ne savait rien.

Il n'y a pas vraiment de fin, car un jour j'ai simplement décidé de passer à quelqu'un d'autre par le biais de rencontres fortuites (dont une autre Ophélie d'ailleurs, je raconterai cette histoire une autre fois).

Rétrospectivement : j'étais un beau salop et ce fut la dernière fois où j'ai pu « voler » la petite amie de quelqu'un que je connais. Je l'ai fait par pur amusement, je ne le regrette pas totalement, mais tout du moins partiellement.

(Pardon pour les fautes)

Un seul mot : gros bâtard...mais je ne te condamne pas note-le bien^^

La jeune fille fut au moins à moitié aussi vile que toi, tu le connaissais à peine.

Mais, morale mise à part: ce fut bien joué.

S'est-elle noyée de désespoir après la rupture ?

Probablement pas...

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Hahaha...oui je vois

T'es bien un mec de droite toi ^^

Explique ? ... :)

Un salaud d'opportuniste individualiste ^^

Salut Moun...rien reçu, so far. Normal ?

Roooooh Moun, pas gentil tout ca !