

- Euro 2012 – Eliminatoires
L’Europe à deux vitesses
Une Europe à deux vitesses se dessine. Avec trois locomotives, et un groupe d’ambitieux qui peine encore à convaincre.
Une Europe à deux vitesses se dessine. Avec trois locomotives, et un groupe d’ambitieux qui peine encore à convaincre.
Ricardo Carvalho a fait parler de lui ces derniers jours en abandonnant la sélection portugaise. Pas le premier à le faire…
L’Euro 2012 accouchera dans neuf mois. Chaque match international est donc scruté dans la perspective de faire des catégories.
On a longtemps cherché une relève à la génération des Lampard, Gerrard et Ferdinand. Miracle : une larvée de gamins talentueux déboule.
Faris, le leader de The Horrors, passe à confesse : il supporte Blackburn.
Les sélectionneurs mexicains et chiliens ont préféré faire tourner. Résultat : une courte victoire d’El Tri.
Certes, Pastore, Sanchez, Sirigu et Eto’o ont quitté la Botte cet été. Mais d’autres ont fait le chemin inverse.
La Premier League a manqué Pastore, perdu Fabregas, mais s’est offert Agüero, De Gea, Mata ou Lukaku.
Si le match d’hier a bien prouvé une chose, c’est que la France manque cruellement d’un meneur de jeu.
La Pologne n’a pu faire mieux qu’un nul face au Mexique (1-1). L’Euro des coéquipiers d’Obraniak s’annonce compliqué.
En étrillant l’Autriche 6-2 à Gelsenkirchen, l’Allemagne s’est qualifiée pour l’Euro 2012. Le grand bonhomme de la soirée est Mesut Özil.
Une mi-temps pour le collectif, une mi-temps pour le talent individuel. Même si c’était l’Albanie en face.
Equipe de France aux deux visages : première période maîtrisée sans forcer, au top de la réussite et deuxième acte en tremblant.
De bonnes intentions mais aussi beaucoup de déchet : l’Argentine n’a pas soigné tous ses maux contre le Venezuela.
L’Angleterre entame la dernière ligne droite de ses éliminatoires pour l’Euro 2012 avec la quasi certitude d’être au minimum barragiste.
Duel fratricide à Gelsenkirchen, entre l’Allemagne et l’Autriche. Si la Mannschaft est largement favorite, il ne faudra pas sous-estimer les Autrichiens.
L’ancien meneur de jeu de la Bulgarie, Krassimir Balakov, évoque la nouvelle sélection nationale.
Les Bleus font leur retour à la compétition avec une petite escapade en Albanie. Un déplacement que tout le monde redoute.
Après avoir fait profil bas, Franck Ribéry et Patrice Evra sont maintenant de retour, dans toute leur splendeur.
C’était sûr. Ils allaient partir à Chelsea, au Real Madrid, à Manchester City. Peut-être à l’OM, même. Et puis non.
Le point sur les championnats belge et néerlandais, après un mois de compétition. Si en Jupiler Pro League, les « gros » se cachent encore, en Eredivisie, ils sont déjà tous en pole.
En gardant Lucho et Gignac, l’OM a peut-être fait un plus mauvais mercato qu’en laissant partir Niang et Ben Arfa la saison passée.
Ça y est, le football est de retour. Qu’est-ce que qui a changé ? Messi met des doublés, Ronaldo des triplés, le Barça gagne des titres et Manchester est souverain.
Quatre journées, cinq buts, cinq lucarnes. Ce début de saison est celui d’Alain Traoré.
La semaine prochaine, s’ouvre le procès des emplois présumés fictifs de la Ville de Paris. L’occasion de se pencher sur un autre scandale.
Pour construire l’équipe parfaite, Leonardo, directeur sportif du PSG, a contacté la moitié du globe. Facture détaillée.
Derniers blitz : Pjanic et Gago à la Roma, Joe Cole à Lille, Scott Parker à Tottenham, Zarate à l’Inter, Mertesacker à Arsenal, Nocerino à Milan, Poulsen à Evian TG. Et la folle rumeur du Mou au PSG…
Première trêve internationale, premier bilan. Calmement. Le championnat de France est unique et chaque année, août est cruel. Saloperie de chaleur.
Depuis l’arrivée de Pep Guardiola en 2008, le Barça a fait du 5-0 son score favori.
Anthony Modeste, en position repliée, a décidé de parler en taclant.
Plus encore que le fait de gagner 5 à 1 sur la pelouse d’un outsider, Manchester City a secoué le Royaume dimanche par sa façon de jouer.