Ce soir, c’est Fort Boyard. L’occasion de se replonger dans l’histoire incroyable de ce jeu. Armés de leur seul courage, portés par une noble cause, certains chevaliers modernes ont tout risqué pour braver le Fort. Du caleçon de Rod Fanni aux biceps de Pascal Olmeta, retour en images sur leurs plus beaux exploits.
Tous les quatre ans, le mercato est agité par un évènement : la Coupe du monde. Durant la compétition, certains talents méconnus, à l’image du néo-Madrilène Keylor Navas, se révèlent, explosent et gagnent le contre de leur vie. Pourtant, dans le groupe des recrutés sur la foi d’une Coupe du monde, certains s’avèrent être de réelles arnaques.
Le gendarme financier de la LFP a frappé et vient de briser net les rêves de retour dans l’élite du RC Lens. D’un coup, le rôle de cette vénérable institution, tant vantée chez nous, ne fait plus l’unanimité. Il serait peut-être temps de rappeler que la liste des victimes de la toute puissante DNCG est déjà longue.
Ça y est, c’est fini. Après un mois de soirées canapé-pizza-bière, de pronostics foireux, d’excuses pour quitter le bureau avant le match de 18 heures, d’engueulades avec sa copine, de réveil difficile après la séance de tirs au but de la veille, la Coupe du monde referme ses portes. C’est parti pour quatre ans d’attente. Et quatre ans, c’est long. Surtout sans eux.
Les finales de Coupe du monde ont toujours eu leurs héros. Les heureux, les malheureux, les gagnants, les perdants, les magnifiques, les moins esthétiques. Bref, toutes sortes de héros qui ont contribué à écrire la splendide histoire de ces matchs à part. D’ailleurs, parfois, certaines finales n’appartiennent qu’à un seul homme.
Le grand soir. À minuit, voire un peu plus, on connaîtra le vainqueur de la 20e édition de la Coupe du monde de football. Quelques minutes plus tard, ce sera au tour de la fameuse cérémonie des trophées. Certains adorent. D’autres trouvent l’instant trop cheap, long ou protocolaire. Retour en dix histoires courtes sur la relation intime qui relie le football et son Graal. Et d’enfin savoir qui a choisi le nom de l’Hexagoal.
Top 5 : les finales de Coupe du monde inoubliables
Top 5 : les finales de Coupe du monde inoubliables
Il y a les finales de Coupe du monde dont on ne sait pas grand-chose (en gros avant-guerre), celles qui marquent surtout le pays vainqueur (1978, 1998), celles qui déçoivent (1990, 1994, 2010), celle qui auraient pu en être (1958, 1986) et celles qu’on décide de retenir. Forcément subjectif, forcément sublime.
Top 5 : les meilleurs matchs pour la troisième place
Top 5 : les meilleurs matchs pour la troisième place
On dit que ce match compte pour du beurre, que les équipes ne le jouent pas à fond, voire pire, qu’on devrait le rayer définitivement du calendrier de l’épreuve. Pourtant, lorsque l’enjeu prend le dessus, ce match pour la troisième place peut tout à fait entrer dans la légende d’une Coupe du monde. La preuve par cinq.
Alors que la phase finale de la Coupe du monde approche, ce sont autant d’équipes et de supporters du monde entier qui, éliminés par la dure loi du sport, vont bientôt quitter le Brésil. Et pour les prostituées et les bordels du pays, ce sont autant de clients en moins… Que l’on soit pour ou contre ce pic ponctuel du tourisme sexuel, retour sur dix histoires intimes qui relient le football à l’industrie du plus vieux métier du monde. Avec beaucoup d’Anglais dedans.
Top 5 : les meilleurs 0-0 de l’histoire du Mondial
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Si Pays-Bas et Argentine ont rappelé au monde que le Brésil-Allemagne était vraiment exceptionnel, un match sans but n’est pas forcément une métaphore de l’ennui. Bien au contraire. La preuve par 5.