Au terme d’une rencontre équilibrée, partagée entre une superbe première période et une seconde ennuyeuse, le Galatasaray et Schalke se séparent sur un nul logique (1-1). Les Turcs ne sont pas parvenus à emballer la fin de match, et devront marquer à Gelsenkirchen.
Sur le papier, tout porte à croire que le FC Barcelone va sortir plutôt facilement de ce huitième de finale de Ligue des champions. Tout sauf le palmarès du grand Milan, l’histoire récente du Barça et la démence épisodique du football.
La Libertadores 2013 n’a que huit jours, mais déjà de belles histoires à raconter. Une équipe intoxiquée, des insultes racistes, un duel colombiano-mexicain à l’arrière-goût de blanche, et un traître de retour.
Relégué au rang de moins que rien après avoir fait fantasmer l’Europe il y a quelques années, Arsenal fait aujourd’hui l’unanimité contre lui. La fessée reçue par le Bayern hier en 8e de finale aller de la Ligue des champions (1-3) incite à appuyer sur la touche « stop » et défendre l’indéfendable.
Totalement perdus en première mi-temps les joueurs d’Arsenal se sont logiquement inclinés (1-3) face à des Bavarois efficaces et supérieurs. Plus convaincants au retour des vestiaires, les joueurs d’Arsène Wenger, menés 2 à 0 à la pause, ont cru revenir dans la partie grâce à Podolski, avant de concéder ce qui pourrait bien être le but de l’élimination. Logique.
Dans un match fermé et dominé par Porto, la bande à Lucho a pris un léger avantage pour la qualification grâce à Moutinho (1-0). Tout se jouera au retour, à La Rosaleda. C’est ce qu’était venu chercher Málaga.
Avant de purger sa suspension infligée par l’UEFA, Málaga entend profiter de cette Ligue des champions. Surprise du premier tour, l’équipe chère à Jérémy Toulalan va devoir dompter Porto dans son antre du Dragon. Pas facile.
Entre un Bayern qui marche sur l’eau et des Gunners tapés par Blackburn le week-end dernier en Cup, on sait dans quel camp la confiance se trouve. Mais attention : Arsenal sait se motiver pour la Ligue des champions.
Hatem Ben Arfa assure qu’il aurait pu évoluer au niveau de Lionel Messi. Alors oui, vous pouvez vous moquer et vous le payer pour pas cher. Sauf qu’à sa façon, l’enfant terrible du foot français a déjà surclassé le collectionneur de Ballons d’or.
Ballon d’Or 1961, Omar Sivori s’est éteint il y a exactement huit ans et deux jours, le 17 février 2005. Retour sur la carrière fulgurante de l’attaquant argentino-italien, idole de River et de la Juventus.