Plus que son titre de roi de la petite Europe, le FC Séville se distingue par une maîtrise du mercato à conjuguer au plus-que-parfait. À la différence des autres étés, le millésime sévillan 2016 révèle un changement d’objectifs.
Il y a 36 ans sortait Coup de tête, trois ans avant que Patrick Dewaere ne se foute en l’air le 16 juillet 1982. Un film qui reste une vraie réussite quand il s’agit d’évoquer le ballon rond au cinéma.
Les places sont chères, et en cas de temps de jeu annoncé comme réduit, il n’est pas si simple pour les gardiens de but, et donc leurs agents, de trouver un nouveau point de chute.
Malgré un début de match catastrophe, les Tigres d’André-Pierre Gignac ont limité la casse sur le terrain de l’Internacional. Une courte défaite (2-1) qui leur permet de croire fermement en une présence en finale de Copa Libertadores.
Face aux (trop) nombreuses arrivées ces deux dernières années, les jeunes joueurs issus de La Masia, centre de formation du FC Barcelone, semblent avoir des envies d’ailleurs. Au point de trahir la philosophe du club catalan ?
Pendant tout l’été, nous nous attarderons sur des petites histoires méconnues du football italien. Pour ce premier épisode, coup de projecteur sur Don Gennaro Spavone, un homme qui a eu envie, à la fin du XIXe siècle, d’organiser des matchs de foot.
Gignac au Mexique cet été, Valbuena à Moscou il y a un an. Les destinations exotiques ne sont plus l’apanage des joueurs en fin de carrière et à la recherche d’un très beau dernier contrat. De là à devenir une solution de premier ordre pour les agents qui doivent caser un client ?
River Plate a remporté la première manche de la demi-finale de la Copa Libertadores face à Guaraní (2-0). Les hommes de Marcelo Gallardo ont dominé une équipe paraguayenne regroupée en défense, grâce à des buts de Mercado et Mora.
Comme l’an passé, Manchester United a rapidement mis les deux pieds dans le grand plat du mercato en frappant très vite, et très fort. Une stratégie en rupture définitive avec les années Ferguson, mais collant parfaitement aux attentes : envoyer du rêve.