« On joue au football pour gagner. Les spectacles sont bons pour le cinéma, le théâtre… Le football, c’est autre chose. Certaines personnes confondent ! », s’exclamait Carlos Salvador Bilardo. Sélectionneur de l’Argentine championne du monde en 1986, il est dit que l’homme n’aurait fait que mettre en scène Diego Armando Maradona. Et si El Doctor était en fait le héros du Mondial mexicain ?
Cette saison 2013-2014 est particulière pour Benfica. La finale de la Ligue des champions se jouera à la Luz. Idéal pour conjurer un sort vieux de 50 ans. Et pour ce faire, les dirigeants lisboètes ont décidé d’innover dans leur recrutement.
C’est toujours la même histoire. Saison après saison, les Gunners jonglent avec leur mercato et finissent par en payer les pots cassés dès que les choses se corsent. Le jeu a beau être parfois léché, l’effectif manque cruellement de tueurs dans à peu près tous les secteurs de jeu. Or, le sage a dit un jour que « c’est lorsque le jeu devient dur que les durs deviennent bons… ».
Après avoir engagé Obafemi Martins il y a quelques mois, les Sounders de Seattle font encore plus fort en faisant revenir Clint Dempsey au pays, contre un chèque dépassant ceux versés à l’époque par Los Angeles pour Beckham et par New York pour Thierry Henry. La franchise la plus populaire d’Amérique du Nord affiche clairement ses ambitions : elle vise un premier titre de champion dès cet automne. Le point mensuel de l’actu en MLS, right here, right now.
La presse espagnole et le grand n’importe quoi du mercato
La presse espagnole et le grand n’importe quoi du mercato
Entre Zlatan Ibrahimović, Thiago Silva, Gareth Bale ou de nombreux noms moins ronflants, la presse espagnole a de quoi se nourrir en ce mercato. Comme tous les ans. Car au pays de Cervantès, on se fie bien de vérifier à 100 % son information. Mode d’emploi.
Kondogbia, c’est trop tôt, Ribéry c’est quand tu veux
Kondogbia, c’est trop tôt, Ribéry c’est quand tu veux
Pas de vannes sur la coupe de cheveux de Benzema, pas de vannes sur l’hymne, pas de vannes sur Christian Jeanpierre. Pas le temps, il y a des choses à dire sur ce match amical de reprise.
Au Stadio Olimpico de Rome, l’Argentine a battu l’Italie, 2-1. Victoire méritée pour des Argentins patrons pendant 75 minutes, et buteurs par Higuaín et Banega. Une pépite de Lorenzo Insigne a relancé les ambitions italiennes en fin de rencontre.
Sans imagination, les joueurs de l’équipe de France ont décroché un match nul moyen (0-0) sur la pelouse du stade du Roi Baudoin face à des Belges aussi intéressants que peu efficaces. Il faudra se montrer plus créatif contre la Géorgie.
Ce mercredi (21h), à Bruxelles, l’équipe de France défie la Belgique dans ce qui ressemble à tout sauf à un match Banania face à une des sélections les plus excitantes du moment. D’autant que les Bleus, eux, sont plus que jamais dans le flou. Si près du verdict des éliminatoires, c’est inquiétant. Ça fout même les jetons…
Italie-Argentine 90, le jour où Diego a divisé Naples
Italie-Argentine 90, le jour où Diego a divisé Naples
Ce soir, l’Italie et l’Argentine s’affrontent à Rome, pour un match amical de luxe. L’occasion de faire un bond en arrière de 23 ans, pour remonter à une époque où le public du stadio San Paolo était tiraillé entre supporter l’Italie, ou supporter son idole.