S’abonner au mag

Le topic des romantiques

Où l'on discute délits du coeur, amours déchues et relations avortées pendant les prolongations.

C'est ici que l'on peut raconter son histoire et attendre en retour des conseils ?

Alors toi, laisse-moi deviner : elle t'a plaqué parce que t'as une tête de chou anabolisé et l'air démoniaque ?

C'est ici que l'on peut raconter son histoire et attendre en retour des conseils ?

Effectivement beau diable !

(mais ça peut être "attendre" au sens propre malheureusement ^^)

C'est ici que l'on peut raconter son histoire et attendre en retour des conseils ?

Ça dépend, c'est le forums des incels ici, les conseils vont forcément être un peu orientés.

Ecoute pas trop Hem's, il va te dire de prendre un bain avec des bougies et c'est pas bon pour la planète...

C'est ici que l'on peut raconter son histoire et attendre en retour des conseils ?

Disons que raconter déjà ça fait du bien. Comme la bienveillance qui règne ici. Juste envie de prendre une bière après avoir lu vos commentaires. Merci

Salut la troupe.

Bon, je me suis vraiment marré en lisant certaines interventions ici et il est donc juste que je contribue également.

Je viens de poster sur un article une anecdote par rapport aux défaites du Brésil en coupe du monde, que je vous copie-colle ici en y mettant un peu les formes.

---------------------------------

Lors du fameux 1-7 contre l'Allemagne, j'étais à Porto en compagnie d'une charmante russe (Margarita, si tu me lis) et nous avions noté que c'était la première fois qu'on pouvait constater autant de gens se bidonner au même endroit. Que ce soit réellement ou nerveusement. Vraiment, c'était une atmosphère très particulière, qui n'aura duré qu'une vingtaine de minutes et que je n'ai plus rencontré depuis.

En vrai, je pense que j'ai eu du bol et qu'elle avait juste envie de se faire un français. Elle faisait partie d'un groupe de potes russes en vacances au Portugal. Le genre de groupe dont l'argent de poche équivalait à une année de salaire pour moi, si tu vois un peu.

C'était mon dernier soir à Porto, mon pote avec qui on était en virée depuis plusieurs mois venait de partir et j'étais supposé prendre le bus pour Perpignan le lendemain... le hasard à fait que j'ai croisé cette bande de joyeux drilles et qu'en tant que touriste "établi" à Porto, je me suis proposé pour les guider dans quelques troquets qui n'étaient pas sur les radars officiels...

Bref, on s'encanaille joyeusement et je peux constater que les russes, indubitablement, ne badinent pas avec l'alcool. Moi-même, j'ai peu de souvenirs de cette soirée mais je t'en partage quelques-uns, que tu apprécieras ou non :

- A un moment donné, je me retrouve dans un bar avec la troupe. Ambiance salsa/latine. On danse, on se rapproche et donc je tombe le pull. Je le perds de vue à force de mater le sublime boule de celle qui me taquine depuis le début de la soirée et je finis par le retrouver sur les épaules d'un type, du genre plus épais que moi. Pas con, je ne pipe mot, parce que j'ai un meilleur plan en tête que me faire péter la gueule par un tocard aviné.

Bref, on sort en direction d'une nouvelle destination. L'un des gars russes (Artyom ?) constate que j'ai un tantinet froid et me demande où est mon pull. Je lui réponds dans un anglais de bourré que c'est pas grave, je l'ai oublié à l'intérieur et un mec l'a récupéré. Ben Artyom (appelons le comme ça) rentre à nouveau dans le bar, il y reste deux minutes et il ressort avec mon pull. J'ai aucune idée de ce qu'il a pu y faire mais respect à ce gars. Bon après il a glorifié Poutine lorsqu'on discutait, mais c'est autre chose.

- En toute fin de soirée, la fatigue me guette et je suis quelque peu dépité de ne pas avoir obtenu plus qu'un collé-serré muy caliente avec la dénommée Margarita. Le groupe s'éparpille gentiment avec d'autres fêtards, et je me retrouve sur un banc en train de regretter d'avoir fumé mon dernier pétard et d'anticiper un retour par bus cataclysmique avec une gueule de bois d'enfer. C'est à ce moment-là que cette divine russe a choisi de partager mon banc, de me rouler une galoche passionnée comme j'en ai pas eu depuis l'adolescence et de descendre sa main vers l'objectif de son comportement.

Je ne suis donc pas parti le lendemain et j'ai appris que je pouvais avoir un engin fonctionnel malgré une quantité démentielle d'alcool dans le sang, du moment qu'une douchka à la peau d'albâtre et au cul de rêve s'intéresse à moi.

Salut la troupe.

Bon, je me suis vraiment marré en lisant certaines interventions ici et il est donc juste que je contribue également.

Je viens de poster sur un article une anecdote par rapport aux défaites du Brésil en coupe du monde, que je vous copie-colle ici en y mettant un peu les formes.

---------------------------------

Lors du fameux 1-7 contre l'Allemagne, j'étais à Porto en compagnie d'une charmante russe (Margarita, si tu me lis) et nous avions noté que c'était la première fois qu'on pouvait constater autant de gens se bidonner au même endroit. Que ce soit réellement ou nerveusement. Vraiment, c'était une atmosphère très particulière, qui n'aura duré qu'une vingtaine de minutes et que je n'ai plus rencontré depuis.

En vrai, je pense que j'ai eu du bol et qu'elle avait juste envie de se faire un français. Elle faisait partie d'un groupe de potes russes en vacances au Portugal. Le genre de groupe dont l'argent de poche équivalait à une année de salaire pour moi, si tu vois un peu.

C'était mon dernier soir à Porto, mon pote avec qui on était en virée depuis plusieurs mois venait de partir et j'étais supposé prendre le bus pour Perpignan le lendemain... le hasard à fait que j'ai croisé cette bande de joyeux drilles et qu'en tant que touriste "établi" à Porto, je me suis proposé pour les guider dans quelques troquets qui n'étaient pas sur les radars officiels...

Bref, on s'encanaille joyeusement et je peux constater que les russes, indubitablement, ne badinent pas avec l'alcool. Moi-même, j'ai peu de souvenirs de cette soirée mais je t'en partage quelques-uns, que tu apprécieras ou non :

- A un moment donné, je me retrouve dans un bar avec la troupe. Ambiance salsa/latine. On danse, on se rapproche et donc je tombe le pull. Je le perds de vue à force de mater le sublime boule de celle qui me taquine depuis le début de la soirée et je finis par le retrouver sur les épaules d'un type, du genre plus épais que moi. Pas con, je ne pipe mot, parce que j'ai un meilleur plan en tête que me faire péter la gueule par un tocard aviné.

Bref, on sort en direction d'une nouvelle destination. L'un des gars russes (Artyom ?) constate que j'ai un tantinet froid et me demande où est mon pull. Je lui réponds dans un anglais de bourré que c'est pas grave, je l'ai oublié à l'intérieur et un mec l'a récupéré. Ben Artyom (appelons le comme ça) rentre à nouveau dans le bar, il y reste deux minutes et il ressort avec mon pull. J'ai aucune idée de ce qu'il a pu y faire mais respect à ce gars. Bon après il a glorifié Poutine lorsqu'on discutait, mais c'est autre chose.

- En toute fin de soirée, la fatigue me guette et je suis quelque peu dépité de ne pas avoir obtenu plus qu'un collé-serré muy caliente avec la dénommée Margarita. Le groupe s'éparpille gentiment avec d'autres fêtards, et je me retrouve sur un banc en train de regretter d'avoir fumé mon dernier pétard et d'anticiper un retour par bus cataclysmique avec une gueule de bois d'enfer. C'est à ce moment-là que cette divine russe a choisi de partager mon banc, de me rouler une galoche passionnée comme j'en ai pas eu depuis l'adolescence et de descendre sa main vers l'objectif de son comportement.

Je ne suis donc pas parti le lendemain et j'ai appris que je pouvais avoir un engin fonctionnel malgré une quantité démentielle d'alcool dans le sang, du moment qu'une douchka à la peau d'albâtre et au cul de rêve s'intéresse à moi.

Et la suite ??

On veut la suite !!

Pour parler un peu de mon cas personnel.

J'ai un énorme problème avec le sexe dans un couple. J'ai 42 ans et j'ai jamais, je dis bien jamais, réussi à être fidèle à une nana. J'ai eu plusieurs histoires longues, j'ai été marié, mais à chaque fois j'ai "besoin" d'aller voir ailleurs.

Dans ma tête, le sexe c'est plutôt bestial et je trouve ça dégradant pour la nana avec qui je fais certaines choses. Et du coup, si c'est une fille que j'aime, ça me bloque, vraiment. Du coup je pratique un sexe "normal" avec ma compagne mais je cherche toujours ailleurs pour me lâcher, avec une nana que je ne connais pas...

Pourtant ma compagne actuelle est vraiment hyper open, je n'ai vraiment pas à me plaindre, mais c'est moi qui bloque, j'ai jamais réussi à me lâcher.

Et elle le ressens... Des fois je suis tellement bloqué par ça que l'on passe des semaines entières sans rien faire, et ça créé vachement de tensions...

Si l'on rajoute son côté hyper impulsif, ça fait des étincelles

En fait je me dis souvent que finalement je suis pas fait pour vivre en couple.

Mais on a une petite fille maintenant et c'est pas à elle de subir tout ça.

Enfin bon ma vie je pourrais en écrire un roman tellement j'ai eu d'histoires...

Pour parler un peu de mon cas personnel.

J'ai un énorme problème avec le sexe dans un couple. J'ai 42 ans et j'ai jamais, je dis bien jamais, réussi à être fidèle à une nana. J'ai eu plusieurs histoires longues, j'ai été marié, mais à chaque fois j'ai "besoin" d'aller voir ailleurs.

Dans ma tête, le sexe c'est plutôt bestial et je trouve ça dégradant pour la nana avec qui je fais certaines choses. Et du coup, si c'est une fille que j'aime, ça me bloque, vraiment. Du coup je pratique un sexe "normal" avec ma compagne mais je cherche toujours ailleurs pour me lâcher, avec une nana que je ne connais pas...

Pourtant ma compagne actuelle est vraiment hyper open, je n'ai vraiment pas à me plaindre, mais c'est moi qui bloque, j'ai jamais réussi à me lâcher.

Et elle le ressens... Des fois je suis tellement bloqué par ça que l'on passe des semaines entières sans rien faire, et ça créé vachement de tensions...

Si l'on rajoute son côté hyper impulsif, ça fait des étincelles

En fait je me dis souvent que finalement je suis pas fait pour vivre en couple.

Mais on a une petite fille maintenant et c'est pas à elle de subir tout ça.

Enfin bon ma vie je pourrais en écrire un roman tellement j'ai eu d'histoires...

Je veux pas jouer a la Brigitte Lahaie de service mais après avoir lu ton message j'ai la conviction que tes rapports sexuels sont dans la tendance a devenir toi même l'objet sexuel .

A mon humble avis de pineur je te conseille de te faire visiter le trou de balle .Pas forcément dans des rapports homosexuels mais au moins de te faire doigter le cul .

Hey Zenzile,

Toute proportion gardée, je me retrouve quand même un peu dans ce que tu décris. Je vais essayer de te répondre sans être trop décousu.

J'aime la baise, le sexe, l'amour, les câlins. Mais j'ai appris à compartimenter ma vie assez tôt et je crois que ça se traduit aussi dans mes relations.

J'ai trompé toutes mes copines, sauf l'actuelle. Celles qui m'intéressaient à peine comme celles que j'ai éperdument aimé et j'ai pourtant une sexualité que je qualifierai de classique (mais efficace oh, faut pas déconner). J'ai pas besoin de pratiquer la brouette moldave, je suis carrément plus duo que collectif et m'imaginer défoncer la grotte aux mystères en gueulant des insanités à ma partenaire, ça me fait plus rire que bander.

Mais comme je le dis élégamment à certains de mes camarades : j'ai une femme, mais j'ai aussi deux yeux.

Pourquoi je t'ai parlé de ma sexualité assez classique ? Parce que la grille de lecture que je souhaite te proposer considère la sexualité "bestiale" comme tu écris limite comme une excuse. Il s'agit - et c'est uniquement mon opinion - peut-être plus d'une simple histoire de désir et d'ego.

Désirs pour d'autres corps : quoi de plus normal, quand le monde a tant de belles pépées à nous proposer ? Être monogame, ça demande une sacré force mentale quand, selon ton boulot ou ta situation, tu croises parfois des dizaines de belles femmes tous les jours. Bien sûr qu'à un moment donné t'as envie d'en mettre une dans ton plumard, ou a minima le fantasmer.

L'ego, l'envie de plaire : bah ouais c'est couillon mais bobonne, elle te connaît et même s'il reste de la séduction, on est quand même sur de l'acquis... on considère son/sa partenaire comme nôtre et ce qui est nôtre... est forcément moins désirable, puisqu'on le possède.

Petite question : vous avez tenté de vous faire un petit délire "chemsex" comme on dit de nos jours ? Une bonne bouteille de pinard (chacun) ou un petit cacheton de MD selon vos envies et c'est parti pour la grande baise.

En avez-vous parlé ? Je veux dire sérieusement ? As-tu réussi à dire à te chère et tendre : "chère et tendre, je veux te mettre une boule dans la bouche, tirer tes cheveux et laminer ton arrière-train toute la nuit, est-ce que tu me suis ?" Si ce n'est pas déjà fait, ce serait un bon début... p'tet que ça la fera gueuler, mais c'est aussi l'occase de mettre une bonne pétée d'après engueulade, c'est toujours ça de pris.

Bref, le dialogue peut être surprenant des fois...

Je reviens sur le fait que je n'ai pas trompé ma compagne actuelle, et peut-être y trouvera-tu d'autres éléments de réponse.

Elle est sensiblement plus jeune que moi et était très TRES inexpérimentée lorsque nous nous sommes rencontrés. Une relation sexuelle (littéralement) et rien d'autre. Pour un affamé du cul pour moi, ça a été à la fois une redécouverte, un plaisir et un parcours du combattant. Je ne suis pas peu fier de dire que ma chérie a bien évolué sur le sujet et est devenu - à mon grand plaisir - une belle coquine tout à fait portée sur la chose...

Comment nous y sommes arrivés ? En pratiquant, en discutant et en patientant... mais j'ai quand même une petite technique de vicelard cynique que je te partage : le conditionnement.

Lorsque j'ai touché pour la première fois - après de nombreux ébats - le gouffre fessier de madame, je peux te dire que je me suis fait rembarrer. Mais je suis malin. Vu que je connais madame comme ma poche, je sais comment la faire grimper aux rideaux avec mes mains expertes. Systématiquement. Et j'ai commencé par revenir vers la zone interdite au paroxysme des moments de plaisir. Puis j'ai continué. Et madame a aimé. Tant et si bien que lors de chaque période mensuelle d'indisponibilité, j'ai non seulement le droit, mais surtout l'obligation, de continuer à m'occuper d'elle par toute entrée qui n'est pas marquée d'un rideau rouge.

En somme, et en moins graveleux : notre pratique sexuelle est, pour elle comme pour moi, une accumulation de découvertes, de plaisirs et de désirs non encore tous assouvis, ce qui fait peut-être la force de cette relation (sur le plan charnel du moins).

Après, je reste moi-même et je me connais... j'ai déja dragué quelques nénettes à côté mais à ma grande surprise, j'ai moi-même calmé le jeu en évoquant assez rapidement ma chère et tendre pour éviter que ça n'aille plus loin. Jusqu'à quand ? Ca je ne sais pas. Encore une fois, je me connais... et je bosse dans une grosse boîte avec beaucoup trop de belles femmes.

Mais pour l'instant et pour la première fois de ma vie, je peux me la péter en me disant 'un homme, ça s'empêche'.

Dernier élément de réflexion et après tu en feras ce que tu veux :

Le côté "dégradant", c'est quand même de la bonne grosse morale qu'on s'impose et qu'on intègre tôt. Beaucoup d'hommes sont probablement dans ta situation à se dire : "Non, c'est trop hardcore... faut que je me paye une pute, jamais elle voudra".

Mais si le bonhomme se dit ça, imagine la femme, qui se prend encore plus d'interdits et de moralisation dans la gueule depuis bien plus longtemps ? Comment peut-elle exprimer son envie d'être prise comme une chienne, sans se dévaloriser et apparaître comme une pute aux yeux de son partenaire ? Exercice délicat. Là encore, le dialogue peut résoudre beaucoup de choses, à un niveau surprenant...

On est tous et toutes, chacun à notre niveau, habités par un être dégueulasse et salace qui veut jouir d'un autre être humain. Evidemment, on est bien élevés et on le cache, ce petit être vil (non je ne parle pas de ton pénis :p). Mais en présence d'un partenaire qu'on estime, un partenaire en qui on a confiance, peut-être peut-on parfois s'accorder le droit de laisser sortir le petit être vil. On le tient en laisse certes, mais on lui accorde le droit de sortir, d'exulter, et de labourer l'arrière-train de cette chienne.

Cette chienne qui, une heure après, redeviendra notre bien-aimée avec qui l'on sirote un thé, engoncés dans nos plaids, au coin du poêle, à faire la liste de courses pour le lendemain et t'oublieras pas de déposer le gamin au foot hein.

Bonne soirée

Tu peux trouver que ta femme est la plus belle du monde ,la désirer toujours aussi fort….et aller voir ailleurs.

Merci Ardech' pour ta longue réponse ;)

Pour te dire, niveau sexe ma copine est sacrément portée la dessus, bien plus que moi. Et je sais qu'elle aimerait que je lui fasse du sale parfois, mais le blocage vient de moi.

On s'est connus via internet ça devait être juste un plan cul au début.

Elle m'avait sorti cette phrase : "j'aime tellement sucer que si j'étais un mec je serai homo", et elle m'avait aussi raconté qu'elle s'était déjà retrouvée seule avec 3 mecs.

Enfin voilà, tout ça pour dire que c'est moi qui arrive pas à me lâcher avec elle, j'ai l'impression de trop l'idealiser pour faire ce qui me passe par la tête, alors qu'elle attend que ça.

C'est compliqué dans ma tête ;)

Bah pose lui des questions à travers une discussion anodine.

Moi ma dame elle avait du mal à assumé le fait qu'elle aimait se faire défourailler a cause du fait qu'elle a ses gosses a la maison, qui sont pas les miens et que depuis son mariage/divorce elle a pas connu d'autres queues donc 15 piges avec la même queue ça laisse des marques.

Après quelques ajustements maintenant elle adore le rapport anal et l'utilisation d'ustensiles et n'a plus de problèmes a me demander de lui faire mal et de la traîter comme une chienne .

Moi j'avais bien compris ça dès notre premier rapport y avais juste a déclencher le truc qui vient d'elle .

En toute intelligence.

Je parle des rapports intimes bien entendu.

Pas de la vie quotidienne même si pour moi c'est différent puisqu'on vit pas ensemble.

Mais bon si t es pas un cinglé de pervers narcissique au quotidien ya aucune raison que ta dame refuse ce dont elle a envie .

Sinon le problème c'est toi .

Hâte de lire la contribution de Bonobo hahaha

"Le sexe en couple dans la chambre, cette activité bourgeoise qui ne dit pas son nom. Alors qu'il n'y a rien de mieux d'attraper la Marie dans la grange pendant que bobonne trait les vaches !.

Pour parler un peu de mon cas personnel.

J'ai un énorme problème avec le sexe dans un couple. J'ai 42 ans et j'ai jamais, je dis bien jamais, réussi à être fidèle à une nana. J'ai eu plusieurs histoires longues, j'ai été marié, mais à chaque fois j'ai "besoin" d'aller voir ailleurs.

Dans ma tête, le sexe c'est plutôt bestial et je trouve ça dégradant pour la nana avec qui je fais certaines choses. Et du coup, si c'est une fille que j'aime, ça me bloque, vraiment. Du coup je pratique un sexe "normal" avec ma compagne mais je cherche toujours ailleurs pour me lâcher, avec une nana que je ne connais pas...

Pourtant ma compagne actuelle est vraiment hyper open, je n'ai vraiment pas à me plaindre, mais c'est moi qui bloque, j'ai jamais réussi à me lâcher.

Et elle le ressens... Des fois je suis tellement bloqué par ça que l'on passe des semaines entières sans rien faire, et ça créé vachement de tensions...

Si l'on rajoute son côté hyper impulsif, ça fait des étincelles

En fait je me dis souvent que finalement je suis pas fait pour vivre en couple.

Mais on a une petite fille maintenant et c'est pas à elle de subir tout ça.

Enfin bon ma vie je pourrais en écrire un roman tellement j'ai eu d'histoires...

Aucun rapport entre le queutard et le cinéphile, donc.

Intéressant !

Hier soir,j ai découvert cette partie du forum,confessionnal ou coin de comptoir réjouissant avec son lot de temoignages sans detours.

Je crois que je n y suis pas venu par hasard.

Je suis séparé depuis 2 ans avec des kids une semaine sur deux et j ai tâche de tromper ma tristesse avec des aventures plus ou moins sans lendemain.j ai essayer de revenir à mon quotidien d avant ma relation de 8 ans : gentil branleur un peu timide qui séduit sans en avoir l air.sauf que la quarantaine bien passé,ce jeu est plus laborieux et je me sens un peu fatigué d écumer les bars ou tout autre endroit pour rencontrer l âme sœur d une nuit

J ai commencé une mission depuis trois mois au sein d une équipe qui aime se réunir pour decompresser autour de plusieurs verres.precision:j etais le premier à fuir toute relation sentimentale ou autre au bureau.Bon,vous me voyez venir,depuis 3 semaines maintenant,je suis focalise sur une femme au point où les 35 heures me paraissent passées bien trop vite au regard du temps que j aspire passer auprès d elle.je pense souvent( trop) à elle d autant plus qu elle ne cesse de me montrer qu elle apprécie ma compagnie. on multiplie les occasions pour se retrouver ensemble au taf ou en apero sur le pouce qui derape en derniere tournee avant de se faire jetter du bar.on est complice comme rarement je l ai ete avec quelqu'un. Elle me charme de par ses mimiques et son humour,jolie sans rentrer cependant dans les cases étriquées de cet idéal à l aulne duquel je jugeais mes potentielles partenaires..en gros ,je suis surpris par une rencontre ou je ne maîtrise pas grand chose car le naturel et la simplicité l emportent sur tout calcul.ce qui est très agréable ,même si je me surprend à dejouer ma lucidité en jouant le gamin insouciant qui ne saisit pas toute les données pouvant s opposer à son bon plaisir.

Car il y a un souci, et de taille:

elle partage sa vie avec mec et enfants.elle a une énergie incroyable a distiller au taf ,en teuf deux fois par semaine et a la maison auprès des siens et ne semble pas minée par des soucis de couple.

Je ne sens pas trop de duplicité en elle et je la pense entière dans ses rapports aux autres.j ai juste un rapport privilégié avec elle mais qui me paraît difficile à tenir sur du long terme.

Me voilà donc sans perspective car aucune envie d un plan cul d un soir pour se retrouver comme deux cons a la machine a cafe a regretter d avoir franchi la ligne et pas emballé non plus par la projection tres hypothetique pour l heure,de mettre un couple en peril avec ce que cela suppose de moments pathétiques pour elle et ses enfants.j en sors, c est éprouvant...

mon contrat s arrête dans un an et tant bien meme que mon travail m apporte du plaisir et de la consideration,je sens que la situation promet quelques moments lourds à gérer:la prochaine cuite a ses cotes s'annonce déjà demain.

bien que le cadre soit peu emoustillant(quoi de plus banal que la collègue de bureau),c est une aventure de craquer sur quelqu un.comme un horizon qui me pousse enfin à regarder devant et non plus derrière moi.

Voilà désolé, ce n etait pas drôle.mais j ai lâche ce que je peinais à mentaliser depuis 3 jours..j ai relativité la defaite de dimanche car le début de la semaine me permettait de la revoir.

Au fait, avez vous déjà évoqué ici ,un film des années 80,"celles que l on a pas eu" ,un nanar français pur jus ou 5 hommes dans un compartiment de train partagent leur plus pitoyable souvenir amoureux?

Hier soir,j ai découvert cette partie du forum,confessionnal ou coin de comptoir réjouissant avec son lot de temoignages sans detours.

Je crois que je n y suis pas venu par hasard.

Je suis séparé depuis 2 ans avec des kids une semaine sur deux et j ai tâche de tromper ma tristesse avec des aventures plus ou moins sans lendemain.j ai essayer de revenir à mon quotidien d avant ma relation de 8 ans : gentil branleur un peu timide qui séduit sans en avoir l air.sauf que la quarantaine bien passé,ce jeu est plus laborieux et je me sens un peu fatigué d écumer les bars ou tout autre endroit pour rencontrer l âme sœur d une nuit

J ai commencé une mission depuis peu de temps au sein d une équipe qui aime se réunir pour decompresser autour d un verre.precision:j etais le premier à fuir toute relation sentimentale ou autre au bureau.Bon,vous me voyez venir, les 35 heures me paraissent passées bien trop vite au regard du temps que j aspire passer auprès de cette femme,cette collegue.je pense souvent( trop) à elle d autant plus qu elle ne cesse de montrer qu elle apprécie ma compagnie. on multiplie les occasions pour se retrouver ensemble au taf ou en apero sur le pouce qui derape en derniere tournee avant de se faire jetter du bar.on est complice comme rarement je l ai ete avec quelqu'un. Elle me charme de par ses mimiques et son humour,jolie sans rentrer cependant dans les cases étriquées de cet idéal à l aulne duquel je jugeais mes potentielles partenaires..en gros ,je suis surpris par une rencontre ou je ne maîtrise pas grand chose car le naturel et la simplicité l emportent sur tout calcul.ce qui est très agréable ,même si je me surprend à dejouer ma lucidité en jouant le gamin insouciant qui ne saisit pas toute les données pouvant s opposer à son bon plaisir.

Car il y a un souci, et de taille:

elle partage sa vie avec mec et enfant.elle a une énergie incroyable a distiller au taf ,en teuf deux fois par semaine et a la maison auprès des siens et ne semble pas minée par des soucis de couple.

Je ne sens pas de duplicité et je la pense entière dans ses rapports aux autres.j ai juste un rapport privilégié avec elle mais qui me paraît difficile à tenir sur du long terme.

Me voilà donc sans perspective car aucune envie d un plan cul d un soir pour se retrouver comme deux cons a la machine a cafe a regretter d avoir franchi la ligne et pas emballé non plus par la projection hypothetique,de mettre un couple en peril avec ce que cela suppose de moments pathétiques pour elle et l enfant.j en sors, c est éprouvant.

mon contrat s arrête dans un an et tant bien meme que mon travail m apporte du plaisir et de la consideration,je sens que la situation promet quelques moments lourds à gérer:la prochaine cuite a ses cotes s'annonce déjà demain.

bien que le cadre soit peu emoustillant(quoi de plus banal que la collègue de bureau),c est la belle histoire qui me t

Fait changer d horizon: je regarde desormais devant et non plus derrière moi.

Voilà désolé, ce n etait pas drôle.mais j ai lâche ce que je peinais à mentaliser depuis 3 jours..j ai relativité la defaite de dimanche car le début de la semaine me permettait de la revoir.

Au fait, avez vous déjà évoqué ici ,un film des années 80,"celles que l on a pas eues" ,un nanar français pur jus ou 6 hommes dans un compartiment de train partagent leur plus pitoyable souvenir amoureux?

Au fait, avez vous déjà évoqué ici ,un film des années 80,"celles que l on a pas eu" ,un nanar français pur jus ou 5 hommes dans un compartiment de train partagent leur plus pitoyable souvenir amoureux?

C'est pas un truc qui a été diffusé après culture pub ?

Aujourd'hui C'est ma journée conseilleur mais pas payeur et j'ai pas bu d'alcool depuis Samedi soir. Quelqu'un autour de moi m'a félicité aujourd'hui comme si j'avais le deal su siècle. Alors que franchement non.

Primo

Entre coucher avec une femme marié et se mettre en couple officiellement avec elle il y a une différence.

Secondo

C'est pas une incitation au viol mais je vais cité Coluche : " Les femmes préfèrent les hommes qui les prennent sans les comprendre aux hommes qui les comprennent sans les prendre. - Une citation de Coluche." Le manque d'audace ne paie jamais.

Tertio

t'es en mission dans la boite c'est uniquement de point de vue là que je vois éventuellement un problème.

Je prend ton secondo en pleine tronche alors que je viens de la laisser s envoler en taxi après un moment de grace/de gene.

Neanmoins ,Merci

Ce matin, j’avais quelques heures pour écrire un truc. Je n’avais absolument aucune idée. Comme d’habitude. Donc, comme d’habitude, j’ai pris ma douche. Et en apercevant, de la baignoire, la nuisette de ma tendre compagne, il m’est venu une pensée. Celle de l’essayer, la nuisette en soie qui pendait, accrochée tête-bêche à la patère.

En quête de sensations nouvelles, en hâte, je me suis séché et j’ai filé devant le miroir de la chambre pour l’enfiler.

Et là, horreur ! Il ne s’est absolument rien passé. Bon, en même temps, je ne crois pas aux miracles, ce n’est pas comme ça que j’aurai des idées, que je saurai jouer du saxo, de la trompette et du trombone.

Méprends toi, et envoie des photos de toi en nuisette, on pourra quantifier la salope que tu es

Si t'as les couilles de le faire, je t'offrirai un lait de soja, ca augmentera ton taux d'oestrogene

Tralali-Lala a écrit

Ce matin, j’avais quelques heures pour écrire un truc. Je n’avais absolument aucune idée. Comme d’habitude. Donc, comme d’habitude, j’ai pris ma douche. Et en apercevant, de la baignoire, la nuisette de ma tendre compagne, il m’est venu une pensée. Celle de l’essayer, la nuisette en soie qui pendait, accrochée tête-bêche à la patère.

En quête de sensations nouvelles, en hâte, je me suis séché et j’ai filé devant le miroir de la chambre pour l’enfiler.

Et là, horreur ! Il ne s’est absolument rien passé. Bon, en même temps, je ne crois pas aux miracles, ce n’est pas comme ça que j’aurai des idées, que je saurai jouer du saxo, de la trompette et du trombone.

Très originale, l'hypothétique corrélation entre la lingerie et les instruments à vents.

Essaie peut-être un combo string/harmonica. Pour commencer.

Rédiger un message