
- Coupe du monde 2014
- Groupe D
- Angleterre
Oxlade-Chamberlain forfait aussi ?



Il y a deux ans, ce trio quasiment inconnu du grand public réalisait une saison énorme à Pescara, sous les ordres de Zdeněk Zeman, permettant au club des Abruzzes de remonter en Serie A. Deux ans plus tard, les voilà propulsés au Mondial brésilien avec la Nazionale (qui affronte le Luxembourg ce soir en match de préparation). Sacrée ascension.


L’Angleterre a inventé le foot, mais pas la Coupe du monde. Hormis leur victoire en 1966 à la maison, les Anglais essuient déception sur déception. De préférence aux tirs au but. De quoi débarquer avec une certaine modestie au Brésil.

Avec ou sans Suárez ? C’est la question qui agite les 3,5 millions habitants de l’Uruguay. Dans un groupe où elle va croiser deux autres sélections étoilées (Italie et Angleterre), la Celeste aura bien besoin de son avant-centre et gardien d’occasion.


Avec ses quatre étoiles sur le maillot, l’Italie arrive au Brésil avec quelques certitudes, mais aussi beaucoup d’incertitudes. Le forfait de dernière minute de Montolivo et la non-convocation de Pepito Rossi ont jeté un voile d’inconnues sur la formation de Cesare Prandelli. Mais finalement, n’est-ce pas lorsqu’elle n’est pas attendue que la Nazionale est la plus redoutable ?

Dans le groupe de la mort, le Costa Rica a hérité du rôle de la victime expiatoire aux côtés de l’Angleterre, l’Italie et l’Uruguay. Avec ses moyens et beaucoup d’envie, le pays rêve tout de même de reproduire la performance de 1990 et se hisser en huitièmes. Pas gagné d’avance.
