Paris-Marseille : acte II. Avec quelques changements notables par rapport à l’épisode précédent. Une coupe en toile de fond, pas de Beck’Cam, mais David titulaire d’entrée, des maillots sponsorisés PMU et Crédit Agricole et un vainqueur incontestable à la fin.
Ils ne se quittent plus, ces deux-là. Trois jours après une victoire un rien heureuse en championnat, le PSG retrouve Marseille. Cette fois, il s’agit d’un huitième de finale de la Coupe de France. Le quatrième et dernier Classico à la française de la saison.
Vous ouvrez le supplément d’un magazine un matin, et vous découvrez d’un coup que la France entière déteste votre club adoré. Pendant que les autres se partageraient des miettes insignifiantes de popularité. Et si ce type de sondage nous en apprenait plus sur ceux qui les commandent que sur l’échantillon qui y répond ?
Une gifle filée par le rival du Real, un entraîneur principal à New York, un intérimaire dépassé, une équipe en autogestion, un Messi tout triste et un jeu qui bégaie. Le Barça pose question depuis quelques semaines. On en a même trouvées 31.
Seul Iniesta, et dans une moindre mesure Alvès voire Alba ont échappé au naufrage. Pour ceux du Real, en revanche, c’est tout bon, sauf pour Higuain et Arbeloa, forcément.
Le Barça et le Real ne vont pas se quitter cette semaine. Avant de s’affronter samedi en championnat, les deux rivaux se retrouvent en demi-finale retour de la Coupe d’Espagne. Léger avantage pour Barcelone après le nul (1-1) ramené de Madrid à l’aller.
Une correction. C’est une correction que le Real a infligée ce soir au Barça en demie retour de Coupe du Roi (1-3). Une leçon tactique, aussi : bien regroupés derrière, les Merengues ont bouché tous les espaces, et su exploser en contre.
Deux nouvelles indications ce soir, dans le tout haut de tableau de Serie A. Le Napoli confirme son coup de mou et la Lazio met fin à sa pâle série.
Une première période pâle, une deuxième plus animée et au final, ça fait trois points de plus pour Monaco. Bousculés en fin de match, les Monégasques s’imposent (2-1) face à des Lensois courageux mais limités et font un pas de plus vers l’élite.
Arrivé en catimini à Saint-Étienne cet été, Brandao a déjà conquis tout le Forez. Auteur de 7 buts en Ligue 1 cette saison, le Brésilien a apporté sa besogne, sa bonne humeur et sa chance à l’effectif de Christophe Galtier.