Pour son troisième match sur le banc du Real Madrid, Zinédine Zidane va retrouver la pelouse du Betis. Celle sur laquelle, avec les couleurs de Bordeaux, il avait tapé dans l’œil de toute l’Espagne.
Véritable attraction du début de saison de l’Atlético Madrid, Antoine Griezmann marche sur l’eau et affole les plus gros cadors d’Europe. À bientôt 25 ans, le Français a-t-il ce qu’il faut dans les crampons et le pantalon pour aller encore plus loin ?
Avant John Terry, Frank Lampard ou Didier Drogba, Chelsea n’avait d’yeux que pour lui. Gianfranco Zola a conquis Londres et le Royaume au cours de sept années magnifiques (1996-2003).
Troyes vainqueur, Nice dauphin et Montpellier au plus mal
Troyes vainqueur, Nice dauphin et Montpellier au plus mal
Troyes a enfin gagné un match, Guingamp et Bordeaux auront changé leurs destins dans les dernières secondes, tandis que Nice devient provisoirement le nouveau dauphin du PSG.
Au terme d’une rencontre agréable à suivre, l’Empoli et le Milan se quittent dos à dos (2-2). Par deux fois, le Milan a mené au score, mais il doit tout de même se contenter au final du match nul.
Payet régale, mais West Ham concède le nul face à City
Payet régale, mais West Ham concède le nul face à City
Le numéro 10 a une nouvelle fois réalisé un match plein, avec de belles friandises. Mais il y avait Kun Agüero en face… Va, donc, pour un 2-2 bien spectaculaire.
Tout en efficacité, le FC Barcelone a repris provisoirement la tête de la Liga. D’abord bousculés par Málaga, les Catalans ont réussi à sortir la tête de l’eau.
Une semaine après une victoire inespérée à Liverpool, la troupe de Louis van Gaal est de nouveau retombée dans ses travers à domicile face à Southampton sur un but en fin de match de Charlie Austin (0-1).
Ben Arfa a beau rager contre leur tactique, les Angevins sont les seuls, avec Reims et Bordeaux, à avoir pris un point au PSG cette saison. De quoi envisager la première défaite des hommes de Blanc ?
Carcasse de rugbyman, cuisses opulentes et autorité naturelle, Wes Morgan ne passe pas inaperçu au sein de la Premier League. Capitaine et leader de Leicester depuis 2012, le défenseur jamaïcain est l’un des hommes de l’ombre d’une équipe étonnante.
Le PSG et le SCO ne se sont plus affrontés au Parc des Princes depuis plus de vingt ans. C’était le 5 février 1994, Xavier Gravelaine jouait dans la capitale et Christophe Galtier tenait le côté droit de la défense angevine. Un match à sens unique.
Personne n’aurait un jour imaginé ça. Jamais personne n’aurait pensé voir Stoke jouer au foot, Hughes mettre le feu à la Premier League et surtout, Bojan-Shaqiri-Arnautović porter une ville de potiers. Sauf que voilà, l’histoire s’est écrite ainsi.
Dans un match monotone entre Lorient et Nice en 2006/2007, un événement majeur va intervenir en toute fin de match : le clash entre Marama Vahirua et Frédéric Antonetti. Ou quand la pagaie rencontre un roc.
Il marche sur l’eau en championnat, se prend à rêver d’un exploit en Ligue des champions et d’un nouveau triplé sur la scène nationale… S’il n’a jamais dégagé autant de maîtrise, le PSG n’en approche pas moins d’une période de reconstruction, charnière et dangereuse.
Le duo Riyad Mahrez et Jamie Vardy a déjà marqué l’histoire de la Premier League. Un duo offensif insolite qui s’ajoute à quelques doublettes mythiques du championnat anglais.
BT en Angleterre, Telefónica en Espagne et le tout puissant Altice qui souffle ses ambitions sur la France. Le foot et le secteur des télécom’ se sont engagés depuis plusieurs années dans un mariage de raison. Avec une once de déraison.
Courbis dit merci à Grosicki, et à Filippi un peu aussi…
Courbis dit merci à Grosicki, et à Filippi un peu aussi…
Longtemps, Rennes a pioché devant l’organisation corse. Puis Kamil Grosicki est sorti du banc, et il a presque marqué son sixième but de supersub. À Rennes l’avenir, à Ajaccio l’espoir d’un futur en Ligue 1.
Nîmes flambe, Metz s’accroche et Auxerre se relance
Nîmes flambe, Metz s’accroche et Auxerre se relance
Cinq matchs seulement ce vendredi pour cette 22e journée de Ligue 2, mais parmi eux se cache peut-être le match de la saison. Nîmes a en effet mis le feu à Marcel-Picot en allant chercher une victoire d’anthologie (3-4).
Condamnés à 8 points de pénalité, les Crocos nîmois semblaient condamnés à la descente en National. Mais les voilà qui ont quitté la place de lanterne rouge de L2 et qui se mettent à croire à un maintien possible.
Il a été condamné à cinq ans de prison pour l’enlèvement de Fabrice Fiorèse, son ancien ami. Mais comment Ghislain Anselmini en est-il arrivé là ? Portrait.
Pourquoi David Ducourtioux est meilleur que Javier Zanetti
Pourquoi David Ducourtioux est meilleur que Javier Zanetti
Les deux ont la particularité d’être aussi bien à l’aise arrière droit que milieu relayeur. Oui, mais le joueur de 38 ans du Gazélec est en train de faire plus fort que la légende de l’Inter.
Søderlund, buteur lors de son premier match et derby à Saint-Étienne, donne un peu plus de crédit aux adeptes de la filière scandinave en L1. Mais piocher chez les Nordiques est-il gage de qualité ?
Mais au fait, ils veulent dire quoi ces blasons ? Épisode 16
Ils sont les premiers repères de l’identité visuelle des clubs et ont généralement une place de choix sur tous les maillots. Qu’ils soient moches, magnifiques, compliqués ou au contraire simplistes, les blasons ont tous des petites histoires à livrer.
José Peseiro, un aventurier pour reconstruire le FC Porto
José Peseiro, un aventurier pour reconstruire le FC Porto
Plusieurs semaines après les adieux de Lopetegui, la direction de Porto a annoncé l’arrivée de son successeur, José Peseiro, bien connu au Portugal pour son beau jeu, mais aussi son manque de titre.
Une grosse chance au tirage, une tempête divine, un entraîneur-joueur gueulard mais aimant, des casquettes en jaune et rouge, des moustaches monumentales et la poignée de main de Giscard d’Estaing : l’épopée de l’US Orléans lors de la Coupe de France 1979/80 était parfaite… jusqu’au coup de vice de Delio Onnis en finale au Parc des Princes.
Une grosse chance au tirage, une tempête divine, un entraîneur-joueur gueulard mais aimant, des casquettes en jaune et rouge, des moustaches monumentales et la poignée de main de Giscard d’Estaing : l’épopée de l’US Orléans lors de la Coupe de France 1979/80 était parfaite… jusqu’au coup de vice de Delio Onnis en finale au Parc des Princes.