Sidney Govou, homme fort du septuplé lyonnais et footballeur frisson d’une Ligue 1 qui n’en compte plus beaucoup, a peut-être vu sa carrière s’achever ce samedi sur la pelouse du Grand Stade de Lille. Absent pour six mois, le joueur laisse déjà un grand vide derrière lui.
En le voyant débarquer cet été, les supporters nantais ont sans doute cru qu’un psychopathe venait de signer chez eux. Mais s’il possède un passé mouvementé, Gabriel Cichero (28 ans) est surtout un très bon défenseur.
Nouveau chouchou du Vicente Calderón, Diego Costa est également le joueur le plus détesté des pelouses espagnoles. Une réputation de mauvais bougre qui lui vaut également les louanges de ses adversaires. Un paradoxe ? Pas vraiment.
Grandiose face à Manchester, et souvent excellent depuis son arrivée, Diego López réussit un retour fracassant au Real Madrid, lui l’enfant de la Fabrica. Pourtant, les prochains jours s’annoncent tendus. Explications.
Depuis hier, le pape est argentin. Alors forcément, il aime le foot. Et forcément, il a un club de cœur : San Lorenzo. D’ailleurs, il ne pouvait en être autrement, l’équipe a été fondée par un prêtre.
Cette saison, Maurizio Zamparini, le président de Palerme, a battu un record : il a déjà viré quatre entraîneurs, dont deux fois le pauvre Gasperini. Mais la vraie question qui se pose, c’est : pourquoi les entraîneurs ne l’envoient pas chier une bonne fois pour toutes ?
Jackson Martínez, c’est un nom, une gueule et des buts. Beaucoup de buts. Successeur de Radamel Falcao à la pointe de l’attaque du FC Porto, le Colombien explose tout sur son passage pour sa première année en Europe. De quoi inquiéter la défense de Málaga.
Pas vraiment au mieux l’an dernier, Gerard Piqué est de retour à son meilleur niveau. Un come-back qu’il doit tout autant à sa force de caractère qu’à une remise en question post-Guardiola. Et ce, pour le plus grand bonheur de Milan.
Il a débarqué à Milan avec ses conneries d’ado. Il a été puni, critiqué, annoncé sur le départ et même, pire, déclaré inapte au foot pro. Mais depuis plus de deux mois, M’Baye Niang a bizarrement fait taire tous ses détracteurs. Par son jeu, par le travail. La preuve qu’on peut changer.
Un nom de personnage de jeux vidéo, une victoire, mais surtout un doublé pour essuyer d’un revers de main un début de saison horriblement compliqué. Présentation de Stéphane Bahoken, 20 ans, fils de, mais pas seulement.