Dans la première manche de cette Supercoupe d’Espagne, les derniers vainqueurs de Liga et de Copa del Rey ont livré une belle partition. Mieux, David Villa et Neymar ont chacun réussi leurs débuts.
Si le football ne s’est jamais complètement arrêté cet été en Afrique, avec les phases de poules de la Ligue des champions et de la Coupe de la confédération, les choses s’accélèrent ces jours-ci au Maghreb, avec le début de saison des championnats marocain, algérien et tunisien. Présentation des forces en présence.
Pépite de la Cantera de l’Atlético de Madrid, Óliver Torres sera l’une des attractions de ce nouvel opus de Liga. Prototype du milieu à la sauce espagnole, il excite déjà l’Espagne du ballon rond. À raison ?
Un an après sa descente, Villarreal a ramené son yo-yo en Liga. Une bonne nouvelle pour un football espagnol qui y retrouve une de ses places fortes, un président charismatique et un engouement certain. Reste au sous-marin jaune à ne pas redescendre en eaux troubles.
Le Real Madrid a eu peur. Mais le Real Madrid a gagné. Et c’est bien tout ce que pourra retenir Carlo Ancelotti de cette victoire sur le fil face à un bon Betis Séville. En attendant, le Bernabéu lui a attribué une mention peut mieux faire.
Orphelin de Tito Vilanova, le Barça est à un carrefour. Avec Tata Martino aux commandes, les Blaugrana vont devoir réciter leur toque tout en acceptant les numéros de soliste de Neymar. Un quitte ou double qui excite le Camp Nou et la nébuleuse catalane.