Costa, le placenta de jument et la mort avant l’heure de l’Atlético
Costa, le placenta de jument et la mort avant l’heure de l’Atlético
L’Atlético a craqué hier à la 93e minute contre les coups de boutoir adverses avant de lâcher physiquement en prolongation… Et si la cause de la défaite était à chercher avant ? Simeone aurait-il une part de responsabilité là-dedans ?
Hier soir, en exhibant ses abdos après un pénalty généreux à la 120e minute d’un match déjà plié et lors duquel il n’a pas brillé, Cristiano Ronaldo a réveillé tous ses haters. Une nouvelle maladresse comme pour confirmer que même dans la gloire absolue, celle de la sacrosainte Decima, le meilleur joueur du monde ne fera jamais l’unanimité. Forcément, quand on vous demande d’être le meilleur homme du monde…
On était à Madrid pour la finale de la Ligue des champions
On était à Madrid pour la finale de la Ligue des champions
La finale formelle de la C1 avait lieu à Lisbonne avec ses officiels en costard et Michel Platini en faiseur de roi. La vraie finale cependant se déroulait dans les rues de Madrid, entre supporters de l’Atlético et du Real Madrid, entre Neptuno et Cibeles, une Mahou à la main, des rêves plein la tête et les yeux rougis pas l’émotion. Reportage.
«La Décima se devait d'être spéciale et elle l'a été»
«La Décima se devait d’être spéciale et elle l’a été»
Quelques heures avant de voter pour désigner ses députés, l’Europe s’est réunie pour regarder la finale à suspense de la Ligue des champions entre le Real Madrid et l’Atlético. Ce matin forcément, entre deux papiers sur les enjeux de ce scrutin, les quotidiens européens accordent quelques lignes pour évoquer le bisou de Casillas à Ramos et saluer le beau parcours du onze de Simeone. Revue de presse.
La finale de la Ligue des champions ne s’est pas jouée qu’à Lisbonne, hier soir. Sur la toile, les débats étaient largement aussi houleux que sur la pelouse du stade de la Luz, entre pro-Merengues et fans des Colchoneros. Et les RT se sont multipliés comme des séries d’abdos de Cristiano Ronaldo.
Le Real a longtemps raté sa finale. Et puis Sergio Ramos s’est élevé. Haut, très haut. Après, Di María n’avait plus qu’à dribler, Bale à suivre et Cristiano à offrir son corps de mutant aux caméras.
Difficile de noter des joueurs qui ont été parfaits et héroïques pendant 93 minutes, puis qui ont explosé et pris quatre buts en l’espace d’une demi-heure. Un problème qui ne concerne pas Diego Costa, qui n’est resté sur la pelouse que lors des huit premières minutes.