En écrasant une très pauvre équipe uruguayenne (3-0), l’Argentine a pris sa revanche après son élimination en Copa América et conservé sa place de leader. Pour la Celeste, ça commence à être inquiétant.
La Belgique marque les esprits, l’Angleterre facile
La Belgique marque les esprits, l’Angleterre facile
Brillants vainqueurs de la Serbie à Belgrade, les Diables rouges belges confirment leur actuelle montée en puissance. Dans les autres matchs de cette soirée, l’Italie assure, l’Angleterre cartonne et Ibrahimović fait le métier.
Ce match contre un faible Japon, cela aurait pu être une manière de faire un premier match plein pour certains comme Jallet, de gagner leur place pour d’autres comme Chantôme, de prendre confiance avant l’Espagne pour le groupe. C’est raté.
Calé à cinq jours du déplacement en Espagne, ce France-Japon tombait un peu comme un cheveu dans la soupe de Didier Deschamps. Pas mal en première mi-temps, les Bleus ont très vite remis la vitesse « match amical » et ont même trouvé le moyen de faire subir à leur sélectionneur sa première défaite (0-1).
Trois sur trois pour la Nationalmannschaft. Critiquée après ses deux premiers matchs de qualification, l’Allemagne s’est reprise avec la manière ce soir face à l’Irlande. Ultra-efficaces et ultra-réalistes, les hommes de Joachim Löw écrasent ceux de Trapattoni (1-6).
Désireuse de plier rapidement son match face à la Biélorussie, l’Espagne est parvenue à ses fins en vingt petites minutes, avant que Pedro ne régale d’un triplé (0-4). Une mise en bouche agréable, avant d’affronter les Bleus.
Choc du groupe F et bonne occasion de prendre de l’avance dans la course au mondial brésilien. La Russie s’impose 1-0 et prend seule la tête du groupe.
Pour leur première confrontation, le Brésil n’a pas fait de détail face à l’Irak. Score final : 6-0. Un tarif lourd qui aurait pu l’être davantage encore si Sabri Noor, le gardien irakien, n’avait pas été là.
Le FC Bruges qui donne des signes d’essoufflement, le joli parcours de Twente devant la meute de prétendants aux Pays-Bas, l’Écosse qui s’emmerde sans Old Firm et la renaissance du Grasshopper. C’est le point mensuel des championnats mineurs.
Via un message sur son compte Twitter, Alex, idole de Fenerbahçe, a annoncé la fin de son aventure avec le club turc. Après huit ans d’amour mutuel, c’est une drôle de fin. En cause : la jalousie d’un coach mesquin. Explications.