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Le psy de Luis Enrique
Tout dans l’interview post-raclée du match aller (4-0) traduisait un sentiment d’épuisement chez le coach catalan, qui dispose pourtant du « meilleur psychologue du sport ». Son nom : Joaquín Valdés.

Tout dans l’interview post-raclée du match aller (4-0) traduisait un sentiment d’épuisement chez le coach catalan, qui dispose pourtant du « meilleur psychologue du sport ». Son nom : Joaquín Valdés.

Oui, Arsenal a dégusté face au Bayern. Mais l’une des raisons s’appelle peut-être Koscielny. Car le Français n’était présent sur la pelouse que sur un seul des dix pions.

Menés et malmenés, mais finalement larges vainqueurs de Naples, les Madrilènes peinent défensivement et se subliment au mental.



Après une grande première mi-temps, emmené par un incroyable trio Mertens-Insigne-Hamšík et un pressing de dingue, le Napoli a fini par céder. Le Real avait trop de marge.

Buteur en finale en 2014, Sergio Ramos est un habitué des fins de soirée gâchées. Alors que Naples s’y voyait, l’Espagnol a placé deux coups de tronche pour donner la victoire aux siens. Capitaine plaisir.

Malmenés par des Napolitains auteurs d’une première période formidable, les Madrilènes ont serré les dents avant d’assurer la qualification grâce à un doublé de Sergio Ramos.

Pendant une mi-temps, Arsenal a laissé penser que l’exploit était possible. Ou tout du moins que le Bayern allait devoir serrer les dents pour préserver sa qualification. Puis Arsenal a cédé en début de seconde période et… patatras.
