À domicile, les Diables rouges confortent leur première place. Par ailleurs, bonne opération des Hollandais, Suisses, Russes et Bosniens. Déception en revanche pour le Portugal, la République tchèque, la Turquie et l’Ukraine. Le point groupe par groupe.
À la faveur d’une deuxième mi-temps volontaire, l’équipe de France a arraché un match nul salvateur en Espagne. Si Matuidi veut partir en Liga l’an prochain, ça devrait pouvoir se faire. Et pas à Levante.
La sélection française arrache un nul à Madrid (1-1). C’est un peu grâce à Valbuena et à Giroud. C’est surtout grâce aux Espagnols qui ont offert la deuxième mi-temps aussi. Merci à eux.
Et à la fin c’est l’Allemagne qui se fait remonter
Et à la fin c’est l’Allemagne qui se fait remonter
Menée 4-0 à l’heure de jeu, la Suède est allée chercher un match nul aussi inespéré qu’extraordinaire en Allemagne (4-4). Les hommes de Joachim Löw peuvent se les bouffer.
Pour son premier gros test des éliminatoires face au Danemark, l’Italie a montré qu’elle avait des épaules. Deux buts en étant dominée, un autre en infériorité numérique, et une victoire somme toute tranquille (3-1).
Espagne-France, un choc qui leur en touche une sans faire bouger l’autre
Espagne-France, un choc qui leur en touche une sans faire bouger l’autre
Tantôt considérée comme un classique, l’affiche Espagne-France a perdu de sa superbe. La faute à une Espagne empêtrée dans la crise, une Roja dix kilomètres au-dessus du sol et des Bleus plongés dans un marasme footballistique.
Ils ont brillé en Europe et ont fini par revenir en Amérique du Sud. Ils s’appellent Ronaldinho, Trezeguet, Fabiano ou Seedorf. Voici notre compte-rendu hebdomadaire consacré à ces vedettes américaines.
Cette semaine sur Twitter, on a parlé femelle, couché avec Fiorèse, sauté depuis l’espace et rencontré Shrek. On a aussi mangé une souris et des pains au chocolat. Calme-toi, Jean-François, le Ramadan, c’est pas maintenant.
En 1998, les joueurs de l’équipe de France remerciaient leur fournisseur italien pour leur succès en Coupe du monde. Depuis lors, le nombre de sélectionnés « made in Italy » n’a cessé de chuter. De telle sorte qu’aujourd’hui, il n’y a plus un seul Français d’Italie chez les Bleus.
Frédéric Thiriez a donc été réélu à la tête de la Ligue de football professionnel. Si personne ne s’attendait à une grosse bataille démocratique, il y avait pourtant de quoi interroger le président en poste depuis 2002 sur son bilan et sur la santé du football pro en France.