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Des « incidents » auxerrois si prévisibles
Avec quelques kiwis, rouleaux de PQ et balles de tennis, agrémentés d’un fumigène imprévu, les ultras d’Auxerre sont devenus le nouvel ennemi public n°1 du football français.

Avec quelques kiwis, rouleaux de PQ et balles de tennis, agrémentés d’un fumigène imprévu, les ultras d’Auxerre sont devenus le nouvel ennemi public n°1 du football français.

Incapable de gagner le moindre match européen, humilié par Quevilly en Coupe de France, une énième place d’honneur en championnat, le Stade Rennais n’a certainement pas amélioré sa cote de popularité en cette saison 2011-2012.

Après avoir passé la majeure partie de la saison sur le podium de la Ligue 1, et un paquet de journées en tête, le Montpellier Hérault Sport Club a finalement soulevé son premier Hexagoal.

Les incidents qui se sont déroulés à Auxerre ont brusquement rappelé au foot français que les supporters pouvaient eux aussi garantir le spectacle et sauver l’intérêt d’une L1 tirée sportivement vers le bas.

À bien y regarder, le sacre de Montpellier révèle quelque chose de profondément français. Un truc qui nous dit quelque chose de notre pays.

Déjà la fin ? Quatre mois après son arrivée au Shanghai Shenhua FC, Nicolas Anelka menace de quitter le club. Zoom sur une drôle histoire…

Le jour où la Juventus perd son premier match de la saison, en finale de la Coupe d’Italie, le Torino obtient sa promotion mathématique en Serie A. Après trois saisons, l’autre équipe de Turin va retrouver l’élite et relancer le derby piémontais.

Avant que l’Espagne mette le monde à ses pieds, la Roja n’avait remporté qu’un seul trophée : l’Euro 1964, à domicile. Un sacre qui doit beaucoup à Luis Suarez, Ballon d’Or 1960.

Qui aurait cru, le soir de la débâcle héraultaise face au PSG en septembre 2011, que Louis Nicollin finirait avec une crête orange et bleue sur la tête ? Pas grand monde. Long à se construire, le titre héraultais s’est bâti en dix dates clés.

Snobé par bon nombre de nations majeures, le premier championnat d’Europe a été marqué par la domination des pays du Bloc de l’Est, et par l’exclusion de l’Espagne. Malgré un départ poussif, la compétition continentale deviendra rapidement incontournable.