Mr Bongo est devenu l’un des labels de référence pour tous les amateurs de musique brésilienne et autres petites raretés latines. Le DJ David Buttle, son créateur, est surtout un immense fan de foot. Et de West Ham.
Un pénalty manqué – puis réussi – par Ronaldo, le but de la délivrance signé Benzema, un Welbeck de feu du côté d’Arsenal, l’Olympiakos d’Abidal à la rue, Liverpool encore décevant et des clubs allemands au taquet.
Au bout du bout de l’ennui, Arda Turan a délivré un Vicente-Calderón presque endormi. Entre guerre tactique et ennui ferme, l’Atlético de Madrid profite du petit but de son génie turc pour recoller à son adversaire du soir. La meilleure des mauvaises soirées en somme.
94′ : Salut les frelons, bonne soirée! En espérant mieux la prochaine fois. Le match a été très moyen mais quand il s’agit de bander les biceps, l’Atletico est difficilement testable!
Pour le plus grand plaisir de son propriétaire Dmitri Rybolovlev, l’AS Monaco a tenu le choc sur la pelouse du Zénith Saint-Pétersbourg (0-0). Sérieux, les hommes de Jardim ont souffert en fin de match, bien que Ferreira Carrasco ait touché le poteau.
94′ : C’est fini ! Bon match nul 0-0 obtenu par l’ASM à Saint-Pétersbourg. Dans l’ensemble, le …
Impressionnant contre Arsenal, le BVB n’est que l’ombre de lui-même en Bundesliga, avec seulement 7 points en 6 journées. Et surtout, déjà 11 buts encaissés. Petite explication de ce début de saison à tendance bipolaire.
Après 1997 et Ronaldo, après 2013 et Messi, ce Paris Saint-Germain a enfin battu ce FC Barcelone. Un match de poule qui comptera beaucoup moins que la victoire de 1995, quand Vincent Guérin avait fait son Blaise Matuidi, mais qui restera certainement l’un des moments-clés de la saison parisienne.
Et le meilleur buteur de l’Atlético en ce début de saison est… Miranda. Défenseur ô combien sous-estimé, le Brésilien forme avec Godín la charnière centrale la plus performante d’Europe. Deux larrons qui sont les anges gardiens des Matelassiers.
Zénith-Monaco, c’est aussi la confrontation de deux entraîneurs portugais. L’un a des cheveux, l’autre beaucoup moins. L’un a tout gagné à même pas 33 ans, l’autre n’était personne au même âge. A priori, tout oppose André Villas-Boas et Leonardo Jardim…
Même avec le meilleur joueur de la planète dans un grand jour, le Barça n’a pu sortir gagnant de son premier vrai test. Un constat partagé par toute la presse espagnole.
Salieri avait Mozart, Guy Roux a Amadeu. Entraîneur au Brésil de l’América de Manaus pendant 53 ans sans interruption, Amadeu Teixeira n’a gagné qu’un seul titre durant son règne. Rencontre amazonienne avec un recordman de 88 ans.
Les stadiers assistent aux plus belles rencontres de foot, mais ne peuvent bien souvent pas en voir un bout. Mardi soir, on en a croisé un plus chanceux que les autres, au Parc des Princes.
Auteur d’un match phénoménal et d’un sauvetage complètement dingue, Marquinhos a prouvé qu’il montait en puissance. Pendant ce temps, Marco Verratti, lui, a planté son premier but sous les couleurs du PSG. Son premier en carrière. La bonne idée de la soirée.
Ce soir, la Ligue des champions ne se jouait pas qu’au Parc des Princes. À Nicosie, Amsterdam pleure encore. À Lisbonne, Chelsea assure. En Ukraine, Porto se sauve au buzzer.
Un match nul logique entre Citizens et Romains, notamment marqué par la prestation (et le but) d’un Francesco Totti définitivement increvable.
Au terme d’une rencontre qui restera dans les annales, le PSG a magnifiquement disposé du FC Barcelone (3-2). David Luiz et Marco Verratti ont inscrit leurs premiers buts pour Paris, qui se replace parfaitement dans sa poule de Ligue des champions.
C’est chaud pour City. Incapables de produire du jeu, les hommes de Pellegrini peuvent donc déjà s’estimer très heureux avec le nul (1-1).
94′ : C’est TER-MI-NE ! Le PSG a enfin montré un visage digne de son rang et s’impose avec brio face à une équipe catalane décevante dans l’animation. Bonne nuit les petits. Jay-Z et Queen B veillent votre sommeil.
Le Bayern s’est facilement imposé en Russie, comme ne le reflète pas forcément ce score de 1-0.
Un Zlatan et puis c’est tout. En caricaturant, telle est la vision catalane de ce PSG. Les Parisiens n’effraient que peu de Barcelonais.
Après avoir officié dans de nombreux clubs de seconde zone, José Mourinho atterrit au Sporting en 1992, où il rencontre notamment Bobby Robson et gagne le surnom de « traducteur ».
13 heures et 11 minutes. Ce n’est pas la durée de contrat qui reste à Laurent Blanc, mais l’invincibilité en cours de la défense du FC Barcelone, toujours vierge depuis le début de la saison. Une série impressionnante qui pourrait prendre fin dès ce soir, sur la pelouse du Parc des Princes. À qui la faute ?
Aujourd’hui, c’est la journée mondiale de la traduction. On ne sait pas trop à quoi ça sert, mais c’est l’occasion de se replonger dans les plus belles saillies des footballeurs quand ils abordent une langue (presque) étrangère.
Héros national depuis son but en finale de Coupe du monde, l’homme à tête de castor avait pourtant bien mal commencé la saison. Sifflé à Dortmund lors de la DFL-Supercup et du match de la Nationalmannschaft contre l’Écosse, quelconque sur le pré, Mario faisait la gueule. Mais avec les buts est venu le sourire.
Post-formé au FC Barcelone, Thiago Motta retrouve son premier club européen avec un sentiment de revanche permanent bien caché au fond de lui.
En déplacement à Manchester City, la Roma tentera de ramener quelques points nécessaires à sa survie dans le groupe de la mort. Manchester, pas franchement un bon souvenir pour la Louve.
La nouvelle place forte du football ukrainien a vu, depuis quelques mois, son irrésistible ascension bousculée par les événements extra-sportifs dans la région.
Chelsea continue sa promenade, les deux Manchester aux forceps, et des derbys décevants, malgré un but d’extraterrestre de Phil Jagielka. Belles mentions pour Southampton et West Brom.
Deux matchs, dix buts, cette 5e journée de Serie A se referme sur une note positive. Du moins pour l’Udinese et la Lazio.
C’est déjà entendu pour certains, Serge Aurier est l’erreur de casting du recrutement du PSG. Jugé et condamné après trois matchs comme titulaire, la doublure de Gregory van der Wiel méritait qu’on défende son dossier.