Le Benfica de Lisbonne, c’est pas les Framboises du FC Copenhague. Le Benfica, c’est pas les cloches du FC Zürich. Le Benfica, c’est pas les Tour-Eiffel-en-plastique-sur-la-télé du PSG… Du sérieux, quoi. Et une bien belle affiche !
Les 16èmes ont effectué un premier écrémage avec deux victimes : les seconds couteaux et la Roma. Seuls le Standard et dans une moindre mesure Anderlecht apparaissent comme les petits poucets du plateau. Rayon tenor, la Juve affronte Fulham et nourrit les derniers espoirs transalpins de bien figurer en C3.
Épluché dans tous les sens, ce match n’accouche que d’une seule et double vérité : Lyon a chopé son billet pour les quarts de finale de la Ligue des Champions le week-end dernier, à Boulogne-sur-Mer ; quant au Real, il a beau pleurer, la Liga, c’est pour lui, et le Ballon d’Or 2010 est aussi dans ses rangs. Quelqu’un est vraiment surpris?
Que de la gueule. Après l’avoir bien ouvert avant le match, les Merengues quittent la Ligue des Champions la queue entre les jambes. Les Gones peuvent être satisfaits de la cure d’humilité infligée à des Merengues très loin d’être aussi habiles sur le terrain qu’avec leurs langues. Retour sur la plus belle page européenne de l’histoire de l’OL sous forme de notes.
Ils l’ont fait. Les Lyonnais ont enfin vaincu le signe indien en tombant un grand d’Europe grâce à leur nul (1-1) à Madrid face à un Real aussi époustouflant en première période que laminé en seconde. En attendant la possible qualification de Bordeaux, la France revient sur le devant de la scène européenne grâce à cet exploit majeur. Et franchement, en cette année à « outsiders » au regard de la fragilité des favoris, l’histoire ne fait peut-être que commencer.
Spécialiste Liga parmi Les Spécialistes, le plus à même de juger le Real, c’est Raynald. Entre un commentaire cabine hier soir et un plateau télé ce soir, Denoueix souspèse l’adversaire de l’OL, livre les enjeux du huitième tant attendu et offre même sur un plateau d’argent quelques clés de lecture à Claude P.
L’OL se rend ce soir à Santiago Bernabeu. Les socios, chauffés à blanc par la dernière victoire en Liga contre Séville, ne pardonneraient jamais une élimination. Alors comme ici c’est le Real, il est interdit de baisser la tête et l’humilité est un péché. Perez joue la crédibilité de son modèle sportif et même Sergio Ramos a promis un 3-0 aux Lyonnais. Ambiance.
Malgré sa victoire 1-0 à l’aller, on promet à l’OL une nouvelle sortie de route en 8e face à des Merengues euphoriques. Un pronostic qu’est venue confirmer en dernier lieu la seconde mi-temps aux allures de démonstration du Real face au FC Séville samedi, pendant que Lyon bégayait son jeu à Boulogne. Alors, quelles sont les raisons de croire enfin à cet exploit européen ?
Dans l’ombre de Lyon et de son déplacement à Madrid, Bordeaux joue un match capital ce mercredi à Chaban-Delmas pour la suite du championnat. Fort de ses trois succès consécutifs, Auxerre ne vient pas en Gironde pour parler pinard, mais bel et bien pour continuer à engranger, avec l’Europe en ligne de mire.
Avant de retrouver le Milan en Ligue des Champions (victoire 3-2 à l’aller, avec un but du rouquin), Paul Scholes savoure sereinement son métier. Le devoir accompli. Le week-end dernier, il a claqué son centième but en championnat pour Manchester United. Normal.
Mercredi soir (20h45), Lyon se présentera face au Real avec un avantage d’un but aussi précieux que fragile. Certes, Madrid reste favori mais un peu moins qu’il y a trois semaines. Et pourquoi le cacher, plus encore que face à MU en 2008 ou au Barça l’an passé, une élimination serait une immense déception pour l’OL.
L’Olympique Lyonnais est au pied de son Everest : battre, tout du moins ne pas perdre, contre le Real Madrid millésime 2010. Un exploit qu’avec un but d’avance, les hommes de Claude Puel peuvent créer. D’autant que l’Espagne a souvent réussi aux clubs français… Top 10 des matches historiques des grenouilles en terres ibériques.
Avec Arsenal, la frontière entre punition et désillusion est souvent mince. Mardi soir, face à Porto, c’était option punition avec réussite au rendez-vous (5-0). Bendtner, Arshavine et Nasri en ont profité pour briller.
Le but inscrit à Münich laissait de bons espoirs à la Viola d’atteindre son 1/4 de Ligue des Champions. Traînant sa misère et sa poisse en Serie A, elle comptait sur ce rendez-vous européen pour confirmer son bon parcours de poule. Mais on ne la fait pas à un vieux routier comme le Bayern, qui a su réagir en 2ème mi-temps au doublé de Jovetic. Les tauliers ont fait le boulot : merci Ribéry, Van Bommel et Robben.
À quelques heures du 8ème retour entre la Fiorentina et le Bayern, Bixente Lizarazu voit les Bavarois passer ce tour mais s’interroge sur leur potentiel par rapport aux grands d’Europe. Il place également son avis sur le match historique que devra sortir Lyon face à Madrid et fait confiance à son club de coeur, Bordeaux.
Une teigne, un petit con, un charlot devant les buts : Nicklas Bendtner est sans doute l’un des joueurs les plus raillés et détestés de la planète. Son vrai souci : il ne marque pas assez pour mettre en sourdine les critiques, comme d’autres buteurs arrogants plus habiles. Un cas désespéré ?
Le Bayern Munich, invaincu depuis la mi-novembre, rêve de faire mieux que la saison dernière en Ligue des Champions et d’atteindre les demi-finales. Dans un stade Artemio Franchi chauffé à blanc, probablement sous la neige, l’équipe bavaroise (avec son petit but d’avance) se trouve dans sa situation préférée, celle d’une équipe qui attend, pour mieux survivre en contre-attaque…
Après avoir planté deux buts contre Arsenal (2-1) en huitièmes de finale aller de la Ligue des Champions, le FC Porto est à deux doigts de la faire à l’envers aux Gunners. Et ce ne serait qu’un succès de plus pour un club habitué aux grands crus.
Au mauvais endroit au mauvais moment, responsables mais pas coupables ou passionnément tragiques, les losers de la semaine se nomment Julien Escudé, la Fiorentina, et Didier Ollé-Nicolle.
Battus à Wigan (0-1), les Reds affichent un niveau proche du néant à trois jours de leur rendez-vous à Lille en Europa Ligue. Revue de détail au sein d’un géant en perdition.
L’été dernier, Didier Ollé-Nicolle était la « meilleure recrue » de l’ancien président Maurice Cohen. Aujourd’hui, DON n’est plus rien. Une défaite de trop l’a remis à sa place : dehors. Un triumvirat interne va le remplacer. Pour quoi faire et pour combien de temps ?
Propulsée présidente du Bologne FC 1909 après son rachat par son père, Renzo Menarini, Francesca Menarini, donc, est aux commandes du club depuis le 13 septembre 2008. Et parce qu’aujourd’hui c’est la journée de la femme, quoi de plus normal que de lui offrir une tribune sur sofoot.com. Elle nous explique en quoi consiste son rôle de présidente. Entretien.
Chaque année de Coupe du monde, c’est le même feuilleton. Le retour du super héros. Vieira pour la France, Luca Toni pour l’Italie, Ronaldinho et Ronaldo pour le Brésil… En Angleterre, jusqu’à la semaine dernière, c’était Michael Owen, ex-ballon d’or, ex-buteur prolifique. Avant de mettre un terme lui-même au suspense, le jour où tout pouvait redevenir possible…
Chaque année de Coupe du monde, c’est le même feuilleton. Le retour du super héros. Vieira pour la France, Luca Toni pour l’Italie, Ronaldinho et Ronaldo pour le Brésil… En Angleterre, jusqu’à la semaine dernière, c’était Michael Owen, ex-ballon d’or, ex-buteur prolifique. Avant de mettre un terme lui-même au suspense, le jour où tout pouvait redevenir possible…
Bien sûr, ce week-end Manchester United a repris la tête de la Premier League et Arsenal se rapproche de la pole. Mais l’événement pourtant c’était la Cup, non ?
Avec des matchs en retard et des équipes qui jouent les coupes, les classements européens deviennent de plus en plus illisibles. Par contre, sur les terrains, pas d’excuses : on brille ou on coule.
La cité des Anges est en émoi. La 82eme cérémonie des Oscars va rendre son verdict. Talent, grâce, fluidité, beauté des images… la Ligue 1 est film à suspense. Le 27e acte était attendu. La douce mort du Paris SG, le choc des leaders, la chute niçoise… une journée décidément musclée. Action !
Super match ! De l’intensité, du suspens, des buts… et le ballon qui vit ! Malgré un arbitrage du niveau des Bleus contre l’Espagne. Mais bon : super match, quand même.
Les trois premiers du classement qui sont infoutus de marquer un pion, ça s’est passé ce week-end en Italie. Et c’est la Juventus qui remontre le bout de son nez. Eh ouais.
Week-end important en Premier League avec la prise de pouvoir de Manchester United et le retour d’Arsenal à hauteur de Chelsea. Avec un bémol toutefois : les Blues ne jouaient pas en championnat, FA Cup oblige où il s’est passé des choses très intéressantes…
La guerre des nerfs vient de recommencer. Grâce à leur prestation éblouissante, voire carrément héroïque contre le FC Séville, les Merengues rejoignent en tête du classement un Barça méconnaissable à Almeria. Le choc des titans va finalement avoir lieu… Tant mieux !