Qu’est-ce que Brandao pourrait apporter aux Bleus ?
Qu’est-ce que Brandao pourrait apporter aux Bleus ?
« D’ici un mois, je serai français. Je dois profiter de cette opportunité. » Arrivé dans l’Hexagone en 2009, Evaeverson Lemos da Silva, aka Brandão, pourra bientôt postuler une place chez les Bleus de Didier Deschamps. L’occasion de faire le bilan de ce que le Stéphanois apporterait dans le groupe France. Tout en coups de coude et en contrôles du dos, évidemment.
Ah, Jürgen Klopp… Un meneur d’hommes et un technicien hors pair, mais avant tout un homme passionné. Trop passionné, même. Un mec qui s’excite dès qu’il s’approche trop près du rectangle vert. Et bien qu’il soit passé plusieurs fois à la caisse, le coach à la barbe de trois jours n’a de cesse de recommencer. Du coup, Klopp facture déjà 58 000 euros d’amende pour comportement abusif. Joli palmarès.
Accrocheurs depuis le début de la compétitions, les joueurs du Galatasaray ont cette fois-ci rendu les armes au bout d’une mi-temps devant des Blues plus forts dans tous les domaines.
Malgré un onze remanié, le Real Madrid n’a fait qu’une bouchée de Schalke 04. Tout simplement trop forts, les hommes d’Ancelotti se sont échauffés avant le choc domestique de ce dimanche face à Barcelone. Ronaldo, avec un énième doublé, a rappelé à tous qu’il était bien le roi de cette saison.
Emballé, c’est pesé. Deux buts dans le buffet turc en première période et une bonne grosse sieste en deuxième mi-temps. Vainqueurs sans se fouler d’une équipe de Galatasaray assez faible, les joueurs de Chelsea verront les quarts de finale de la Ligue des champions.
ASSE-Dynamo Kiev 1976 : et le foot français reverdit…
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Simféropol, la Crimée, l’Ukraine, l’URSS… Le 17 mars 1976, St-Étienne se qualifiait pour les demies de C1 en éliminant l’ogre Dynamo Kiev. Un exploit synonyme de renaissance d’un foot français variétoche à la Guy Lux…
C’était un temps où l’Espagne ne faisait pas figure d’épouvantail planétaire, et où un billet pour la Coupe du monde pouvait dépendre d’un tirage au sort. Le 17 mars 1954, la Roja est éliminée par la Turquie, ou plutôt, par les mains d’un jeune Italien…
En allant battre Vitesse Arnhem chez lui (2-1), le PSV a signé la grosse surprise de cette 28e journée. Avec 7 victoires d’affilée, série en cours, les Rood-Witten renaissent. Le petit coup de pouce de tonton Guus n’y est certainement pas pour rien…