Claude Puel attend avec impatience la fin du mercato, histoire de savoir quel sera réellement son groupe. En attendant, l’ancien coach de Lyon doit se coltiner une périlleuse réception, cet après-midi au Ray, avec la venue de Lille.
Alors qu’il reste deux mois à disputer avant la fin de la saison régulière en MLS, le suspense demeure, à l’est comme à l’ouest : New York reste au contact du leader Kansas City, San Jose continue de créer la surprise, Los Angeles gratte des places sûrement, mais lentement et Montréal surfe sur une bonne dynamique. Petit bilan mensuel.
« Il faut prendre le facteur chaleur en compte. » En fin connaisseur de la Ligue 1, Jean-Yves Lafesse s’est laissé tenter par le jeu des pronostics. Et hop, sa grille pour la troisième journée.
On ne vous apprend rien, c’est actuellement la merde en Grèce. Longtemps épargné, car vivant au-dessus de ses moyens, le football local est aujourd’hui lui aussi durement touché.
Les premiers balbutiements du Petit Poucet de la Coupe de France 2008 en National sont des plus délicats. Et pourtant, le deuxième club ligérien a de quoi être optimiste.
Les liens entre la culture foot et hip-hop n’étaient pas évidents, au départ, en France. Un très beau livre sorti récemment, Mouvement (éditions 1980), raconte, tout en photos d’époque, la genèse du rap, du graff et du break dance dans l’Hexagone.
Le Borussia Dortmund arrache ses trois premiers points de la saison. Pas hyper rassurants défensivement face au Werder, les locaux ont assuré l’essentiel grâce à la nouvelle recrue Reus et à l’ancien, Götze.
Dominateur puis bousculé, Lyon a bien failli repartir bredouille de son déplacement à Évian. C’était sans compter sur Michel Bastos, qui s’est mué en sauveur en plantant un coup franc surpuissant (1-1).
Aujourd’hui, deux clubs sont véritablement à l’affiche du marché des transferts : Chelsea, qui officialise les arrivées de Moses et Azpilicueta, et Wolverhampton, qui se fait 30 millions d’euros en un jour grâce aux ventes de Fletcher (Sunderland) et Jarvis (West Ham).
Évidemment, vous vous demandez tous « Alors, alors, Tito a changé quoi ??? » Bon. Les mêmes mouvements, les mêmes joueurs, aucune recrue sur le pré à l’engagement… C’est tout pareil ? Bah, pas forcément.
La saison vient à peine de démarrer que déjà les mesures répressives s’abattent sur les supporters. Le foot français est en train de muer en profondeur, et l’un des premiers théâtres de cette transformation touche la faible et récente culture tribunes qui semblait enfin s’y être cristallisé.
Le week-end dernier, Zlatan n’a pas joué contre Ajaccio. Depuis, il soigne sa cheville, suit le marché des transferts et s’emmerde un peu dans la capitale française, désertée au mois d’août. Si le Suédois prenait la plume pour raconter ses impressions, voilà ce que cela donnerait. Sans doute.
À peine le temps d’évoquer le retour de flamme qu’un nouveau coup de latte vient frapper Gourcuff : une blessure, la sixième en deux ans, et une indisponibilité pour au moins les deux prochains mois.
Rarement sur la même longueur d’ondes, les presses madrilènes et barcelonaises ont fait dans le consensus en soulignant toutes deux la domination du Barça dans le jeu. Évidemment, la boulette de Valdés fait la une.
De la chèvre sud-américaine aux intermittents joueurs de l’Est, en passant par quelques besogneux bien de chez nous, Alain Roche, recruteur en chef du PSG, a sillonné le monde pour nous faire rigoler.
Pour sa première expérience sur un banc de touche d’une équipe pro, Régis Brouard va devoir ressortir de ses valises les recettes qui avaient si bien fonctionné avec Quevilly.
Ok, la Ligue 2 n’en est qu’à son quatrième acte, mais le FC Nantes a bien embrayé la chose. Surtout après une trêve estivale rythmée par les traditionnels grands chambardements qui ont amené, cette fois, Der Zakarian à reprendre du service sur les bords de l’Erdre.
Avantage Barcelone après ce premier round. Plus techniques, plus physiques, les Blaugrana auraient pu régler l’affaire, Valdés en a décidé autrement. Mercredi prochain, on remet ça.
Avec un Iniesta d’une autre planète, le Barça s’adjuge le premier clásico de l’exercice (3-2). Logique : les Catalans ont dominé les débats lors de cette manche aller de Supercoupe d’Espagne, même si tout reste ouvert en vue du match retour. Merci qui ? Merci Víctor Valdés.
Si aucun des clubs anglais, espagnols, allemands, italiens, portugais et suisse engagés dans la compétition n’a hypothéqué ses chances de qualification, ce n’est pas le cas du côté des Pays-Bas.
Tito Vilanova serait presque plaint. Sa mission relèverait de l’impossible : dépasser l’acmé guardiolesque ou, tout du moins, faire perdurer cette domination, toutefois relative, puisque les Blaugrana viennent de terminer une saison sans C1 ni Liga.
Ce soir, Real et Barça refont le monde et Cristiano Ronaldo croise à nouveau celui que les autres préfèrent. Lionel Messi sera encore Ballon d’Or à la fin de la saison parce que c’est la vie. Et la vie est parfois injuste.
Quand de probables impossibilités sportives découlent des difficultés économiques, personne n’a envie de se serrer la ceinture. Dès lors, les dirigeants marseillais tentent délicatement d’opérer la mue du club…
Avec son lot d’excentricités, Dani Alves est la caution brésilienne du Barça. Avant de retrouver ses amis madrilènes, le latéral supersonique a alterné le chaud et le froid ces derniers douze mois. Un paradoxe tout à son image.
Luka Modrić au Real Madrid, c’est le transfert le plus attendu de l’été. Alors qu’elle semblait actée il y a de ça une semaine, l’arrivée du Croate en terre ibérique a du plomb dans l’aile. La faute à l’impitoyable Jorge Mendes.
Le Sheriff Tiraspol est un club bien étrange, basé au cœur d’un territoire, la Transnistrie, soutenu par une compagnie monopolistique proche d’un pouvoir autoritaire vivant dans la nostalgie de l’époque soviétique. Chouette, hein…
Málaga, BATE Borisov, l’AEL Limassol et le Dinamo Zagreb sont parvenus à s’imposer à domicile ce soir lors de la phase aller des barrages. Mais aucun des battus n’est pour autant condamné.
Pas de vainqueur pour ce barrage aller de la Ligue des champions entre Braga et l’Udinese. Les Frioulans ont ouvert le score par Basta, Braga ont égalisé par Ismaily. Tout reste donc à jouer pour le match retour, dans une semaine, au stadio Friuli.