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Benfica Lisbonne

Un topic dédié au Benfica, aux Aigles benfiquistes qui propagent la bonne parole du prophète/entraîneur Jesus et à tous ceux qui triomphent à chaque tranchée creusée par un tacle de Luisao, qui jubilent à chaque coup de rein de Witsel, qui frétillent à chaque passe du magicien Aimar, qui exultent à chaque mine de Cardozo qu’elle soit pleine lulu ou plus souvent 10 mètres au-dessus.

Un topic dans lequel on parlera souvent du passé, d’Eusebio, des années 60 et 80, et de la main de Vata.

Le Benfica, un dinosaure du football, élu 9ème club européen du 20ème siècle par l’IFFHS, un club de légende avec ses 69 trophées, ses 2 victoires et ses 5 défaites en finale de coupe des champions, son hymne, son mythique « Estadio da luz », sa non moins mythique mascotte en chair et en plumes, ses 200000 socios à travers le monde, ses deux rivaux ancestraux et sa devise « E Pluribus Unum »…

Le Benfica, plus qu’un club ?


Le Benfica réussira-t-il à renouer avec son glorieux passé et à redorer son blason ? Reprendra-t-il sa place de leader du foot guesh ? Faudra-t-il faire signer Shiva et ses 4 bras pour accéder une fois de plus à une finale de coupe d’Europe ? Réponse prochainement dans ce topic !
Message posté par Fred Astaire
C'est trop tard, il me le faut pour vendredi au plus tard. J'essaye d'écrire un papier pour les 60 ans de ma...première finale. Sur le contexte de l'époque et tout, et tout, donc si j'avais des détails inédits ça pourrait servir. En particulier pourquoi Eusebio n'avait pas été retenu ? je l'ai peut-être su mais j'ai oublié.


Il signe pendant le mois de décembre 1960, mais le Sporting qui le voulait aussi va en tout faire pour l'empêcher de nous rejoindre. Divers recours sont utilisés, sans que ça n'aboutisse à rien. Mais cela repousse son inscription. Il ne jouera qu'en fin de saison, une poignée de matchs. Il était donc inéligible pour la finale, en raison d'une officialisation trop tardive.

D'ailleurs, pour la petite histoire, son premier match c'est en coupe, contre le Vitoria Setubal... le lendemain de la finale contre le Barça. Le Vitoria n'a pas voulu accepter de déplacer le match.

C'est une équipe réserve qui est donc envoyé sur le terrain, et qui connaîtra la défaite (Setubal en profite pour remonter le score du match aller, et donc se qualifier, mais à vérifier, j'ai un léger doute). Il marquera le premier but, et ratera un péno, que le gardien de Setubal a arrêté. Ce gardien aura un enfant deux ans plus tard: José Mourinho.
Son premier match officiel*

Il joue un amical juste avant, avec 3 buts marqués sur les 4 de l'équipe, contre l'Atlético, un autre club de Lisbonne (ancien club du défenseur Germano d'ailleurs, un des plus grands joueur portugais et benfiquiste).
Message posté par Smax_
Son premier match officiel*

Il joue un amical juste avant, avec 3 buts marqués sur les 4 de l'équipe, contre l'Atlético, un autre club de Lisbonne (ancien club du défenseur Germano d'ailleurs, un des plus grands joueur portugais et benfiquiste).


Merci, c'est bien ce que j'avais déjà lu, peut-être écrit par toi, d'ailleurs.
Ah les journaux portugais...

L'an passé c'était Cavani, serait ce Buffon la nouvelle saga de cet été?
IL Y A 60 ANS, LA FINALE DES POTEAUX CARRÉS: LA TOUTE PREMIÈRE DU NOM.

Il est 18 heures 55, ce mercredi 31 mai 1961, Il y a de cela exactement 60 ans, autant dire hier, lorsque, après le lancement de la speakrine de service, retentissent sur l'unique chaîne de la RadioTélévision Française, dans la salle déjà bien remplie, les premières mesures du célèbre Te deum de Marc-Antoine Charpentier, devenu, depuis la retransmission de la cérémonie du couronnement d'Elisabeth II le 2 juin 1953, l'hymne officiel de l'Eurovision.
Nous sommes en direct du stade Wankdorf de Berne, où va avoir lieu, à 19h, commentée par Jean Quittard, la finale de la 6ème coupe d'Europe des clubs champions, qui va opposer les Portugais du Benfica Lisbonne aux Espagnols du Football club de Barcelone.

Horaire pas vraiment adapté pour les élèves qui quittent le collège à 18 heures après l'étude, beaucoup de foyers ne possèdant pas de téléviseurs chez eux. Mais l'UEFA n'en a cure.

Le football n'est qu'un bouche-trou parmi les programmes, puisque aussitôt après le match est programmé le magazine littéraire « Lecture pour tous » au cours duquel Cyril Hanouna, l'officiel Monsieur culture de la RTF, placé par le pouvoir en place, reçoit l'essayiste Nabilla Benattia pour sa dernière œuvre tant attendue « Non, mais allô quoi ? », l'historien Bobby Schanno pour son ouvrage « Onanisme et nazisme chez les enseignants du secondaire » aux éditions du Quizz, le jeune philosophe dont on parle beaucoup, Alain Finkelkraut pour son dernier opus « Taisez-vous pauvre conne ! », le troublion de la gauche libertaire et prolétaire Pascal Praud pour son brûlot « Mais à la fin, c'est insupportable, on ne peut plus rien dire ! » et l'ex star du ballon rond reconvertie en brillant journaliste Alain Proviste pour son autobiographie «Top 5 minimum: ma vie, mes listes».

Il y a moins de matchs télévisés par an qu'un lundi soir ordinaire de nos jours.
Le football français commence sa longue traversée du désert. En ces temps-là, une défaite est jugée prometteuse, un nul est salué comme un exploit retentissant et une victoire est considérée comme un quasi-miracle.
Les trois icônes rémoises du foot français, Just Fontaine, Roger Piantoni et Raymond Kopa terminent leur carrière en bleu, contraints et forcés, à seulement 27, 30 et 31 ans.
Le Sade de Reims vit les dernières heures de son âge d'or. Après avoir atomisé les modestes luxembourgeois de la Jeunesse d'Esch 11 à 1 en score cumulé, Il se font sortir en huitièmes par les Anglais du FC Burnley (4-3).
Après novembre 63 avec Reims-Feyenoord, il faudra attendre mars 75 et St Etienne-Chorzow, pour retrouver un club français en quarts de finale de la C1.

l'AS Monaco est sacré champion de France pour la première fois de son histoire et Sedan et sa mascotte Dudule remportent la coupe de France en battant Nîmes olympique, l'éternel loser.
La France du général de Gaulle a eu peur. On a frôlé de peu le putsch d'un « quarteron de généraux en retraite »
Le couple Kennedy est en visite à Paris.

Hormis Johnny Hallyday, l'idole des jeunes, les «stars» du rock (ou plutôt un ersatz de rock 'n' roll) où la ringardise le dispute à la honte, ont pour noms évocateurs et bien craignos: El Toro et les Cyclones, Rocky Volcano et ses Rock'n'Rollers, Johnny Cotorep et ses Cartes vermeilles , Sandro Lobez et les Trollers, Kit Fisteur et ses Matelassiers, Elji Haz et les Fumeurs de Chichas (dont l'unique disque « Comme même » reste introuvable et indisponible même en streaming), Polster et ses Vieuxgrognards, Danny Boy et ses Pénintents, Dany Logan et les Pirates, Vic Laurens et les Vautours, Dick Rivers et les Chats sauvages, Eddy Mitchell et les Chaussettes noires, Richard Anthony (surnommé le Tino Rossi du rock puis du twist, c'est dire la mobilité et le dynamisme du bonhomme), Long Chris et les Daltons, Frankie Jordan, José Salcy et ses Jams, Larry Greco, Danyel Gérard et son éternel chapeau à la con, Dany Fisher.

Dalida, Maria Candido, Gloria Lasso, Los Machucambos, Dario Moreno et Bob Azzam apportent une touche exotique de pacotille, essentielle dans les après-midi dansants.
Les danses d'après le rock 'n' roll ne durent qu'un seul été, quelques semaines voire le temps d'un disque: hula hoop, twist, hully gully, madison, surf, mashed potatoes, locomotion, watusi, swim, slop, stroll, snap, letkiss, jerk et j'en passe.

Mais revenons au foot. Les Catalans sont donnés largement favoris depuis qu'ils ont éliminé, 4 à 3, le Real Madrid, favori et quintuple vainqueur de l'épreuve, en huitièmes, à l'issue de deux confrontations très controversées selon l'ensemble des observateurs neutres.
Après avoir facilement disposé du Spartak Hradec Králové en quarts 5 à 1, il leur faut, en revanche 3 matchs pour venir à bout du Hambourg SV de Uwe Seeler.

Outre le gardien Antoni Ramallets qui va être le héros involontaire de la soirée, Barcelone possède avec László Kubala, l'homme aux trois équipes nationales, les Hongrois exilés Zoltán Czibor et Sándor Kocsis, de l'Espagnol Luis Suárez et du Brésilien Evaristo d'un quintette offensif qui hormis celui du Real ne craint personne en Europe.
Luis Suárez, le ballon d'or 1960 aura une longévité peu commune, étalée sur plus de six décennies de carrière.

Le Benfica est une équipe qui monte en flèche. Ce n'est pas encore celle d'Eusebio. Le Mozambicain, âgé de 19 ans, vient tout juste de débuter en équipe première, le 23 mai, huit jours avant la finale. Il a claqué un triplé. Mais à Berne, il ne joue pas. On le verra un mois plus tard en finale du Tournoi de Paris face au Santos de Pelé. Souvenir inoubliable pour les heureux spectateurs et téléspectateurs.
Composé exclusivement d'internationaux portugais, ce groupe n'en est pas moins déjà impressionnant avec, en vedette, l'avant-centre et capitaine Jose Aguas. A 30 ans, il est déjà une légende du club benfiquiste. Mais le véritable mythe se trouve sur le banc de touche. Bela Guttman, fascinant personnage et grand voyageur, né dans un empire disparu, l'Autriche-Hongrie, est un révolutionnaire au plan tactique doublé d'un redoutable meneur d'hommes.
Ce soir-là, le Barça n'a de cesse de se tirer des balles dans le pied. Une véritable autodestruction, à l'image du but contre son camp de Ramallets. "Ils ont marqué trois buts et nous leur en avons donné deux, et l'un est totalement de ma faute. Sur le match, ils ont quatre occasions et marquent trois buts", a raconté le gardien de but dans les années 2000. Tout avait pourtant biencommencé avec l'ouverture du score de Sandor Kocsis à la 21e minute. Mais dix minutes plus tard, les Portugais marquent deux fois en 90 secondes, dont le fameux csc de Ramallets. Peu après la pause, le troisième but signé Coluna achève la bête rouge et bleue.
Le Barça aurait pourtant pu surmonter ces errements, s'il n'avait pas été victime d'une invraisemblable poisse, heurtant les poteaux à cinq reprises en seconde période, dont deux en une poignée de secondes lorsqu'une frappe de Kubala est repoussée par le montant gauche... puis le droits. Maudits poteaux… carrés.
"Toucher une fois le poteau, soit, mais cinq… A la fin du match, leur gardien, Alberto Pereira, est venu me voir. Il m'a dit 'Antoni, c'est le football, parfois la meilleure équipe ne gagne pas".
De ce match, il reste pourtant un chef d'œuvre, celui de Zoltán Czibor, auteur à un quart d'heure de la fin d'un but fantastique sur une volée du gauche pleine lucarne, des 25 mètres. Un joyau en pure perte. La cruauté du scénario a quelque chose de déroutant pour les deux Hongrois, buteurs du Barça ce soir-là. Sept ans plus tôt, dans ce même Wankdorf Stadium de Berne, Czibor et Kocsis avaient perdu l'autre match de leur vie, la finale de la Coupe du monde 1954 face à la R.F.A. Sur le même score, 3-2.

Superstitieux, ils avaient choisi avant le match contre Benfica de s'habiller dans le couloir, et non dans le vestiaire. Mais rien n'y a fait. La malédiction du Barça 1961 est un fardeau plus lourd encore pour eux que pour le reste de cette magnifique équipe.

Après cette finale les poteaux carrés seront remplacés par des poteaux ronds. Enfin, pas partout...
https://youtu.be/ItRWNATsaII
Message posté par Fred Astaire
IL Y A 60 ANS, LA FINALE DES POTEAUX CARRÉS: LA TOUTE PREMIÈRE DU NOM.

Il est 18 heures 55, ce mercredi 31 mai 1961, Il y a de cela exactement 60 ans, autant dire hier, lorsque, après le lancement de la speakrine de service, retentissent sur l'unique chaîne de la RadioTélévision Française, dans la salle déjà bien remplie, les premières mesures du célèbre Te deum de Marc-Antoine Charpentier, devenu, depuis la retransmission de la cérémonie du couronnement d'Elisabeth II le 2 juin 1953, l'hymne officiel de l'Eurovision.
Nous sommes en direct du stade Wankdorf de Berne, où va avoir lieu, à 19h, commentée par Jean Quittard, la finale de la 6ème coupe d'Europe des clubs champions, qui va opposer les Portugais du Benfica Lisbonne aux Espagnols du Football club de Barcelone.

Horaire pas vraiment adapté pour les élèves qui quittent le collège à 18 heures après l'étude, beaucoup de foyers ne possèdant pas de téléviseurs chez eux. Mais l'UEFA n'en a cure.

Le football n'est qu'un bouche-trou parmi les programmes, puisque aussitôt après le match est programmé le magazine littéraire « Lecture pour tous » au cours duquel Cyril Hanouna, l'officiel Monsieur culture de la RTF, placé par le pouvoir en place, reçoit l'essayiste Nabilla Benattia pour sa dernière œuvre tant attendue « Non, mais allô quoi ? », l'historien Bobby Schanno pour son ouvrage « Onanisme et nazisme chez les enseignants du secondaire » aux éditions du Quizz, le jeune philosophe dont on parle beaucoup, Alain Finkelkraut pour son dernier opus « Taisez-vous pauvre conne ! », le troublion de la gauche libertaire et prolétaire Pascal Praud pour son brûlot « Mais à la fin, c'est insupportable, on ne peut plus rien dire ! » et l'ex star du ballon rond reconvertie en brillant journaliste Alain Proviste pour son autobiographie «Top 5 minimum: ma vie, mes listes».

Il y a moins de matchs télévisés par an qu'un lundi soir ordinaire de nos jours.
Le football français commence sa longue traversée du désert. En ces temps-là, une défaite est jugée prometteuse, un nul est salué comme un exploit retentissant et une victoire est considérée comme un quasi-miracle.
Les trois icônes rémoises du foot français, Just Fontaine, Roger Piantoni et Raymond Kopa terminent leur carrière en bleu, contraints et forcés, à seulement 27, 30 et 31 ans.
Le Sade de Reims vit les dernières heures de son âge d'or. Après avoir atomisé les modestes luxembourgeois de la Jeunesse d'Esch 11 à 1 en score cumulé, Il se font sortir en huitièmes par les Anglais du FC Burnley (4-3).
Après novembre 63 avec Reims-Feyenoord, il faudra attendre mars 75 et St Etienne-Chorzow, pour retrouver un club français en quarts de finale de la C1.

l'AS Monaco est sacré champion de France pour la première fois de son histoire et Sedan et sa mascotte Dudule remportent la coupe de France en battant Nîmes olympique, l'éternel loser.
La France du général de Gaulle a eu peur. On a frôlé de peu le putsch d'un « quarteron de généraux en retraite »
Le couple Kennedy est en visite à Paris.

Hormis Johnny Hallyday, l'idole des jeunes, les «stars» du rock (ou plutôt un ersatz de rock 'n' roll) où la ringardise le dispute à la honte, ont pour noms évocateurs et bien craignos: El Toro et les Cyclones, Rocky Volcano et ses Rock'n'Rollers, Johnny Cotorep et ses Cartes vermeilles , Sandro Lobez et les Trollers, Kit Fisteur et ses Matelassiers, Elji Haz et les Fumeurs de Chichas (dont l'unique disque « Comme même » reste introuvable et indisponible même en streaming), Polster et ses Vieuxgrognards, Danny Boy et ses Pénintents, Dany Logan et les Pirates, Vic Laurens et les Vautours, Dick Rivers et les Chats sauvages, Eddy Mitchell et les Chaussettes noires, Richard Anthony (surnommé le Tino Rossi du rock puis du twist, c'est dire la mobilité et le dynamisme du bonhomme), Long Chris et les Daltons, Frankie Jordan, José Salcy et ses Jams, Larry Greco, Danyel Gérard et son éternel chapeau à la con, Dany Fisher.

Dalida, Maria Candido, Gloria Lasso, Los Machucambos, Dario Moreno et Bob Azzam apportent une touche exotique de pacotille, essentielle dans les après-midi dansants.
Les danses d'après le rock 'n' roll ne durent qu'un seul été, quelques semaines voire le temps d'un disque: hula hoop, twist, hully gully, madison, surf, mashed potatoes, locomotion, watusi, swim, slop, stroll, snap, letkiss, jerk et j'en passe.

Mais revenons au foot. Les Catalans sont donnés largement favoris depuis qu'ils ont éliminé, 4 à 3, le Real Madrid, favori et quintuple vainqueur de l'épreuve, en huitièmes, à l'issue de deux confrontations très controversées selon l'ensemble des observateurs neutres.
Après avoir facilement disposé du Spartak Hradec Králové en quarts 5 à 1, il leur faut, en revanche 3 matchs pour venir à bout du Hambourg SV de Uwe Seeler.

Outre le gardien Antoni Ramallets qui va être le héros involontaire de la soirée, Barcelone possède avec László Kubala, l'homme aux trois équipes nationales, les Hongrois exilés Zoltán Czibor et Sándor Kocsis, de l'Espagnol Luis Suárez et du Brésilien Evaristo d'un quintette offensif qui hormis celui du Real ne craint personne en Europe.
Luis Suárez, le ballon d'or 1960 aura une longévité peu commune, étalée sur plus de six décennies de carrière.

Le Benfica est une équipe qui monte en flèche. Ce n'est pas encore celle d'Eusebio. Le Mozambicain, âgé de 19 ans, vient tout juste de débuter en équipe première, le 23 mai, huit jours avant la finale. Il a claqué un triplé. Mais à Berne, il ne joue pas. On le verra un mois plus tard en finale du Tournoi de Paris face au Santos de Pelé. Souvenir inoubliable pour les heureux spectateurs et téléspectateurs.
Composé exclusivement d'internationaux portugais, ce groupe n'en est pas moins déjà impressionnant avec, en vedette, l'avant-centre et capitaine Jose Aguas. A 30 ans, il est déjà une légende du club benfiquiste. Mais le véritable mythe se trouve sur le banc de touche. Bela Guttman, fascinant personnage et grand voyageur, né dans un empire disparu, l'Autriche-Hongrie, est un révolutionnaire au plan tactique doublé d'un redoutable meneur d'hommes.
Ce soir-là, le Barça n'a de cesse de se tirer des balles dans le pied. Une véritable autodestruction, à l'image du but contre son camp de Ramallets. "Ils ont marqué trois buts et nous leur en avons donné deux, et l'un est totalement de ma faute. Sur le match, ils ont quatre occasions et marquent trois buts", a raconté le gardien de but dans les années 2000. Tout avait pourtant biencommencé avec l'ouverture du score de Sandor Kocsis à la 21e minute. Mais dix minutes plus tard, les Portugais marquent deux fois en 90 secondes, dont le fameux csc de Ramallets. Peu après la pause, le troisième but signé Coluna achève la bête rouge et bleue.
Le Barça aurait pourtant pu surmonter ces errements, s'il n'avait pas été victime d'une invraisemblable poisse, heurtant les poteaux à cinq reprises en seconde période, dont deux en une poignée de secondes lorsqu'une frappe de Kubala est repoussée par le montant gauche... puis le droits. Maudits poteaux… carrés.
"Toucher une fois le poteau, soit, mais cinq… A la fin du match, leur gardien, Alberto Pereira, est venu me voir. Il m'a dit 'Antoni, c'est le football, parfois la meilleure équipe ne gagne pas".
De ce match, il reste pourtant un chef d'œuvre, celui de Zoltán Czibor, auteur à un quart d'heure de la fin d'un but fantastique sur une volée du gauche pleine lucarne, des 25 mètres. Un joyau en pure perte. La cruauté du scénario a quelque chose de déroutant pour les deux Hongrois, buteurs du Barça ce soir-là. Sept ans plus tôt, dans ce même Wankdorf Stadium de Berne, Czibor et Kocsis avaient perdu l'autre match de leur vie, la finale de la Coupe du monde 1954 face à la R.F.A. Sur le même score, 3-2.

Superstitieux, ils avaient choisi avant le match contre Benfica de s'habiller dans le couloir, et non dans le vestiaire. Mais rien n'y a fait. La malédiction du Barça 1961 est un fardeau plus lourd encore pour eux que pour le reste de cette magnifique équipe.

Après cette finale les poteaux carrés seront remplacés par des poteaux ronds. Enfin, pas partout...
https://youtu.be/ItRWNATsaII



https://www.eurosport.fr/football/ligue … tory.shtml

https://www.picclickimg.com/d/l400/pict … Finale.jpg

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/ … 31.svg.png
Si Smax passe par là : comment ça se fait que Rio Ave se soit complètement effondré?
Message posté par Fred Astaire
IL Y A 60 ANS, LA FINALE DES POTEAUX CARRÉS: LA TOUTE PREMIÈRE DU NOM.
Le Benfica est une équipe qui monte en flèche. Ce n'est pas encore celle d'Eusebio. Le Mozambicain, âgé de 19 ans, vient tout juste de débuter en équipe première, le 23 mai, huit jours avant la finale. Il a claqué un triplé. Mais à Berne, il ne joue pas. On le verra un mois plus tard en finale du Tournoi de Paris face au Santos de Pelé.



Le premier match officiel d'Eusébio, a eu lieu le lendemain de la finale. La fédération portugaise ne s'attendait pas que Benfica arrive en finale de la Coupe des Champions et a programmé le match retour du quart de finale de la coupe portugaise pour le lendemain de cette finale. A l'heure du match, l'équipe championne d'Europe était encore dans l'avion pour le retour à Lisbonne. Benfica a été obligé de préparer un mixte de réserviste et de juniors, Eusébio a été appelé pour faire son premier match officiel avec le manteau sacré. Il a marqué le seul but de l'équipe, ils ont perdu pour 4-1 et ils ont été éliminés. Benfica avait battu Setubal 3-1, le premier match.
Message posté par El Footinator
Si Smax passe par là : comment ça se fait que Rio Ave se soit complètement effondré?


Un mercato foiré:

- départs de plusieurs cadres: Taremi (Porto), Nuno Santos (Sporting), Matheurs Reis (Sporting), Diego Lopes (Asie)

- des arrivées peu convaincantes: ils ont été chercher Coentrao sans club depuis un an, récupéré trois joueurs du SCP dans la vente de Nuno Santos (Dala, Camacho et Geraldes) qui n'ont pas vraiment pu inverser la tendance, un Rui Costa qui devait remplacer Taremi.

- Un Borevkovic qui s'est vu empêcher de rejoindre l'Angleterre et qui dès lors n'était plus au club mentalement, alors que c'était un taulier de la défense.

Ajoutes à cela:

- une préparation estivale compliquée, post covid, pour jouer les barrages d'EL.

- Une valse de coachs: Mario Silva avait des idées mais a vite fait ses bagages à cause de quelques contre performances (1,44points par matchs, ça jouait bien, mais l'équipe était déjà bien fatiguée), remplacé par l’entraîneur de l'équipe B pour quelques matchs (1 point par match)

Puis dans la précipitation, le club fait revenir Miguel Cardoso dans l'espoir que ce dernier puisse faire aussi bien que lors de son premier passage. Sauf que depuis ce passage, le type s'est vautré à Nantes, Vigo et l'AEK. Bref, sous ses ordres, l'équipe va encore plus s'affaiblir (0,90 points par matchs) et va finir par s'écrouler de plus en plus.

D'ailleurs sa gestion humaine fait parler, il y a eu des soucis de comportements du coach envers des arbitres ou d'autres coachs etc.

- Ils arrivent sur les genoux lors des barrages, au fond du trou mentalement. Personne n'était préparé pour jouer les barrages. Ils perdent le match aller 3-0 contre Arouca qui va les ridiculiser. Cardoso est viré, et c'est un gars du club qui est sur le banc pour le retour. Défaite là aussi, Arouca sans forcer s'impose.

Sur le papier, l'équipe peut jouer le milieu de tableau, voir terminer entre 6ème et 8ème. Comme je le disais hier sous un article, cette année il y a beaucoup d'équipes qui méritaient finalement descendre (Boavista, Farense, Maritimo, Nacional, Rio Ave, et dans une moindre mesure Portimonense). C'est Rio Ave qui avait le meilleur effectif parmi ces équipes et pourtant...

Reste à voir si le club va vite remonter ou trainer en D2 quelques années. Et si Mendes va toujours tourner autour.
Message posté par Fred Astaire
IL Y A 60 ANS, LA FINALE DES POTEAUX CARRÉS: LA TOUTE PREMIÈRE DU NOM.

Il est 18 heures 55, ce mercredi 31 mai 1961, Il y a de cela exactement 60 ans, autant dire hier, lorsque, après le lancement de la speakrine de service, retentissent sur l'unique chaîne de la RadioTélévision Française, dans la salle déjà bien remplie, les premières mesures du célèbre Te deum de Marc-Antoine Charpentier, devenu, depuis la retransmission de la cérémonie du couronnement d'Elisabeth II le 2 juin 1953, l'hymne officiel de l'Eurovision.
Nous sommes en direct du stade Wankdorf de Berne, où va avoir lieu, à 19h, commentée par Jean Quittard, la finale de la 6ème coupe d'Europe des clubs champions, qui va opposer les Portugais du Benfica Lisbonne aux Espagnols du Football club de Barcelone.

Horaire pas vraiment adapté pour les élèves qui quittent le collège à 18 heures après l'étude, beaucoup de foyers ne possèdant pas de téléviseurs chez eux. Mais l'UEFA n'en a cure.

Le football n'est qu'un bouche-trou parmi les programmes, puisque aussitôt après le match est programmé le magazine littéraire « Lecture pour tous » au cours duquel Cyril Hanouna, l'officiel Monsieur culture de la RTF, placé par le pouvoir en place, reçoit l'essayiste Nabilla Benattia pour sa dernière œuvre tant attendue « Non, mais allô quoi ? », l'historien Bobby Schanno pour son ouvrage « Onanisme et nazisme chez les enseignants du secondaire » aux éditions du Quizz, le jeune philosophe dont on parle beaucoup, Alain Finkelkraut pour son dernier opus « Taisez-vous pauvre conne ! », le troublion de la gauche libertaire et prolétaire Pascal Praud pour son brûlot « Mais à la fin, c'est insupportable, on ne peut plus rien dire ! » et l'ex star du ballon rond reconvertie en brillant journaliste Alain Proviste pour son autobiographie «Top 5 minimum: ma vie, mes listes».

Il y a moins de matchs télévisés par an qu'un lundi soir ordinaire de nos jours.
Le football français commence sa longue traversée du désert. En ces temps-là, une défaite est jugée prometteuse, un nul est salué comme un exploit retentissant et une victoire est considérée comme un quasi-miracle.
Les trois icônes rémoises du foot français, Just Fontaine, Roger Piantoni et Raymond Kopa terminent leur carrière en bleu, contraints et forcés, à seulement 27, 30 et 31 ans.
Le Sade de Reims vit les dernières heures de son âge d'or. Après avoir atomisé les modestes luxembourgeois de la Jeunesse d'Esch 11 à 1 en score cumulé, Il se font sortir en huitièmes par les Anglais du FC Burnley (4-3).
Après novembre 63 avec Reims-Feyenoord, il faudra attendre mars 75 et St Etienne-Chorzow, pour retrouver un club français en quarts de finale de la C1.

l'AS Monaco est sacré champion de France pour la première fois de son histoire et Sedan et sa mascotte Dudule remportent la coupe de France en battant Nîmes olympique, l'éternel loser.
La France du général de Gaulle a eu peur. On a frôlé de peu le putsch d'un « quarteron de généraux en retraite »
Le couple Kennedy est en visite à Paris.

Hormis Johnny Hallyday, l'idole des jeunes, les «stars» du rock (ou plutôt un ersatz de rock 'n' roll) où la ringardise le dispute à la honte, ont pour noms évocateurs et bien craignos: El Toro et les Cyclones, Rocky Volcano et ses Rock'n'Rollers, Johnny Cotorep et ses Cartes vermeilles , Sandro Lobez et les Trollers, Kit Fisteur et ses Matelassiers, Elji Haz et les Fumeurs de Chichas (dont l'unique disque « Comme même » reste introuvable et indisponible même en streaming), Polster et ses Vieuxgrognards, Danny Boy et ses Pénintents, Dany Logan et les Pirates, Vic Laurens et les Vautours, Dick Rivers et les Chats sauvages, Eddy Mitchell et les Chaussettes noires, Richard Anthony (surnommé le Tino Rossi du rock puis du twist, c'est dire la mobilité et le dynamisme du bonhomme), Long Chris et les Daltons, Frankie Jordan, José Salcy et ses Jams, Larry Greco, Danyel Gérard et son éternel chapeau à la con, Dany Fisher.

Dalida, Maria Candido, Gloria Lasso, Los Machucambos, Dario Moreno et Bob Azzam apportent une touche exotique de pacotille, essentielle dans les après-midi dansants.
Les danses d'après le rock 'n' roll ne durent qu'un seul été, quelques semaines voire le temps d'un disque: hula hoop, twist, hully gully, madison, surf, mashed potatoes, locomotion, watusi, swim, slop, stroll, snap, letkiss, jerk et j'en passe.

Mais revenons au foot. Les Catalans sont donnés largement favoris depuis qu'ils ont éliminé, 4 à 3, le Real Madrid, favori et quintuple vainqueur de l'épreuve, en huitièmes, à l'issue de deux confrontations très controversées selon l'ensemble des observateurs neutres.
Après avoir facilement disposé du Spartak Hradec Králové en quarts 5 à 1, il leur faut, en revanche 3 matchs pour venir à bout du Hambourg SV de Uwe Seeler.

Outre le gardien Antoni Ramallets qui va être le héros involontaire de la soirée, Barcelone possède avec László Kubala, l'homme aux trois équipes nationales, les Hongrois exilés Zoltán Czibor et Sándor Kocsis, de l'Espagnol Luis Suárez et du Brésilien Evaristo d'un quintette offensif qui hormis celui du Real ne craint personne en Europe.
Luis Suárez, le ballon d'or 1960 aura une longévité peu commune, étalée sur plus de six décennies de carrière.

Le Benfica est une équipe qui monte en flèche. Ce n'est pas encore celle d'Eusebio. Le Mozambicain, âgé de 19 ans, vient tout juste de débuter en équipe première, le 23 mai, huit jours avant la finale. Il a claqué un triplé. Mais à Berne, il ne joue pas. On le verra un mois plus tard en finale du Tournoi de Paris face au Santos de Pelé. Souvenir inoubliable pour les heureux spectateurs et téléspectateurs.
Composé exclusivement d'internationaux portugais, ce groupe n'en est pas moins déjà impressionnant avec, en vedette, l'avant-centre et capitaine Jose Aguas. A 30 ans, il est déjà une légende du club benfiquiste. Mais le véritable mythe se trouve sur le banc de touche. Bela Guttman, fascinant personnage et grand voyageur, né dans un empire disparu, l'Autriche-Hongrie, est un révolutionnaire au plan tactique doublé d'un redoutable meneur d'hommes.
Ce soir-là, le Barça n'a de cesse de se tirer des balles dans le pied. Une véritable autodestruction, à l'image du but contre son camp de Ramallets. "Ils ont marqué trois buts et nous leur en avons donné deux, et l'un est totalement de ma faute. Sur le match, ils ont quatre occasions et marquent trois buts", a raconté le gardien de but dans les années 2000. Tout avait pourtant biencommencé avec l'ouverture du score de Sandor Kocsis à la 21e minute. Mais dix minutes plus tard, les Portugais marquent deux fois en 90 secondes, dont le fameux csc de Ramallets. Peu après la pause, le troisième but signé Coluna achève la bête rouge et bleue.
Le Barça aurait pourtant pu surmonter ces errements, s'il n'avait pas été victime d'une invraisemblable poisse, heurtant les poteaux à cinq reprises en seconde période, dont deux en une poignée de secondes lorsqu'une frappe de Kubala est repoussée par le montant gauche... puis le droits. Maudits poteaux… carrés.
"Toucher une fois le poteau, soit, mais cinq… A la fin du match, leur gardien, Alberto Pereira, est venu me voir. Il m'a dit 'Antoni, c'est le football, parfois la meilleure équipe ne gagne pas".
De ce match, il reste pourtant un chef d'œuvre, celui de Zoltán Czibor, auteur à un quart d'heure de la fin d'un but fantastique sur une volée du gauche pleine lucarne, des 25 mètres. Un joyau en pure perte. La cruauté du scénario a quelque chose de déroutant pour les deux Hongrois, buteurs du Barça ce soir-là. Sept ans plus tôt, dans ce même Wankdorf Stadium de Berne, Czibor et Kocsis avaient perdu l'autre match de leur vie, la finale de la Coupe du monde 1954 face à la R.F.A. Sur le même score, 3-2.

Superstitieux, ils avaient choisi avant le match contre Benfica de s'habiller dans le couloir, et non dans le vestiaire. Mais rien n'y a fait. La malédiction du Barça 1961 est un fardeau plus lourd encore pour eux que pour le reste de cette magnifique équipe.

Après cette finale les poteaux carrés seront remplacés par des poteaux ronds. Enfin, pas partout...
https://youtu.be/ItRWNATsaII


Très sympa!
Message posté par Smax_
Alors, notre ami belge, comment dire...

Tu as pu constater hier sur l'action qui mène au rouge, à quel point il est dépassé, du moins en vitesse.

Cette saison, c'est un classique avec Otamendi: un attaquant un peu mobile prendra le dessus sur ces deux défenseurs.

D'ailleurs, sur cette action, on voit bien la défense à 3 avec Braga qui lance en profondeur deux attaquants du coté où sont les deux retraités.


A côté de ça... le CIES le place meilleur joueur de liga. Alors qu'en toute objectivité, il y a bien d'autres défenseurs meilleurs que lui, alors des joueurs...

Bon, je ne sais pas comment ils calculent ça, et je me demande s'ils regardent les matchs.

Sur coup de pied arrêté on sent le gars expérimenté et qui s'impose, il va au duel mais parfois on a l'impression qu'il se retient.
Je ne sais pas s'il s'est blessé gravement sur la fin de son aventure anglaise, ce qui pourrait expliquer cette impression.

On sent qu'il a le sens du placement, qu'il sait anticiper, mais on sent aussi le poids des années. Surtout en fin de match. Surtout plus la saison avançait.

Bref, j'imagine que bien entouré, surtout à 3/5 derrière, avec des pistons qui font des efforts défensifs, et d'autres défenseurs plus rapides/mobiles, avec un autre contexte(mental, moral etc), ça peut le faire.

C'est pas la pire recrue cette saison, mais c'est pas la meilleure non plus.


Merci beaucoup de m'avoir répondu Smax avec un avis éclairé une fois de plus, désolé pour ma réponse tardive. Je reste pessimiste pour l'Euro car il sera titulaire (en début de tournoi en tout cas) à moins d'une énorme surprise de Martinez.
Je viens d'écouter une partie du podcast de l'after foot d'hier, qui parlait de Benfica. En gros, le but était de parler de l'opération carton rouge.

Je n'écoute jamais cette émission, sauf sur conseils.

Bordel (désolé je suis vulgaire) le niveau zéro du débat et de l'info. Je ne vous la conseille pas.
Salut. Désolé de venir polluer le fil benfiquista. Besoin d'une info que je trouve pas.

J'ai prévu dimanche prochain d'aller voir Tondela Portimonense mais je trouve pas l'info sur les test PCR. Y a une restriction?
Merci et encore sorry
Message posté par SafetDahleb
Salut. Désolé de venir polluer le fil benfiquista. Besoin d'une info que je trouve pas.

J'ai prévu dimanche prochain d'aller voir Tondela Portimonense mais je trouve pas l'info sur les test PCR. Y a une restriction?
Merci et encore sorry


Dans mes souvenirs c'est un pcr de moins de 72h ou un test antigénique de moins de 48h. Si tu as le pass c'est aussi valable il me semble. A vérifier, je n'ai pas trop suivi ça, vu que je n'irai que dans quelques semaines.

Mais de un, je suis pas sur, de deux, je pense que j'arrive trop tard ^^
Message posté par Smax_
Dans mes souvenirs c'est un pcr de moins de 72h ou un test antigénique de moins de 48h. Si tu as le pass c'est aussi valable il me semble. A vérifier, je n'ai pas trop suivi ça, vu que je n'irai que dans quelques semaines.

Mais de un, je suis pas sur, de deux, je pense que j'arrive trop tard ^^


Merci de l'info. On va tenter d'y aller. C'est pour le prochain match.
Message posté par SafetDahleb
Merci de l'info. On va tenter d'y aller. C'est pour le prochain match.


Oui je m'en suis douté le soir même en regardant un match.
Profite bien! Je suis curieux de connaitre l'ambiance de ce stade, même si Covid.
Message posté par Smax_
Oui je m'en suis douté le soir même en regardant un match.
Profite bien! Je suis curieux de connaitre l'ambiance de ce stade, même si Covid.


C'est pas trop l'endroit mais j'abuse un peu. Tu pourrais me dire ce qu'il y a comme club pro (D1 et D2) entre Lisbonne et Leiria. Leiria ça joue en D2 ? Y a des clubs vers Caldas da Rainha?
Message posté par SafetDahleb
C'est pas trop l'endroit mais j'abuse un peu. Tu pourrais me dire ce qu'il y a comme club pro (D1 et D2) entre Lisbonne et Leiria. Leiria ça joue en D2 ? Y a des clubs vers Caldas da Rainha?


Leiria a coulé il y a plusieurs années déjà; sous pavillon russe depuis quelques années d'ailleurs. Le club est en "L3" (nouveau système de division) zone sud.

Entre Lisbonne et Leiria, c'est majoritairement de la D3, D4 etc. (Oriental Dragon FC, Leiria, Caldas da Rainha etc)

Autour et dans Lisbonne tu as pas mal de D2 (Casa Pia, Amadora, etc) et des D1.
Message posté par Smax_
Leiria a coulé il y a plusieurs années déjà; sous pavillon russe depuis quelques années d'ailleurs. Le club est en "L3" (nouveau système de division) zone sud.

Entre Lisbonne et Leiria, c'est majoritairement de la D3, D4 etc. (Oriental Dragon FC, Leiria, Caldas da Rainha etc)

Autour et dans Lisbonne tu as pas mal de D2 (Casa Pia, Amadora, etc) et des D1.


Je pourrais pas te faire de compte rendu de l'ambiance. On s'est fait refouler, un de mes fils n'a qu'une injection.

Vu qu'ils en ont pris 3 par Portimonense, je pense que l'ambiance était fraîche malgré le soleil de plomb.

Ça sera pour une année sans covid. Merci encore de tes tuyaux et infos

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