


Il était le grand absent de cette Coupe des confédérations à domicile. Trois semaines plus tard, Ronaldinho en est devenu le grand perdant. Sans lui, le Brésil a gagné et brillé. Tant pis, le Ballon d’or 2005 se consolera avec la Copa Libertadores, dont il disputera la demi-finale aller ce soir à Rosario, avec l’Atlético Mineiro, contre Newell’s.


À Belo Horizonte, pendant que la Seleção arrachait sa place pour la finale de la Coupe des confédérations, des dizaines de milliers de manifestants brésiliens occupaient les alentours du stade et luttaient durement avec la police. Récit de l’intérieur.

Le 26 juin 1996, River Plate remporte sa deuxième et dernière Copa Libertadores. Derrière ce succès, la volonté inébranlable d’un vieillissant, mais toujours vaillant Enzo Francescoli.



Malgré une douzaine de matchs en trois ans, beaucoup d’alcool, de kilos en trop et une rare instabilité psychologique, Adriano vient (encore) de retrouver un club. L’Internacional de Dunga lui a offert un contrat de six mois, avec une année en option. Mais comment, bon dieu, peuvent-ils encore croire à sa résurrection ?

Rosario est de retour au premier plan en Argentine. Après la remontée en première division de Central, c’est l’autre club de la ville, Newell’s Old Boys qui vient d’être sacré champion. Un titre obtenu, entre autres, grâce à six retours gagnants. Six bonhommes formés au club. Six fidèles.
