Le mois de juin n’est pas forcément le mois du football, surtout lors d’une année impaire. Mais bon. On a tout de même vu une belle Coupe des confédérations, avec beaucoup de buts, quelques beaux transferts et quelques belles décisions de la LFP.
Ce n’est peut-être que la Coupe des confédérations, mais la presse brésilienne a bien pris soin de savourer la victoire de Neymar et ses copains, mais aussi de chambrer la Roja. Du côté espagnol, on préfère donner rendez-vous en 2014.
Le Brésil vainqueur, Torres meilleur buteur, Neymar meilleur joueur. Ça, c’est la FIFA qui distribue. Cependant, il reste des prix à prendre. Et pas des moindres.
Le milieu de terrain du Barça a été le seul – avec Pedro – à proposer quelque chose face au Brésil, trop peu pour empêcher les siens de couler en 16/9. L’Espagne s’est fait broyer dans tous les secteurs de jeu. Une vraie boucherie.
En feu, la Seleção envoie un message retentissant à la planète football en l’emportant largement (3-0) et avec la manière : il faudra compter sur elle l’an prochain. Sans vie, la Roja s’est écroulée de son piédestal.
Salut les couches-tard ! C’est l’heure de la finale rêvée, le duel entre deux des grands favoris du prochain Mondial, dans le théâtre de la finale de celui-ci, le tout beau tout neuf Maracanã.
Le jour où l’Espagne a été battue par le Brésil et l’arbitre
Le jour où l’Espagne a été battue par le Brésil et l’arbitre
La dernière fois qu’Espagne et Brésil se sont rencontrés en match officiel, cela remonte à la Coupe du monde 1986. Un souvenir douloureux pour une Roja défaite (0-1), et à laquelle un but avait été injustement refusé. Un but qui lui aurait été accordé si le système vidéo testé lors de cette Coupe des confédérations avait alors été d’actualité.
Le PSG a donc opté pour Laurent Blanc. Laurent Blanc le Sudiste, l’ancien joueur de l’OM. S’il n’a pas vraiment marqué l’histoire du club phocéen, le « Président » se voit tout de même aujourd’hui rappeler son passage dans le club rival, à la vraie époque du Classico. Alors, bienvenu ou pas ?
Yes you Cannes ! Menacée d’être reléguée administrativement dans les profondeurs des divisions amateurs, voire même de disparaître, l’AS Cannes a été autorisée in extremis par la DNCG à être maintenue en CFA la saison prochaine. Une bonne nouvelle pour tous ses supporters, à commencer par Franck Priou, son buteur lors de la dernière période faste du club azuréen.