Depuis l’hôtel Marriott de Copacabana, Jorge Campos, le petit gardien-attaquant aux 130 sélections avec le Mexique, reçoit en tongs et bermuda à l’occasion d’un événement Nike. L’occasion de discuter sorties balle au pied, maillots fluos, Tricolor, surf et requins. Et de bien se marrer.
Qualifiés de justesse pour les huitièmes de finale après un succès à l’arraché face à la Côte d’Ivoire (2-1), les Grecs rêvent d’un nouveau coup de maître, une décennie après leur victoire dingue au Portugal lors de l’Euro 2004. L’occasion de jeter un coup d’œil dans le rétro et de prendre des nouvelles d’une équipe plus Charistéas que charismatique.
En quelques célébrations volcaniques, le sélectionneur du Mexique, Miguel « El Piojo » Herrera s’est fait connaître du monde. Aura-t-il l’occasion d’exploser face à la Hollande ? En attendant de le savoir, retour en images sur le phénomène.
Pourquoi c’est l’année ou jamais pour les Pays-Bas
Pourquoi c’est l’année ou jamais pour les Pays-Bas
Louis van Gaal enfin populaire, un style tout sauf hollandais, mais des buts en pagaille, Cruyff qui fait la gueule, et un tableau facile. Cette fois-ci, c’est sûr, les Pays-Bas, qui affrontent le Mexique ce dimanche en huitième, tiennent leur première Coupe du monde.
Pour la seconde fois de son histoire, le Costa Rica va disputer un huitième de finale. Au Brésil, le petit pays d’Amérique centrale ne cesse d’étonner, à l’image de son leader technique, Bryan Ruiz. Branché sur courant alternatif, le milieu offensif des Ticos distille de sa magie par intermittence.