Roberto Martínez : « Le Brésil et la France sont très similaires »

Demain soir, Didier Deschamps croisera le fer avec son homologue belge, Roberto Martínez.

Un homme gentil comme tout, à qui on donnerait le bon Dieu sans confession, et qui est ravi d’être arrivé jusqu’au dernier carré : « C’est une opportunité unique pour toute la Belgique, qui récompense tout le dur labeur qu’on a accompli au cours des dix ou quinze dernières années pour développer ces jeunes joueurs. Il y a un sentiment d’excitation. »

Et si ces Belges font si peur, c’est évidemment parce qu’ils ont réussi à sortir le Brésil au tour précédent. Une équipe qui, selon lui, ressemble beaucoup à celle de la France : « Ils sont très similaires, on sait qu’il faut se concentrer pendant 90 minutes et qu’il y a des individualités qui peuvent marquer sur une seule action. »

Parmi les joueurs capables de démolir une défense sans prévenir personne, les Belges pourront, eux, compter sur Kevin De Bruyne, qui a reçu quelques louanges de la part de son coach : « Ses performances sont très impressionnantes, il peut jouer à différents postes. En 6, en 8, en 9… En fait, il peut jouer à tous les postes en étant performant. À part gardien de but. »

Ça donne quand même envie d’essayer.