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En direct : Paris S-G – Bayern Munich
C’est TER-MI-NE ! Le PSG s’impose largement face au Bayern (3-0) ! Vous pouvez pleurer, embrasser vos enfants, vos femmes, partir enfin rencontrer vos voisins. Mais attention : restez calme, on connaît les classiques. Vous avez été immenses.
OUI AREOLA ! Quel arrêt sur le CF de Lewa !
Oh Alves lâche une dernière faute de gosse devant la surface.
Allez, on peut s’allonger. La séance d’étirements peut commencer.
Allez Julian, vient avaler les miettes.
Et Areola qui termine sa copie par une belle horizontale au sol sur une frappe croisée de Coman. Facile. Gros match Alphonse.
Aïe, Thiago Silva vient de retomber sur le coccyx. Il souffre. MAIS CA FAIT SE LEVER LO CELSO !
Si vous avez 90 minutes demain, on se retrouve dans un bar et on fait un focus Rabiot tous ensemble.
Neymar fait sa crise, il veut ses applaudissements, ses confettis, ses peluches.
Rudy dégomme tout le monde et va chercher des câlins. C’est quoi cette attitude ? Tu mets des droites, tu assumes.
Et Cavani en profite pour cartoucher un coup franc puissant au-dessus. Neymar lui a laissé. Vous en tirerez les conclusions que vous voulez. Par contre, Rudy, c’est un équarrisseur.
100000e centre de Kimmich et Coman foire sa reprise. C’est dur.
Top : ça fait donc cinq minutes de débat entre Guy et Beye sur les penaltys.
Bâle 5 – Benfica 0. Voilà.
Tu m’as eu @bestclic 3.0
Areola se fait un kiff et dégage un centre de Kimmich des poings. Il cherche des biscuits où il peut.
Nouvelle grosse combinaison du PSG, Neymar décale parfaitement Alves mais ça file à côté. Trop croisé ct’histoire.
Allez Unai, balance Lo Celso, c’est maintenant. Notre chewing-gum de fin de soirée.
C’est bon, Neymar commence à vouloir faire des bêtises.
OH le but refusé au Bayern ! Lewandowski gagne son duel aérien, Vidal devance Areola et…. hors-jeu. Tranquille.
Clairement, on découvre un nouveau PSG ce soir : un onze qui n’a pas le ballon, qui accepte de subir, qui savate en contre. C’est agréable aussi.
Oh concentration : Alves s’excite dans sa surface et crache sur sa relance. Pas grave, c’est Verratti qui vient le consoler. C’est quoi ce monde ?
Merci @adis.
Mais tu fais quoi gamin ? Qui es-tu ? D’où viens-tu ? Mbappe humilie Alaba dans la défense munichoise, allume Ulreich, Neymar reprend et 3-0 pour le PSG ! Quel carnage !
GOOOOOOOOOOOAAAAAAAAAAALLLLLLLLLLL !
Et le coup franc de Neymar capté par Ulreich. C’était soigné.
Une petite pépite hollandaise vient de partir s’échauffer. Il est bon selon Guus Hiddink.
Wow mais quel sauvetage de Martinez devant Cavani ! Mamamia. Par contre, quel boulot de Mbappe encore.
Et voilà que Rudy allume de loin à son tour, Areola intervient bien mais le Bayern bouffe toujours toute la piste pour l’instant. Même Yannick était plus cool.
Par contre, Coman, ça fait du bien dans le jeu du Bayern. C’est clairement le gosse qui te fait souffler dans une baston en envoyant des marrons un peu partout.
Si vous vous posez la question, c’était bien Naomi. Elle met du 40 en chaussures si ça vous intéresse.
Oh cochon ! Neymar envoie une nouvelle flèche à l’entrée de la surface du Bayern qui passe à côté. Règle la mire gamin.
Le PSG se met en galère derrière, Alves rentre dans Verratti et nouveau sauvetage de Silva. Qui lâche ses premières larmes. Stay Strong.
Merci @adis.
Et Thiago Silva sauve le PSG sur corner ! Contre gamelle dans la foulée, bel échange Neymar-Mbappé et Neymar rate son face à face avec Ulreich. Mais whaaaat?
Juste pour rire : essayez de vous remettre tous les coachs qu’a connu Xabi Alonso.
Bixente en sandwich entre Van Gaal et Xabi Alonso. Quelle image.
Oui le triple tacle parisien devant Vidal qui se casse la gueule tout seul.
Et premier corner pour le Bayern : encore un bon centre de Kimmich et intervention alternative d’Alves.
Oh le coup de gueule de Carlo : James et Tolisso out.
Allez mi-temps au Parc ! Le PSG mène 2-0, c’est généreux mais pas immérité.
On va souffler sinon on va tous y passer ce soir.
Alphonse Areola s’envole encore. Il est en lévitation ce soir Super Saiyan.
Bon, on est quand même à 10 corners pour le Bayern ahahah.
Qu’on se le dise : Thiago Silva est costaud ce soir, heureusement.
Par contre, le Bayern est libre au milieu. Pour le moment, ça donne rien mais va falloir resserrer les boulons sinon, on peut oublier le clean-sheet.
Et Rabiot continue son petit festival sur l’Europe du foot.
Süle, c’est un mauvais cocktail. Clairement.
Wow ! Quelle combinaison du PSG ! Mbappe centre pour Neymar, remise parfaite pour Cavani qui bute sur Ulreich. Dans la foulée, nouvelle sucrerie de Mbappe sauvée par la défense du Bayern.
Par contre, Alcantara, ça monte le volume depuis une grosse dizaine de minutes. Il vient d’envoyer un retour défensif tout propre. Mais bon, ça reste un poulet sans tête.
Et le nouveau frisson sur la niche d’Areola. Nouvelle tête allemande qui passe à côté sur corner.
ALERTE : Neymar a pris Cavani dans ses bras.
Et 2-0 pour le PSG ! Cavani au début de l’action, Mbappé file en profondeur, remise en retrait, enroulé magnifique d’Edi. Par contre, le petit Sven, c’est de l’eau.
GOOOOOOOOOOOAAAAAAAAAAALLLLLLLLLLLL !
Et ça se balade encore et encore. Cette fois, Lewandowski, servi à l’entrée de la surface, enroule dans les bras de tonton Alphonse. Va falloir resserrer le bazar sur Müller parce qu’il se balade.
Bon clairement, il y a autant d’organisation que dans un gang-bang international. Va falloir que ça rentre dans l’ordre.
Allez, on regarde vite fait ce qu’il se passe ailleurs : MU mène 3-0, Benfica perd 2-0 à Bâle. Voilà.
Et nouveau contre du PSG : Cavani s’en va danser avec Martinez mais croise trop sa frappe. Belle cartouche.
Hier soir, Sérgio de Porto nous a expliqué qu’une équipe qui gagne ses duels remporte ses matches. Attention, vraiment.
Aaaah, le nouveau centre du Bayern : Lewandowski avec l’arme dans la main cette fois et Alaba ne peut pas reprendre le centre. Ouf.
Ah non, rendez-moi un live qui glisse, c’était cool.
Ouiiii, ça monte en intensité…
Outch l’énorme occasion sur le contre parisien : sale faute au milieu, on laisse le jeu et Neymar rate son contrôle. Ouais, ça arrive.
Le PSG ne voit plus la balle depuis 15 minutes, le milieu se fait balader. Nouveau centre d’Alaba et la tête de Lewandowski captée par Areola.
Et au tour de James de balancer une sacoche écrasée à côté ! Bon, y’avait corner selon Raphael Gaftarnik, mon consultant du soir.
AAAAAAH ! Le pétard de Javi Martinez et la main opposée d’Areola ! Les corners s’enchaînent, s’enchaînent, s’enchaînent…
Ooooooh la remise de Marquinhos vers Silva devant Lewandowski. Faut quand même pas déconner les bourgeois.
Pour ou contre les tatouages sur les cuisses ? J’ouvre le débat.
Ah, il est revenu.
Et ça commence à insulter Tolisso dans mon oreillette. Je ne veux pas voir ça, hein.
Pendant ce temps-là, Müller se fait caliner sur le côté, touché dans le contact avec Silva.
Kimmich est clairement entré dans son match et aligne les centres. Cette fois encore, Silva intervient devant Müller. Ne retiens pas tes larmes bonhomme, t’es en forme.
Aïe, concentration messieurs. Kimmich joue vite le corner et Müller claque sa reprise au premier poteau qui file à côté. Allez, oh !
ALERTE : Neymar défend.
Oh le coup de frisson : Javi Martinez dévie au premier poteau vers Müller en galère pour reprendre. Le Bayern est dans sa petite période.
Le Bayern sort enfin la tête de la baignoire, Alcantara lâche ses premiers pas sur la piste, on va enfin avoir un match. Justement : bon centre de Kimmich vers Müller mais le policier Marquinhos tient sa matraque. Dans la foulée, James déroule côté gauche et son centre est dégagé en corner par Rabiot. Ouf.
Hop, Neymar joue encore avec Alcantara et balance une ouverture trop longue pour Mbappe. Elle est en forme l’otarie. Pendant ce temps-là, premier corner pour le Bayern.
C’est fluide, c’est serein, ça combine sur les côtés, Neymar a des jambes. Bon, bon, bon, c’est costaud.
Deuxième incursion dans la surface bavaroise : Neymar lance Kurzawa, Martinez tient la baraque. Jusqu’ici tout va bien.
Allez, le PSG s’installe tranquillement dans le camp du Bayern et Kurzawa joue avec les reins de Kimmich. Mais c’est quoi ce bordel ?!
Wow, ce live glisse comme aux belles heures des années 2000.
Vite, vite, un défibrillateur, je suis en crise.
BOOOOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUMMMM ! Dani Alves ouvre le score pour le PSG ! Petit festival de Neymar côté gauche, Cavani aimante tout le monde, décalage parfait et Alves allume Ulreich. Superbe. SUPERBE !
GOOOOOOOOOAAAAAAAAAALLLLLLLLL !
On se matte, on s’attire : on dirait les premières minutes d’une soirée dansante, c’est beau.
J’ai une foule de testostérones en PLS à mes côtés, c’est stressant. Allez, on se détend. Feng shui pour tous. Ah, j’ai mis 5€ sur un but de Rabiot.
Ils sont LA ! Le truc le plus attendu depuis le retour d’Ève Angeli.
Par contre, les masques Neymar, c’est non. Tout ça, ça dégage.
« Demain l’Europe sera rouge et bleu » : bel hommage à la Berri.
Mouais, Hervé Mathoux, ça ne vaut pas Olivier Minne mais bon. Allez, les colosses sont dans le couloir. Et les Allemands ont fait tomber le t-shirt dans les tribunes du Parc, c’est chouette.
PS : Carlo vient bien de tirer la joue de Marco. Fais gaffe le vieux, touche pas au hibou.
Qu’on file un coup de main à @La Nicoleta et à @Monfreid : je veux un collectif parfait ce soir.
Bon, et côté PSG ? Bah pas de surprise les loulous : tout le monde est là, sauf Presnel, désolé. C’est dur mais c’est la vie les gros. Alors, on oublie et on commence à prier tous ensemble. Tous, tous.
Oui, c’est bien Carlo Barbecue qui est actuellement sur Canal. Parfait pour filer jeter un œil aux cartes. Côté Bayern : pas de Ribéry, pas de Robben, pas de Hummels et un James titulaire pour le plaisir des amoureux de David Ospina. On va aussi jeter un regard sur ce Niklas Süle, qui débarque d’Hoffenheim et va donc se retrouver avec la Corolle uruguayenne entre les dents.
Pim, pam, salut les loubards ! Débarrassez vos tables, couchez vos gosses, bandez les yeux de vos femmes, la baston, la vraie, va commencer dans quinze minutes. Oubliez tout ce que vous avez vu jusqu’ici. Ce soir, c’est un hommage à Laurent Leroy et à Christophe Revault mais c’est surtout le Grand Soir. Et Benoît Delépine n’y est pour rien cette fois.
Maxime Brigand
