Ce n’est plus un exploit, c’est un cas unique : ce samedi, Alex Ferguson fête ses vingt-cinq ans sur le banc de Manchester United. Une saga qui tient à la fois du miracle et de l’évidence.
Ce week-end, 11ème journée de Serie A. Une journée qui va, essentiellement, tourner autour du Napoli-Juventus de dimanche soir. Mais attention, les enjeux ne seront pas qu’au stadio San Paolo. L’Udinese, la Lazio et le Milan AC ont, entre autres, le leader bianconero dans le viseur.
Après avoir écumé la Ligue 1 puis la Liga, Peter Luccin vient de signer un contrat pour le club suisse de Lausanne Sports. Du bord du lac Léman, le natif de Marseille n’oublie cependant pas le pays et livre ses pronos pour la 13ème journée.
Dimanche, c’est la dernière journée du championnat russe. En cas de victoire, le Zénith, leader, sera donc sacré champion. Oui, mais non. Cette année, le titre ne sera donné qu’au mois de mai, après un mini-championnat entre les huit meilleurs clubs du pays. Explications.
Tu sais qu’un club français joue en coupe d’Europe quand…
Tu sais qu’un club français joue en coupe d’Europe quand…
Cinq matchs, trois défaites, un nul et une victoire. Contre des Slovaques, à domicile, sur le plus petit des scores. Bref, les clubs français ont encore fait une croix sur le spectacle cette semaine en Coupe d’Europe.
Laurent Blanc a feinté son monde : ils sont finalement 22 dans la liste en vue des deux matches amicaux face aux États-Unis (le 11) et la Belgique (le 15). Vingt-deux ? Voilà qui ressemble de plus en plus à une liste pour l’Euro…
Gastronomie locale, Knappen et vestes en jean. Bienvenue à Gelsenkirchen, dans l’hystérie de la Veltins-Arena, où Schalke a livré, jeudi soir, une partie moisie face à Larnaca, en Europa League.
Toujours pas de NBA. Alors pourquoi ne pas s’attarder sur une demi-finale de conférence de MLS ? La plus aguichante opposait Los Angeles à New York. Beckham à Henry. Et comme en basket, à la fin, c’est LA qui l’emporte.
Au programme cette semaine, la déprime qui continue en Ecosse, l’AZ qui surprend les gros aux Pays-Bas, Anderlecht facile en Belgique, Bâle en forme ascendante en Suisse et le point sur les play-offs de MLS.
Le Celtic Glasgow a mangé des Rennais peu inspirés. Plus agressifs, les Écossais ont donné une leçon aux petits garçons de Frédéric Antonetti. Les Bretons n’ont quasiment plus rien à espérer dans cette Ligue Europa. Et ils l’auront bien mérité.
Au terme d’un match pauvre techniquement, le PSG décroche une victoire précieuse dans l’optique de la qualification. Deuxième derrière l’Athletic Bilbao, Paris a besoin d’un nul contre Salzbourg le 1er décembre prochain pour sortir d’un groupe qu’il aurait dû écraser.
Beaucoup de victoires « sur le plus petit des écarts » ce soir lors de la 4e journée d’Europa League. Suffisant cependant pour que Bilbao passe en seizièmes, que la Lazio se relance, que Tottenham déçoive et que Besiktas prenne sa revanche sur Kiev.
Toute petite victoire de la Lazio, qui s’impose 1-0 grâce à un but de Brocchi. Il en faudra néanmoins plus pour se qualifier, car Vaslui s’est imposé aussi face au Sporting.
En général, quand on mélange la France, la Belgique et les USA, ça donne Jean-Claude Van Damme. Ou alors la liste des Bleus pour affronter les Diables Rouges et les États-Unis au Stade De France.
S’il s’impose ce soir au Celtic Park de Glasgow, le Stade Rennais peut encore espérer jouer la qualif’ dans son groupe de la mort de Ligue Europa. Vu la petite forme actuelle de leurs adversaires écossais, c’est largement possible.
Ce soir (19h) au Parc des Princes, le PSG tentera de ne pas reproduire les erreurs du match aller. Ou celles de l’Europa League tout court. Soit mettre ses occasions de but au fond et surtout finir à onze sur le terrain.
Dans l’ombre du FC Porto et de Benfica, presque supplanté par la montée en puissance de Braga, le Sporting Portugal a touché le fond ces deux dernières années. Mais aujourd’hui les Lions rugissent à nouveau, restant sur dix victoires de rang dont trois en C3.
Ça commençait à gloser sur Gareth Bale, porté disparu depuis sa double confrontation de feu face à l’Inter l’an dernier. Mais son doublé face à QPR le week-end dernier signe-t-il le retour de l’enfant prodige avant le déplacement de Tottenham au Rubin ?
Trop dur, trop vite, trop fort. Ces nouvelles retrouvailles entre Lyonnais et Madrilènes n’ont fait que confirmer ce qu’on avait vu 15 jours plus tôt : le Real est taillé pour jouer le titre en Ligue des Champions, l’OL pour ne pas descendre trop vite en Europa League.
Lille n’a pas tenu le coup en Italie. Les Nordistes ont plié face à des Italiens qui ont globalement maîtrisé les débats. Les Dogues sont mal barrés pour jouer les huitièmes de finale.
Une fois de plus, Mario Gomez a tenu à montrer à l’Europe qu’il est actionnaire majoritaire dans les buts du Bayern. Un Bayern qui s’impose 3-2 face à une équipe de Naples qui aura montré deux visages.
Une première mi-temps excellente. Une seconde plus mauvaise. Très inspirés mais peu efficaces, les Madrilènes se sont logiquement imposés sur la pelouse de Gerland. Les Lyonnais, qui auront joué vingt minutes en deuxième mi-temps, peuvent autant regretter le score que l’apprécier.
Depuis le début de saison, Villarreal semble être rentré dans le rang. Autrefois étincelant et comparé au Barça pour son jeu tout en toque, le sous-marin jaune ne met plus un pied devant l’autre que ce soit en Liga ou en Ligue des Champions. Analyse d’un club malade.
L’idée, toute simple, est d’éviter de se faire à nouveau humilier. Chez lui, l’OL a de bonnes raisons d’y croire, quelques autres d’espérer, mais quand même pas mal de flipper…
Ce soir, le Bayern Munich reçoit le Napoli. Les Bavarois, leaders du groupe, peuvent faire un grand pas vers la qualification en cas de victoire. Mais qu’ils soient prévenus : le Napoli est capable de tout. Du meilleur, comme du pire.
Jamais, depuis 65 ans, l’Inter Milan n’avait connu un début de championnat si catastrophique. Mais attention. La Ligue des Champions reste une échappatoire, bien loin de la triste réalité que connaissent les nerazzurri en Serie A.
En s’imposant sur le plus petit des scores face à l’Olympiakos, le Borussia Dortmund conserve encore une infime chance de se qualifier pour les huitièmes de finale.
En s’imposant facilement face à Plzen (4-0), grâce à un triplé de Messi, le Barca a déjà validé son ticket pour les huitièmes de finale. Milan, tenu en échec à Borisov (1-1), devra patienter encore un peu. Valence s’est relancé dans le groupe E en disposant à domicile de Lerverkusen (3-1) avec un but de Rami, et Porto a coulé à Nicosie (2-1).