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Comment jouent les équipes de Laurent Blanc ?
De Laurent Blanc, on connaît son Bordeaux et son équipe de France. Des succès, de la flexibilité, mais des fins en eau de boudin. Reste à voir son PSG, et ses choix de tacticien.

De Laurent Blanc, on connaît son Bordeaux et son équipe de France. Des succès, de la flexibilité, mais des fins en eau de boudin. Reste à voir son PSG, et ses choix de tacticien.

La première recrue marseillaise de ce mercato estival se nomme donc Dimitri Payet. Une recrue de choix pour l’OM et un joli défi pour le joueur qui ont tous les deux beaucoup à gagner ensemble. Et beaucoup à perdre.

« Les nuages s’accumulent (…). Je vous l’annonce et je ne plaisante pas, de grands clubs français vont déposer le bilan. » Frédéric Thiriez joue les oiseaux de mauvais augure, lui qui doit déjà déplorer la chute de Sedan et du Mans, alors que Lens devrait pouvoir s’en tirer ric-rac. Ailleurs aussi en Europe, plusieurs clubs – et certains assez réputés – tirent la langue. La preuve par cinq que la crise touche aussi le football.

Il aura fallu 120 minutes et une séance de tirs au but tendue et interminable à l’Espagne pour venir à bout de l’Italie et rejoindre ainsi le Brésil en finale de cette Coupe des confédérations. Méconnaissable, la Roja avait pourtant été bousculée par une Squadra Azzurra solide et unie, qui se souviendra de ses occasions ratées.

Alors que l’Impact de Montréal continue de surprendre son monde dans la Conférence Est, un autre outsider qu’on n’attendait pas forcément à pareille fête, Portland Timbers, vient de prendre la tête de la Conférence Ouest. Le point mensuel de l’actu en MLS.

Le Brésil, c’est « THE » pays du football. C’est la lambada, le carnaval do Brazil, Futbol Samba, Copacabana, Caipirinha, Vincent Cassel et Monica Bellucci. Certes, mais pas que. Loin de là. Hein, Sepp Blatter ?

La même raideur, le même humour mal maîtrisé, les mêmes tics de langage. Un an est passé et Laurent Blanc n’a pas changé. L’ancien sélectionneur a juste enfilé un nouveau costard, celui d’entraîneur du PSG. Pour sa première conférence de presse, le successeur de Carlo Ancelotti a essayé d’en dire le moins possible. Mission presque accomplie.

À Belo Horizonte, pendant que la Seleção arrachait sa place pour la finale de la Coupe des confédérations, des dizaines de milliers de manifestants brésiliens occupaient les alentours du stade et luttaient durement avec la police. Récit de l’intérieur.

Grâce à une tête stratosphérique de Paulinho, la Seleção l’emporte dans les dernières minutes de sa demi-finale face à l’Uruguay (2-1). Une victoire drôlement laborieuse.

Le 26 juin 1996, River Plate remporte sa deuxième et dernière Copa Libertadores. Derrière ce succès, la volonté inébranlable d’un vieillissant, mais toujours vaillant Enzo Francescoli.