Tout le monde parle de sa « chatte » légendaire ou de sa dentition fêlée. Reste qu’une fois encore, Didier Deschamps a gagné et s’offre maintenant le droit de le faire un peu plus ce dimanche.
Beaucoup en parlent. Mais peu l’ont déjà vu. Et encore moins cet été. C’est normal, la bête noire nous a tragiquement quittés avant le début de l’Euro, sans prévenir.
Des débordements. De hooligans mais aussi d’amour. Marseille est comme ça : entière. Et au final, au vu de l’ambiance au Vélodrome pour le France-Allemagne, personne ne pourrait s’en passer.
Un toit rétractable, une pelouse de merde et des Britanniques qui chantent « Will Grigg’s on fire » torse nu les pieds dans l’eau de la fontaine de la Grand’Place. C’était l’Euro à Lille.
Un Portugal-Hongrie de folie, une demi-finale d’ennui et un choc des cultures entre Français et Irlandais. C’était l’Euro à Lyon, dans l’outil connecté d’Auras. Et c’était pas mal.