Pendant l’Euro, vous avez aimé…

10^e. Le malaise Arda Turan

Le spectacle était hallucinant. Face à l’Espagne, à chaque fois que le ballon est passé entre ses pieds, Arda Turan s’est fait lyncher par ses propres supporters. Une colère bruyante et impressionnante, mais prévisible et symptomatique d’un torchon qui a très rapidement brûlé entre l’ancienne idole de la Turquie, et ses fans qui le voyaient trop beau avant l’Euro. L’article à lire ici.

9^e. Le compte-rendu de France-Allemagne

Ils l’ont fait. L’histoire retiendra que le 7 juillet, la France est entrée dans l’histoire en éliminant enfin la Mannschaft, deux ans après le Brésil, 30 ans après le Mexique et 34 ans après Séville. Griezmann, en feu, s’offre un doublé et envoie les Bleus en finale. Malheureusement, l’issue de ladite finale sera moins heureuse que cette folle soirée de juillet au Vélodrome. L’article à lire ici.

8^e. Les notes de la France face à l’Islande

Une démonstration. Pour la première fois lors de cet Euro, les Bleus roulent sur leur adversaire. Vaillants jusqu’ici, les Islandais s’effondrent sous les coups de boutoir de Giroud, Griezmann, Pogba et Payet. L’occasion de distribuer des bonnes notes à tout le monde. L’article à lire ici.

7^e. Interview exclusive d’Unai Emery

Unai Emery est donc bien le nouvel entraîneur du PSG. Interview fleuve, en deux parties, avec le nouveau patron technique de ce Paris qui veut absolument rêver plus grand. Premier tome : la carrière de joueur d’Emery, sa transition logique vers le métier d’entraîneur et son amour de la psychologie. L’article à lire ici.

6^e. Jonas Eriksson, siffleur d’argent

Il est suédois, brun et ami de Nasser Al-Khelaïfi. Plus qu’un homme en noir, celui qui a été au sifflet de pays de Galles-Portugal est un type aux caractéristiques peu communes. Surtout en connaissant la plus insolite : inutile de tenter de l’acheter, Jonas Eriksson est déjà multimillionnaire. L’article à lire ici.

5^e. Les notes de la France face à l’Albanie

Comme lors de leur match inaugural, les Bleus s’imposent au buzzer, cette fois-ci contre l’Albanie, et se qualifient pour les huitièmes. Griezmann sauveur, Payet douceur, Matuidi l’horreur. Deuxième bulletin de notes pour les Bleus, et les parents ne sont pas beaucoup plus contents, malgré la qualification. L’article à lire ici.

4^e. Les notes de la France face à l’Irlande

Une heure d’angoisse. Pendant plus d’une heure, les Bleus n’y arrivent pas face à l’Irlande. Menés au score après un penalty de Brady, ils ne parviennent pas à entrer dans leur match et voient se profiler le spectre de l’élimination. Et puis, un centre de Sagna, une tête de Griezmann, une déviation de Giroud, une frappe de Griezmann. 2-1. Les Bleus sont en quarts. C’est simple, le foot. L’article à lire ici.

3^e. Les notes de la France au Portugal

Le triste épilogue de l’Euro pour ces Bleus. L’équipe de France s’incline en finale face au Portugal, sur un but d’Eder à la 108^e minute. Pas grand-chose à reprocher aux joueurs, hormis de ne pas avoir réussi à la mettre au fond quand ils en ont eu l’occasion. La meilleure note pour Moussa Sissoko, qui ne nous a pas emmenés au bout de l’Euro, mais presque. L’article à lire ici.

2^e. Les notes de la France face à l’Allemagne

4 pour Giroud et 4,5 pour Payet. À part ces deux mauvaises notes, tous les Bleus obtiennent les félicitations pour cette demi-finale remportée face à l’Allemagne. Les félicitations du jury vont à Griezmann, 9/10, sauveur de la patrie, et à Lloris, 8,5/10, sauveur de la partie. L’article à lire ici.

1^er. Les notes de la France face à la Roumanie

Premier match de l’Euro, les Bleus n’y arrivent pas face à la Roumanie, malgré l’ouverture du score de Giroud. Et puis, dans la nuit de Saint-Denis, un éclair, une étincelle. Celle de Dimitri Payet, qui régale l’assistance d’un missile du gauche. De quoi recevoir un 10 sur son bulletin de notes. 10-mitri. L’article à lire ici.

Quand İlkay Gündoğan pleurait à cause d’une photo très politique