Si un seul gardien brésilien a déjà joué dans le championnat allemand, Heurelho Gomes, les joueurs de champ nés sur la même terre que Pelé sont eux nombreux à être venus tenter leur chance en Bundesliga, avec plus ou moins de réussite. Certains ont même poussé le vice à ne plus vouloir quitter leur nouveau pays, d’autres ont tout tenté pour le quitter. La preuve par 10.
Top 5 : Les matchs mythiques de la Nationalmannschaft
Top 5 : Les matchs mythiques de la Nationalmannschaft
Voilà 60 ans que l’Allemagne s’invite régulièrement au moins en quart de finale de Coupe du monde, ce qui en fait la nation européenne la plus régulière à ce niveau. La Nationalmannschaft en a profité pour jouer des rencontres complètement dingues, qui sont restées dans l’histoire de la compétition. Une place dans le générique, ça se mérite.
Comme Kaltz, Briegel, Breitner ou Littbarski avant lui, Thomas Müller perpétue la tradition de l’Allemand aux chaussettes baissées. Derrière l’anecdotique ou le défaut de tenue de l’équipement, peut-être aussi le signe qu’on a ici affaire à des joueurs spéciaux. Le genre de gars qui ont passé des Coupes du monde sans avoir peur de rien ni personne, pas même de montrer leur tibia au monde et aux adversaires.
L’Argentin s’exporte partout, même au Brésil. À première vue, il semblerait que cela soit mission impossible. Et pourtant… Top 10 des Argentins dont devraient s’inspirer Lionel Messi et compagnie dans leur quête brésilienne du graal.
Kyle Beckerman n’a pas coupé ses dreadlocks depuis neuf ans. Une certaine idée des USA, le pays des opportunités. Avant le milieu de terrain US, la sélection américaine s’est souvent distinguée par ses coupes de cheveux atypiques.
Jacques Foccart ne dira pas le contraire, l’histoire a fait de l’Afrique une sœur française. Ou inversement. En football, en tout cas, entre les Bleus et les sélections africaines, on en a souvent eu pour son argent.
Hop, hop, hop, à peine commencée qu’on a déjà dépassé la moitié. La Coupe du monde brésilienne vient d’achever la phase de groupes et se dirige à toute allure vers les matchs à élimination directe. C’est l’heure de dire au revoir à la moitié des nations participantes, à des joueurs qui se sont fait remarquer et à quelques curiosités. Bilan non exhaustif de ce qui va nous manquer.
Alors oui, il y a eu Ubaldo Fillol, et oui l’éphémère Carlos Roa faisait un peu rêver, mais le constat reste quand même bien souvent le même : être gardien et argentin signifie souvent être une épine bien douloureuse dans le pied de l’Albiceleste. Et oui, cette année encore, l’Argentine devra se coltiner un gardien tout nul et remplaçant à Monaco. Sergio Romero, digne hériter d’une sacrée bande de losers.
À l’image de Stephan Lichtsteiner qui a joué trois ans à Lille (2005/2008), les Suisses ont très souvent traîné leur talent au cœur de l’Hexagone. Certains avec réussite, d’autres beaucoup moins.
Avec Luke Shaw, Raheem Sterling, Ross Barkley et Alex Oxlade-Chamberlain, l’Angleterre possède quatre joueurs de moins de 21 ans, et personne ne fait mieux parmi les 32 sélections engagées au Brésil. D’ailleurs, les Anglais ont l’habitude d’emmener des enfants puisque Theo Walcott, alors âgé de 17 ans, était de l’aventure allemande en 2006. Pour autant, les sujets de Sa Majesté ont été de nombreuses fois déçus par leurs petits.